Le procureur de la République de Nanterre, Pascal Prache, fait le point sur l'enquête autour de la mort de Nahel le mardi 27 juin. Pour rappel, Nahel, 17 ans, a été arrêté par deux agents de police à Nanterre. Le procureur affirme que Nahel est décédé "dû à un tir unique".
Deux jours après la mort de Nahel, le procureur de la République de Nanterre s’exprime ce jeudi. Il revient sur les avancées des investigations diligentées et sur les orientations décidées dans le cadre des procédures en cours.
Pascal Prache, procureur de la République de Nanterre, s'exprimait deux jours après la mort de Nahel, tué par un policier lors d'un contrôle routier.
150 personnes ont été interpellées dans la nuit de mercredi à jeudi après que des heurts ont éclaté dans plusieurs villes de France en réaction à la mort du jeune Nahel à Nanterre, tué par un tir policier.
La façade de l'école primaire de Bezons a été incendiée cette nuit lors de violences urbaines dans toute la région Île-de-France. 150 personnes ont été interpellées sur toute la France.
Dans la nuit de mercredi à jeudi 29 juin, un commissariat à Neuilly-sur-Marne a été incendié. "Tout est détruit" à l'intérieur du bâtiment, a constaté Henriette Martenot, déléguée au logement de la commune. Ces violences font suite à la mort de Nahel, 17 ans, abattu par un policier après avoir refusé d'obtempérer lors d'un contrôle routier.
Des bâtiments publics ont été attaqués et incendiés dans plusieurs villes d''Île-de-France cette nuit, ainsi qu'en régions, après la mort du jeune Nahel tué par un policier lors d'un contrôle routier. Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont condamné ces violences.
Plusieurs bâtiments publics ont été incendiés ou attaqués dans la nuit de ce mercredi à ce jeudi, après une nouvelle nuit de violences urbaines suite à la mort du jeune Nahel, lors d'un contrôle routier après un refus d'obtempérer. 150 personnes ont été interpellées sur toute la France.
Un incendie s'est déclenché dans la nuit de ce mercredi à ce jeudi dans un immeuble de Villeurbanne, faisant quatre blessés légers. La banlieue parisienne, mais aussi les régions, ont été marquées par une nouvelle nuit de violences urbaines après la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d'un contrôle routier.
Voitures brûlées, bâtiments incendiés, affrontements avec les forces de l'ordre...de nombreux incidents ont éclaté dans la nuit de mercredi à jeudi partout en France et particulièrement en Île-de-France, deux jours après la mort de Nahel. L'adolescent de 17 ans a été tué par un policier après un refus d'obtempérer à Nanterre.
Olivier Véran, ministre délégué chargé du Renouveau démocratique et porte-parole du Gouvernement, est l'invité du Face à Face ce jeudi.
La mort de Nahel, 17 ans, à Nanterre a suscité la colère en France. Depuis mardi 27 juin, des tensions entre les forces de l'ordre et des habitants ont éclaté. Tirs de mortier, incendies... Au total, 150 personnes ont été interpellées en France dans la nuit de mercredi à jeudi 29 juin.
Olivier Véran, le ministre délégué chargé du Renouveau démocratique et porte-parole du Gouvernement, est l'invité du Face à Face ce jeudi sur BFMTV.
150 personnes ont été interpellées dans la nuit de ce mercredi à ce jeudi et plusieurs bâtiments publics ont été incendiés ou attaqués, après la mort du jeune Nahel tué par un policier lors d'un contrôle routier. Emmanuel Macron a convoqué une cellule interministérielle de crise ce jeudi.
Lors d'une nouvelle nuit de violence, un feu s'est déclaré dans un immeuble à Villeurbanne suite à des tirs de mortier d'artifice. Quatre personnes ont été légèrement intoxiquées et sont hospitalisées.
150 personnes ont été interpellées dans la nuit de ce mercredi à ce jeudi et plusieurs bâtiments publics ont été incendiés ou attaqués après la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d'un contrôle routier après un refus d'obtempérer. L'école primaire de Bezons dans le Val-d'Oise a été incendié dans la nuit. Elle reste tout de même ouverte aux enfants.
Après une nouvelle nuit de violences un peu partout en France, un immeuble a été incendié à Villeurbanne. Les pompiers ont pu éteindre le feu au cours de la nuit mais une trentaine de personnes ont du être évacués au cours de la nuit.
Notre reporter Cédric Faiche s'est rendu ce matin à Évreux où l'hôtel d'agglomération a été attaqué cette nuit par une dizaine d'individus. Des véhicules ont été incendiés sur le parking ainsi qu'un engin de chantier. Ces évènements font suite à la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans tué par un policier lors d'un contrôle routier.
La mort de Nahel, 17 ans, à l'issue d'un refus d'obtempérer lors d'un contrôle routier, a suscité la colère de toute la France. Depuis, des violences entre des habitants et des forces de l'ordre éclatent, comme dans la nuit du 28 au 29 juin. 38 interpellations ont eu lieu en région, sur 107 signalements.
Une nouvelle nuit de violences a eu lieu après la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans tué par un policier lors d'un contrôle routier. Une marche blanche en hommage à l'adolescent aura lieu ce jeudi 29 juin à Nanterre.
Après la mort de Nahel, 17 ans, le mardi 27 juin, la tension monte en France. Une nouvelle nuit de violence a éclaté de mercredi à jeudi 29 juin. Beaucoup de communes en Île-de-France mais aussi partout en France ont vu leur mobilier urbain dégradé et certaines institutions, comme les commissariats ou bien des écoles. Au total, 150 personnes ont été interpellées partout en France selon le ministre de l'Intérieur.
"Soutien aux policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers qui font face avec courage", a-t-il écrit, dénonçant également"ceux qui n'ont pas appelé au calme."
Après la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans à la suite d'un contrôle routier, des personnes ont incendié des poubelles et des voitures cette nuit.
Des violences ont éclaté dans la nuit de mercredi à jeudi, après la mort à Nanterre de Nahel, adolescent de 17 ans, tué par un policier. Des affrontements ont eu lieu dans plusieurs dizaines de ville, notamment en région parisienne.
Au cours de la nuit passée, au moins 35 personnes ont été interpellées dans plusieurs communes d'Île-de-France, a fait savoir la préfecture de police de la région à BFMTV.
Après la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans lors d'un contrôle routier mardi 27 juin, une nouvelle nuit de violences a eu lieu, le centre Enedis de Nanterre a été incendié. L'incendie a pu être maitrisé ce jeudi matin.
Après la mort d'un adolescent de 17 ans lors d'un contrôle routier, le policier qui a tiré le coup de feu mortel se trouve toujours en garde à vue pour homicide volontaire. Des tensions ont éclaté dans plusieurs villes du pays.
Après la mort d'un adolescent de 17 ans lors d'un contrôle routier, le policier qui a tiré le coup de feu mortel se trouve toujours en garde à vue pour homicide volontaire. Des tensions ont éclaté dans plusieurs villes du pays.
Après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier à la suite d'un refus d'obtempérer, les autorités espèrent contenir l'embrasement des quartiers populaires grâce aux développements de l'enquête. Une marche blanche a lieu ce jeudi après-midi à Nanterre, et des violences avec les forces de l'ordre ont éclaté après celle-ci.
La cour d'assises de Paris a suivi à la lettre les réquisitions du parquet et reconnu coupable ce mercredi Philippe Manier de "quasiment tous les chefs d'accusation" qui pesaient à son encontre.
18 interpellations ont eu lieu dans les Hauts-de-Seine, dont 11 à Nanterre, après des tensions en réaction à la mort du jeune Nahel, 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
Un policier, brigadier de 52 ans, avait ouvert le feu sur un automobiliste de 19 ans mi-juin, le touchant mortellement. Il a été mis en examen ce mercredi, a annoncé la procureure de la République d'Angoulême Stéphanie Aouine.
18 interpellations ont eu lieu dans les Hauts-de-Seine, dont 11 à Nanterre, suite à des tensions en réaction à la mort du jeune Nahel, 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
Manuel Bompard, député LFI des Bouches-du-Rhône, était l'invité de BFMTV pour évoquer la mort de Nahel, jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
Un jour après la mort de Nahel, tué par un tir de police à Nanterre, des incidents se sont produits dans plusieurs villes de France, alors que la situation s'est apaisée en région parisienne.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes sont mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes seront mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
2000 policiers et gendarmes seront mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
Les avocats de la famille de Nahel demandent le dépaysement de l'affaire, affirmant que le parquet de Nanterre manque d'impartialité car la personne en garde à vue est un policier de Nanterre.
2000 policiers et gendarmes seront mobilisés mercredi soir en banlieue parisienne pour prévenir de nouvelles violences urbaines en réaction à la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer à Nanterre. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
Le quartier du Mirail à Toulouse a été sujet à des incidents liés à la mort du jeune Nahel, à Nanterre. Le jeune homme de 17 ans a été tué mardi par un tir de la police, après un refus d'obtempérer. Le policier soupçonné d'avoir tué l'adolescent a été placé en garde à vue et est interrogé par l'IGPN, dans le cadre d'une enquête pour homicide volontaire.
