Deux hommes âgés de 21 et 23 ans ont été mis en examen pour meurtre commis en bande organisée et écroués, a signalé la gendarmerie ce lundi, dans le cadre d'une enquête sur la mort d'un troisième au cours d'une rixe le 10 décembre dernier à la sortie d'une boîte de nuit près du Mans.
Alors qu'il s'aventurait sur un terrain rocheux escarpé, le randonneur est tombé dans un ravin de plus de 20 mètres.
"Le mystère du chasseur sans tête", un long format Ligne Rouge à retrouver en replay sur BFMTV et BFM Play.
Un homme de 39 ans a été admis à l'hôpital samedi au petit matin après avoir reçu sept coups de couteau lors d'une soirée de réveillon à Cenon en Gironde. Le résultat d'une dispute autour de la vie sentimentale de sa compagne. Quatre personnes ont été placées en garde à vue.
Ce lundi après-midi, plusieurs centaines de personnes d'origine ou de nationalité kurde ont marché en hommage aux trois personnes tuées vendredi dernier à Paris.
William M, 69 ans, a été placé en examen ce lundi pour assassinats et tentatives d'assassinat dans le cadre de la tuerie du 10e arrondissement de Paris survenue vendredi dernier.
Le suspect de l'assassinat de trois Kurdes ce vendredi à Paris, qui a reconnu ressentir une "haine des étrangers pathologique", a quitté ce dimanche l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police et a été présenté ce lundi à un juge d'instruction et mis en examen, puis présenté à un juge des libertés qui a ordonné un placement en détention provisoire.
Agit Polat de l'association kurde CDKF était l'invité de BFM Soir ce lundi.
Le suspect de l'assassinat de trois Kurdes ce vendredi à Paris, qui a reconnu ressentir une "haine des étrangers pathologique", a quitté ce dimanche l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police et a été présenté ce lundi à un juge d'instruction et mis en examen, puis présenté à un juge des libertés qui a ordonné un placement en détention provisoire.
William M., ancien cheminot de 69 ans, est poursuivi pour assassinats et tentatives d'assassinat après la tuerie de la rue d'Enghien qui a fait trois morts vendredi.
Après la pose de bandelettes sous-urétrales censées soigner l’incontinence urinaire à l'effort, plusieurs femmes subissent de douloureux effets secondaires. 44 plaintes ont été déposées et une enquête est en cours.
Le suspect de l'assassinat de trois Kurdes ce vendredi à Paris, qui a reconnu ressentir une "haine des étrangers pathologique", a quitté ce dimanche l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police et a été présenté ce lundi à un juge d'instruction en vue d'une éventuelle mise en examen puis à juge des libertés pour un placement en détention provisoire.
Le suspect de l'assassinat de trois Kurdes ce vendredi à Paris, qui a reconnu ressentir une "haine des étrangers pathologique", a quitté ce dimanche l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police et a été présenté ce lundi à un juge d'instruction en vue d'une éventuelle mise en examen.
Après le meurtre de trois Kurdes à Paris ce vendredi, une marche blanche est organisée dans le Xème arrondissement pour rendre hommage aux victimes. Une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et tentative d'assassinat en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion, ainsi que pour acquisition et détention non autorisées d'arme.
Condamné pour deux meurtres et soupçonné dans une vingtaine d'autres affaires, l'homme de 79 ans entend bien faire plier la justice et prouver son innocence.
Une marche blanche est organisée rue d'Enghien à Paris ce lundi en hommage aux trois victimes kurdes décédées ce vendredi suite à une attaque devant le Centre Culturel kurde Ahmet Kaya.
Après le meurtre de trois Kurdes à Paris ce vendredi, une marche blanche est organisée dans le Xème arrondissement pour rendre hommage aux victimes. Une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et tentative d'assassinat en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion, ainsi que pour acquisition et détention non autorisées d'arme.
La garde à vue de l'homme de 69 ans, soupçonné d'avoir tué trois Kurdes vendredi à Paris, avait dû être interrompue, après un court séjour à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. Son état psychique et psychiatrique pourra déterminer la suite de la procédure.
L'homme de 69 ans soupçonné d'avoir assassiné trois Kurdes et blessé trois autres personnes ce vendredi à Paris doit être présenté ce lundi à un juge d'instruction en vue d'une éventuelle mise en examen. Ce conducteur de train retraité de nationalité française a confié aux enquêteurs ressentir une "haine des étrangers devenue complètement pathologique" depuis le cambriolage de son domicile en 2016
Le suspect de l'assassinat de trois Kurdes ce vendredi à Paris, qui a reconnu ressentir une "haine des étrangers pathologique", a quitté ce dimanche l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police et sera présenté ce lundi à un juge d'instruction en vue d'une éventuelle mise en examen.
Bruno Pomart, ancien instructeur opérationnel du Raid, revient sur l'affaire Charles Sobhraj, dit "Le Serpent". Ce tueur en série, qui a fait l'objet d'une série Netflix, a été libéré de prison au Népal où il a passé quasiment 20 ans en détention.
L'homme de 69 ans soupçonné d'avoir assassiné trois Kurdes et blessé trois autres personnes ce vendredi à Paris a reconnu en garde à vue avoir voulu tuer des étrangers. Il doit être présenté ce lundi à un juge d'instruction, tandis qu'une marche en hommage aux victimes est organisée à 14 heures sur les lieux de l'attaque.
Le suspect de la fusillade à Paris qui a fait 3 morts a confié aux enquêteurs avoir une "haine pathologique des étrangers". Il a expliqué s'être d'abord rendu à Saint-Denis pour tuer un maximum d'étrangers avant d'aller dans le Xe arrondissement de Paris et de tuer trois personnes de la communauté kurde.
Le tueur en série français, Charles Sobhraj, dit "Le Serpent", a été expulsé par les autorités du Népal après y avoir passé vingt ans en prison pour le meurtre de deux touristes nord-américains. L'homme de 78 ans est rentré en France ce samedi matin.
Retrouvez ce lundi soir à 20h50 l'enquête grand format sur un meurtre qui date de 1995. 27 ans plus tard, la veuve de la victime est mise en examen.
Les experts psychiatriques ont jugé que le suspect de la fusillade qui a fait 3 morts à Paris était en état de poursuivre la garde à vue. Il va être présenté à un juge d'instruction ce mardi.
Le suspect de la fusillade à Paris qui a fait 3 morts a confié aux enquêteurs avoir une "haine pathologique des étrangers". Il a expliqué s'être d'abord rendu à Saint-Denis pour tuer un maximum d'étrangers avant d'aller dans le Xe arrondissement de Paris et de tuer trois personnes de la communauté kurde.
L'homme soupçonné d'avoir tué trois Kurdes à Paris a reconnu devant les enquêteurs "une haine pathologique" envers les étrangers. Dans son projet meurtrier, le suspect envisageait également du tuer des étrangers à Saint-Denis.
Un homme de 69 ans, connu des services de police, a ouvert le feu ce vendredi dans le 10e arrondissement de Paris, à proximité d'un centre culturel kurde. Trois personnes sont mortes. Placé en garde à vue, le suspect a été transféré en unité psychiatrique sur l'avis d'un médecin. L'enquête est suspendue pour le moment.
Un homme de 69 ans, connu des services de police, a ouvert le feu ce vendredi dans le 10e arrondissement de Paris, à proximité d'un centre culturel kurde. Trois personnes sont mortes. Placé en garde à vue, le suspect a été transféré en unité psychiatrique sur l'avis d'un médecin. L'enquête est suspendue pour le moment.
Après une hospitalisation à l'infirmerie de la préfecture de police de Paris, l'état de santé du suspect a de nouveau été jugé compatible avec la garde à vue ce dimanche. Celle-ci peut durer jusqu'à lundi matin.
Un homme de 69 ans, connu des services de police, a ouvert le feu ce vendredi dans le 10e arrondissement de Paris, à proximité d'un centre culturel kurde. Trois personnes sont mortes. Placé en garde à vue, le suspect a été transféré en unité psychiatrique sur l'avis d'un médecin. L'enquête est suspendue pour le moment.
Un homme de 69 ans, connu des services de police, a ouvert le feu ce vendredi dans le 10e arrondissement de Paris, à proximité d'un centre culturel kurde. Trois personnes sont mortes.
Un homme de 69 ans, connu des services de police, a ouvert le feu ce vendredi dans le 10e arrondissement de Paris, à proximité d'un centre culturel kurde. Trois personnes sont mortes.
L'homme de 88 ans a été interpellé par la police vendredi 23 décembre alors qu'il la palombe dans un parc de Bergerac. Il sera jugé en février 2023.
Agit Polat, porte-parole du Conseil démocratique Kurde en France, était l'invité de BFMTV ce dimanche.
Un communiqué du parquet de Paris dévoile de nouvelles informations sur les déclarations qu'a faites le suspect de la fusillade à Paris qui a fait 3 morts vendredi.
L'homme a reconnu en garde à vue avoir une "haine des étrangers pathologique".
Berivan Firat, porte-parole des relations extérieures du Conseil démocratique kurde en France, était l'invitée de BFMTV ce dimanche.
Evelyne Sire-Marin, magistrate honoraire et membre du bureau de la Ligue des droits de l'Homme, était l'invitée de BFMTV ce dimanche matin.
Le vendredi 23 décembre 2022, un homme a ouvert le feu avec une arme de poing dans la rue d'Enghien, près du centre culturel Ahmet-Kaya, dans le 10e arrondissement de Paris. Une femme - Emine Kara, une responsable du Mouvement des femmes kurdes en France - et deux hommes, dont l'artiste et réfugié politique Mir Perwer, ont été tués et trois autres hommes blessés, dont un gravement. Un suspect de 69 ans a été arrêté.
La garde à vue du tireur présumé a été levée samedi en raison d'un état de santé incompatible avec cette mesure, ce qui ralentit l'enquête en cours.
Le suspect de la fusillade qui a fait 3 morts à Paris ce vendredi a été transféré à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris. Sa garde à vue a été levée, l'homme va subir un examen médical ce dimanche pour déterminer si les auditions peuvent reprendre.
Le suspect de la fusillade qui a fait 3 morts à Paris ce vendredi a été transféré à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris. L'homme va subir un examen médical ce dimanche.
Des heurts ont éclaté ce samedi à proximité de la place de la République, à Paris, en marge de la manifestation organisée en hommage aux victimes de la fusillade qui a fait trois morts vendredi. 31 personnes ont été blessées.
Des heurts ont éclaté ce samedi à proximité de la place de la République, à Paris, en marge de la manifestation organisée en hommage aux victimes de la fusillade qui a fait trois morts vendredi. 31 personnes ont été blessées.
Le suspect de la fusillade qui a fait 3 morts à Paris ce vendredi a été transféré à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris. L'homme va subir un examen médical ce dimanche.
Le suspect de la fusillade qui a fait 3 morts à Paris ce vendredi a été transféré à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris. Le mobile raciste a été ajouté samedi à l'enquête.
Trois personnes, dont un enfant, sont mortes samedi soir sur l'A1.
Laure Westphal, psychologue, chercheuse associée et enseignante à Sciences Po, était l'invitée de BFMTV ce samedi soir pour évoquer la tuerie survenue dans un centre culturel kurde, vendredi dernier à Paris.
