LA BANDE PREND LE POUVOIR - Iran: "Le rappeur le plus courageux du monde"
La bande de "Julie jusqu'à minuit" réagit à la condamnation à mort du rappeur iranien Toomaj Saleh
La bande de "Julie jusqu'à minuit" réagit à la condamnation à mort du rappeur iranien Toomaj Saleh
Arrêté en octobre 2022 pour avoir soutenu le mouvement de contestation déclenché par la mort de Masha Amini, le rappeur iranien Toomaj Saleh a été condamné à mort par le tribunal révolutionnaire d'Ispahan
Toomaj Salehi a été emprisonné en octobre 2022 après ses vidéos et ses musiques en soutien aux manifestations après le décès de Masha Amini. Accusé de "corruption sur Terre", le tribunal révolutionnaire iranien l'a condamné à mort.
Le rappeur Toomaj Salehi avait été arrêté en octobre 2022 pour avoir soutenu le mouvement de contestation déclenché après la mort de Mahsa Amini, une jeune Kurde iranienne détenue par la police des moeurs.
L'ayatollah Ali Khamenei a salué les forces armées iraniennes ce dimanche 21 avril, assurant que ses "succès" montrant la "grandeur" de Téhéran à l'échelle internationale, faisant référence à l'attaque sans précédent menée en Israël.
Quatre Français sont toujours retenus en otage en Iran actuellement. Alors que la tension monte entre Israël et Téhéran, leurs familles appellent à ne pas les oublier.
Le ministère français des Affaires étrangères avait appelé ses ressortissants situés en Iran à la "plus grande prudence" après l'attaque menée par Téhéran le 14 avril. Quatre ressortissants français sont pour autant emprisonnés en Iran.
Comment les hôpitaux en Israël se préparent en cas d'attaques massives ? Exercices à grande échelle, réaménagements en hôpitaux de guerre, démonstration d'une simulation.
Des explosions ont été entendues près d'une base militaire de la région d'Ispahan (Iran) ce vendredi matin. Selon des médias américains, celles-ci seraient des ripostes à l'attaque de drones et de missiles lancée par l'Iran le 13 avril dernier. Cependant les autorités israéliennes ont minimisé l'événement et n'ont pas accusé l'État hébreu, qui ne les a pas revendiquées de son côté
Les systèmes de défense antiaérienne se sont activés ce vendredi matin près d'Ispahan. L'Iran a minimisé l'impact de ces explosions sans accuser directement Israël, qui, de son côté, ne les a pas revendiquées.
L’Iran a lancé 170 drones, 120 missiles balistiques et 30 missiles de croisière sur le territoire israélien dans la nuit du 13 au 14 avril. Entre ses troupes au sol, ses missiles balistiques ou encore ses drones, que vaut vraiment l’armée israélienne ?
Des explosions ont été entendues dans le centre de l'Iran, dans la nuit de jeudi à vendredi. Téhéran dément une attaque d'Israël, qui avait promis de riposter après l'attaque de l'Iran le week-end dernier.
Le Kremlin a demandé ce vendredi 19 avril à tous les acteurs du conflit au Proche-Orient de "s'abstenir de toute action susceptible de provoquer une nouvelle escalade dans une région aussi sensible".
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a estimé ce vendredi 19 avril qu'il était "absolument nécessaire" que la situation reste "stable" au Proche-Orient, alors que des explosions ont été entendues en Iran, attribuées par les États-Unis à Israël.
L'Iran a activé ce vendredi 19 avril ses défenses aériennes au-dessus de plusieurs villes après des explosions entendues près d'Ispahan, troisième ville la plus peuplée du pays. Des drones ont été abattus, selon les autorités iraniennes. Un responsable iranien a assuré à l'agence de presse Reuters qu'aucune attaque de missile n'avait été menée et les médias locaux ne font état d'"aucun dégât majeur".
Plusieurs drones ont été abattus ce vendredi 19 avril à l'aube en Iran par l'armée à proximité d'une base militaire proche de la ville d'Ispahan. Téhéran assure qu'il n'y a pas "d'attaque par missile jusqu'à présent" sur son territoire. Israël n'a pas fait de commentaire.
De fortes explosions ont été rapportées tôt ce vendredi dans le centre de l'Iran, de hauts responsables américains faisant état d'une attaque israélienne en représailles aux tirs de drones et de missiles sans précédent contre Israël le week-end dernier.
L'Iran a activé ce vendredi 19 avril ses défenses aériennes au dessus de plusieurs villes après des explosions entendues près d'Ispahan, troisième ville la plus peuplée du pays. Des drones ont été abattus, selon les autorités iraniennes. Un responsable iranien a assuré à l'agence de presse Reuters qu'aucune attaque de missile n'avait été menée et les médias locaux ne font état d'"aucun dégât majeur".
Face au Conseil de sécurité de l'ONU, l'Iran a affirmé que ses "actions de légitime défense" étaient terminées et qu'Israël n'avait pas à riposter.
Selon le ministère iranien des Affaires étrangères, Téhéran a échangé avec Washington "avant et après" l'attaque sans précédent menée en Israël le 13 avril. L'Iran assure ce jeudi 18 avril ne pas chercher une escalade de violences au Moyen-Orient.
le Général David Petraeus, ancien directeur de la CIA, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
En réponse à l'attaque de missiles menée par l'Iran contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, Israël promet de "riposter", assurant que l'Iran ne sortira pas "indemne" de son offensive. Tsahal a, de son côté, affirmé avoir tué ce mardi un commandant du Hezbollah ayant planifié des "attaques terroristes contre Israël".
En réponse à l'attaque de missiles menée par l'Iran contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, Israël promet de "riposter", assurant que l'Iran ne sortira pas "indemne" de son offensive. Tsahal a, de son côté, affirmé avoir tué ce mardi un commandant du Hezbollah ayant planifié des "attaques terroristes contre Israël".
En réponse à l'attaque de missiles menée par l'Iran contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, Israël promet de "riposter", assurant que l'Iran ne sortira pas "indemne" de son offensive. Tsahal a, de son côté, affirmé avoir tué ce mardi un commandant du Hezbollah ayant planifié des "attaques terroristes contre Israël".
Depuis des décennies, l'Iran et l'Israël se livrent à une guerre indirecte dans la région. L'attaque revendiquée de Téhéran sur le sol israélien est une première et constitue une rupture dans une stratégie menée depuis 1979, année où l'alliance originelle entre ces deux États a pris fin.
Quelques jours après l'attaque massive de l'Iran contre Israël ce samedi soir, l'armée israélienne soutient que "l'Iran ne sortira pas indemne" de son offensive.
Le puissant mouvement libanais Hezbollah a revendiqué mardi le lancement de deux drones explosifs sur des positions israéliennes, peu après que l'armée israélienne a fait état de l'explosion de "deux drones armés" envoyés depuis le Liban.
Israël promet de "riposter" à l'attaque de l'Iran par drones et missiles dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril malgré les appels de nombreux pays, dont son allié américain à éviter une escalade. Une nouvelle réunion du cabinet de guerre israélien s'est tenue ce matin, la troisième en trois jours.
L'avocate irano-britannique Elica Le Bon a dénoncé ce lundi 15 avril sur Tiktok les personnes affirmant que l'Iran a "le droit de se défendre" face à Israël pour justifier l'attaque lancée par Téhéran dans la nuit de samedi à dimanche. Sa vidéo est rapidement devenue virale.
Alors qu'Israël promet une "riposte" à l'attaque iranienne de ce week-end, le président iranien Ebrahim Raïssi a prévenu, ce mardi 16 avril que "la moindre action" contre "les intérêts de l'Iran" provoquerait des représailles.
Ce week-end, lors des attaques menées par l'Iran contre Israël, l'État a choisi de fermer ses installations nucléaires pour des raisons de "sécurité". Mais alors que l'hypothèse de représailles israéliennes s'installe, l'AIEA craint la "possibilité" de frappes sur ces infrastructures sensibles.
Israël promet "une riposte" à l'attaque massive et sans précédent lancée par l'Iran, malgré les appels de nombreux pays, y compris son allié américain, à éviter une escalade dans une région déjà endeuillée par la guerre en cours dans la bande de Gaza. L'Iran a pour la première fois lancé une attaque directe ce weekend contre Israël, en représailles à une frappe contre le consulat iranien à Damas le 1er avril, attribuée à Israël, qui a tué sept membres des Gardiens de la Révolution.
En réponse à l'attaque de missiles menée par l'Iran contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, Israël promet de "riposter", assurant que l'Iran ne sortira pas "indemne" de son offensive. Tsahal a, de son côté, affirmé avoir tué ce mardi un commandant du Hezbollah ayant planifié des "attaques terroristes contre Israël".
Le chef d'état-major de l'armée israélienne a promis une "riposte" à l'attaque de l'Iran, lors d'une allocution dans une base touchée par une frappe iranienne. Le porte-parole de Tsahal, Daniel Hagari, a également affirmé que sera fait "tout ce qui est nécessaire pour protéger l'État d'Israël, au bon moment et bon endroit"
Le chef d'état-major de l'armée israélienne a promis une "riposte" à l'attaque de l'Iran, lors d'une allocution dans une base touchée par une frappe iranienne. Le porte-parole de Tsahal, Daniel Hagari, a également affirmé que sera fait "tout ce qui est nécessaire pour protéger l'État d'Israël, au bon moment et bon endroit"
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
Opérationnel depuis 2011, l'Iron Dome ou Dôme de fer en français, est un bouclier de défense aérienne capable d'intercepter roquettes, obus, missiles ou drones non guidés. Cette technologie complexe a été développée en seulement deux ans.
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
Emmanuel Macron a confirmé que la France avant procédé depuis la Jordanie à des "interceptions" de missiles et drones iraniens visant Israël dans la nuit de samedi à dimanche
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional
L'Iran a frappé Israël avec des missiles et des drones samedi 13 avril dans une attaque sans précédent. Alors que de nombreux acteurs internationaux ont vite redouté un embrasement dans la région, des experts estiment actuellement qu'il a peut-être été évité.
Après la riposte iranienne samedi dernier et l'envoi de missiles sur le sol israélien, la communauté internationale se mobilise pour éviter que les tensions entre l'État hébreu et la république islamique se transforme en conflit régional. Téhéran appelle les Occidentaux à "apprécier la retenue" de leur réplique à l'attaque contre leur consulat à Damas attribué à Israël.
Après dix jours de montée en tension, l'Iran a lancé une attaque massive à l'aide de drones et de missiles contre Israël dans la nuit de ce samedi 13 au dimanche 14 avril. Téhéran plaide son droit à "l'autodéfense" pendant que la communauté internationale cherche la désescalade.
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Après dix jours de montée en tension, l'Iran a lancé une attaque massive à l'aide de drones et de missiles contre Israël dans la nuit de ce samedi 13 au dimanche 14 avril. Téhéran plaide son droit à "l'autodéfense" pendant que la communauté internationale cherche la désescalade.