Iran: 19 morts dont un colonel des Gardiens de la Révolution dans des heurts
19 personnes ont été tuées ce vendredi dans des échanges de tirs au sud-est du pays.
19 personnes ont été tuées ce vendredi dans des échanges de tirs au sud-est du pays.
Les manifestations durent depuis deux semaines en Iran. Elles ont été déclenchées par la mort de la jeune femme kurde Mahsa Amini, après son arrestation par la police des moeurs.
Une jeune femme iranienne avait été filmée en train de s'attacher les cheveux alors qu'elle participait à une manifestation en Iran. Elle était devenue un symbole et plusieurs médias dont BFMTV.com avait relayé l'annonce de sa mort. Elle est en réalité toujours vivante, selon les informations de la BBC.
Alors que les manifestations continuent d'être réprimées en Iran, les familles expatriées en France ont de plus en plus peur pour leurs proches présents sur place.
En Iran, la répression numérique s'ajoute à la répression physique: l'accès à Internet est très limité, et les Iraniens de France ont de plus en plus de plus de mal à communiquer avec leurs proches restés au pays.
Les autorités iraniennes ont annoncé avoir procédé à plus de 1200 arrestations depuis le début des manifestations.
La famille de la jeune femme, arrêtée le 13 septembre dernier pour non-respect du code vestimentaire et morte trois jours plus tard en prison, a décidé de porter plainte.
Le prince prend un poste qui revient traditionnellement au roi, alors que la santé de son père inquiète sur place.
Le ministère français des Affaires étrangères a précisé dans un communiqué que la France examinait avec ses partenaires européens "les options disponibles en réaction à ces nouvelles atteintes massives aux droits des femmes et aux droits de l'Homme en Iran".
Hadis Najafi, une jeune femme âgée de 20 ans, a été tuée ce week-end par les forces de sécurité de la République islamique d’Iran alors qu’elle manifestait dans la ville de Karaj, à une vingtaine de kilomètres de Téhéran.
Depuis mars dernier, les talibans ont ordonné la fermeture des classes de secondaires pour les filles. Mais des écoles clandestines prennent d'énormes risques pour continuer d'accueillir ces adolescentes. Un reportage de Fanny Morel et Quentin Baulier, à découvrir en intégralité ce lundi 26 septembre à 20h50 sur BFMTV.
La jeune femme a été tuée ce week-end de six balles, dont une en pleine tête, par les forces de sécurité de la République islamique.
Elle avait 20 ans et la vidéo sur laquelle elle nouait ses cheveux avant de rejoindre les protestations avait fait le tour des réseaux sociaux. Hadis Najafi a été tuée ce week-end. Six balles dans la tête, dans le cou et dans la poitrine par les forces de sécurité de la République islamique d’Iran.
Sur les réseaux sociaux, la vidéo de cette jeune fille, non-voilée, a été massivement relayée. Mais son identité reste pour l'heure inconnue.
Alors que les manifestations en Iran se poursuivent après la mort de Mahsa Amini, une jeune femme a partagé sa reprise du chant de révolte "Bella Ciao", chantée en persan.
Selon une loi en vigueur dans le pays depuis 1983, les femmes, iraniennes et étrangères et quelle que soit leur religion, doivent sortir la tête voilée et le corps couvert d'un vêtement ample plus ou moins long.
Des manifestants se sont rassemblés, ce samedi 24 septembre sur la Place d'Italie, à Paris, pour exprimer leur soutien aux femmes iraniennes. Depuis dimanche dernier, de nombreuses manifestations ont éclaté dans le pays, après la mort de Mahsa Amini à la suite de son arrestation par la police des mœurs le 16 septembre.
De nombreuses manifestations ont éclaté dans le pays après la mort de Mahsa Amini, à la suite de son arrestation par la police des moeurs le 16 septembre.
Un mouvement de protestation massif secoue l'Iran depuis la mort de Mahsa Amani, une jeune femme de 22 ans, après son arrestation pour non-respect de l'obligation du port du foulard. Un média d'État a indiqué que le bilan s'élevait à au moins 35 morts.
Des manifestations ont débuté en Iran il y a une semaine, après l'annonce de la mort de Mahsa Amini, une jeune femme de 22 ans arrêtée la semaine dernière par la police des mœurs.
Les autorités iraniennes ont imposé des restrictions drastiques sur internet, en raison des protestations provoquées par la mort de Mahsa Amini, une jeune femme arrêtée par la police des moeurs pour non-respect de l'obligation du port du foulard.
La colère ne retombe pas en Iran, les manifestations se multiplient dans la capitale Téhéran ainsi que dans tout le pays. Des manifestations pro-gouvernement ont également eu lieu ce vendredi.
Un mouvement de protestation massif secoue l'Iran depuis la mort de Mahsa Amani, une jeune femme de 22 ans, après son arrestation pour non-respect de l'obligation du port du foulard. Dans la capitale iranienne, des contre-manifestations sont organisées pour fustiger "ces comploteurs".
En Iran, la mort d'une jeune femme arrêtée pour "port de vêtements inappropriés" a déclenché une vague de manifestations dans le pays. En guise de protestation, certaines femmes ont même décidé de se filmer en train de brûler leur voile ou de se couper les cheveux. Trois militantes de la diaspora expliquent à BFMTV.com pourquoi elles se battent aujourd'hui.
La cheffe de l'antenne internationale de CNN, Christiane Amanpour, a refusé de porter un voile pour interviewer le président iranien en marge de l'Assemblée générale des Nations Unies. Un choix qui a mené à l'annulation de la rencontre.
L'Iran est en proie à une vague de manifestations massives depuis l'annonce de la mort de Mahsa Amini, une jeune femme de 22 ans à qui la police des mœurs reprochait de mal porter son foulard, obligatoire au sein de la République islamique.
Les manifestations ont éclaté en Iran après l'annonce de la mort de Mahsa Amini, une jeune femme arrêtée la semaine dernière par la police des mœurs. Au moins 31 civils sont morts.
Des manifestations ont débuté en Iran il y a 6 jours, après l'annonce de la mort de Mahsa Amini, une jeune femme de 22 ans arrêtée la semaine dernière par la police des mœurs.
Depuis la mort de Mahsa Amani, une jeune femme de 22 ans, après son arrestation pour non-respect de l'obligation du port du foulard, des manifestations ont embrasé plusieurs villes d'Iran.
Cette jeune Iranienne de 22 ans était tombée dans le coma après avoir été arrêtée par l'unité de police chargée de faire respecter le code vestimentaire de la République islamique pour les femmes, y compris le port du foulard en public.
À Téhéran, en Iran, des centaines de femmes ont manifesté après la mort de Mahsa Amini, une jeune femme de 22 ans arrêtée la semaine dernière par la police des mœurs.
La mort de la militante de 22 ans, Mahsa Amini, après son arrestation à Téhéran pour non port du voile a donné lieu à un mouvement de protestation de la part de nombreuses femmes iraniennes.
Mahsa Amini, âgée de 22 ans, était en visite à Téhéran avec sa famille quand elle a été arrêtée mercredi par une unité spéciale de la police chargée d'appliquer l'obligation de se couvrir d'un hijab. La jeune femme est morte quelques heures après l'incident. Sur Twitter, le #مهسا_امینی était dimanche midi en première position des tendances avec près de 1,5 million de tweets.
La mort de la militante de 22 ans Mahsa Amini après son arrestation à Téhéran pour non port du voile a donné lieu à un mouvement de protestation de la part de nombreuses femmes iraniennes.
Dans une interview accordée à l'émission américaine 60 minutes, Ebrahim Raïssi a mis en doute la réalité de la Shoah et a qualifié Israël de "faux régime".
Originaire du Kurdistan, dans le nord-ouest de l'Iran, Mahsa Amini, âgé de 22 ans, était en visite dans la capitale avec sa famille quand elle a été arrêtée mardi par la police chargée d'appliquer les règles vestimentaires strictes pour les femmes.
Mahsa Amini, 22 ans, a été arrêtée mardi par l'unité de police chargée de faire respecter le code vestimentaire strict de la République islamique pour les femmes, dont le port obligatoire du foulard en public. La télévision d'Etat a annoncé vendredi sa mort après trois jours dans le coma. Elle a été inhumée samedi dans sa ville natale de Saghez, dans la province du Kurdistan, selon l'agence de presse Fars. Après ses funérailles, des personnes "ont scandé des slogans en exigeant des enquêtes détaillées sur cette affaire", selon la même source. Les "manifestants se sont ensuite rassemblés devant le bureau du gouverneur" en scandant "d'autres slogans" avant d'être "dispersés par les forces de sécurité qui ont tiré des gaz lacrymogènes".
Mahsa Amini, âgée de 22 ans, est morte après avoir été arrêtée mercredi à Téhéran, en Iran, par la police chargée de veiller au port du voile.
Les épargnants libanais sont de plus en plus nombreux à braquer leur banque pour obtenir l'argent bloqué sur leurs comptes.
Cette femme a eu recours à une fécondation in vitro pour avoir un enfant. Une commission mise en place par le ministère de la Santé israëlien va enquêter sur cette affaire.
Au Liban, une jeune femme de 27 ans a braqué sa propre banque ce mercredi pour financer le traitement de sa sœur atteinte d'un cancer.
Le père de Samy Amimour, un des terroristes du Bataclan, souhaite rencontrer et accueillir sa petite-fille, rapatriée de Syrie le 5 juillet dernier avec sa mère.
La France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme pour ne pas avoir rapatrié filles et petits-enfants des requérants détenus dans des camps en Syrie. Le ministère Affaires étrangères se dit désormais prêt à envisager de nouveaux rapatriements chaque fois que les conditions le permettent.
Les talibans examinent une vidéo montrant une exécution sommaire, ce mercredi.
Une jeune femme de 27 ans a braqué sa propre banque ce mercredi pour financer le traitement de sa soeur atteinte d'un cancer.
Depuis leur retour au pouvoir le 15 août 2021, les talibans ont imposé des restrictions sévères aux filles et aux femmes pour qu'elles se conforment à leur vision ultra-rigoriste de l'islam.
Nourah al-Qahtani avait "utilisé le réseau social pour contester la religion et la justice" du roi Salmane et du prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, selon les autorités locales.
La journaliste palestino-américaine, star d'Al-Jazeera, avait été tuée par balles en mai lors d'un reportage en Cisjordanie. Israël niait jusqu'à présent toute implication.
Un homme a été pendu et un autre fusillé pour avoir fourni des "informations" à Israël. Il s'agit des premières exécutions connues dans la bande de Gaza depuis 2017.
La branche d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique a diffusé la vidéo d'un employé de l'ONU enlevé au Yémen. Ce dernier y affirme que sa vie est en danger.