Les Parisiens peinent à acheter à Paris
Quand ils achètent un logement, les Franciliens sont souvent obligés de quitter leur département d’habitation.
Quand ils achètent un logement, les Franciliens sont souvent obligés de quitter leur département d’habitation.
La poursuite du mouvement de baisse des taux immobiliers ouvre de nouvelles possibilités de renégociation aux emprunteurs. Quelques conseils pour savoir si vous êtes concernés.
A l’occasion de la mise à jour de son « indicateur des taux », l’Agence nationale du logement (Anil) confirme la poursuite du mouvement de baisse des taux des prêts à l’habitat, et leur maintien à « des niveaux historiquement bas sur une longue durée ».
Credixia en est convaincu : « Il n’y a aucune raison de prévoir une hausse des taux dans les prochains mois, sous réserve d’évènements extérieurs en France et en Europe ».
Meilleurtaux met son baromètre à jour et constate qu’en août, le taux le plus bas négocié est le même dans plusieurs villes, de 2,45 % à Strasbourg, Marseille, Toulouse, Montpellier, Bordeaux et Nice.
Le courtier en crédit Cafpi indique qu'en moyenne, le montant d’une acquisition immobilière représente, en août, 4,70 années de revenus pour un primo-accédant ; pour un particulier déjà propriétaire, ce chiffre tombe à 4,38.
Selon la Bourse des crédits, la baisse des taux d’emprunt immobilier devrait se poursuivre à la rentrée, et se poursuivre « jusqu’au dernier trimestre 2014 ».
Les marges des établissements de crédit fondent dans le contexte actuel de taux au plancher. En cause : les vagues de renégociations de crédit, selon Les Echos.
Les taux de crédit impriment à nouveau une légère baisse, selon le dernier état des lieux d’Empruntis.
Le décret du 1er août relatif aux nouvelles conditions d’attribution et modalités des prêts à taux zéro (PTZ) a été publié mercredi 6 août au Journal officiel.
Les régions avec les taux les plus attractifs sont le Midi-Pyrénées et l’Aquitaine, selon le courtier en crédit Cafpi.