BFMTV
La SNCF déclare la guerre aux fraudeurs avec des nouveaux portiques

La SNCF déclare la guerre aux fraudeurs avec des nouveaux portiques

Dès lundi matin, la SNCF teste de nouveaux portiques anti-fraude. La gare Montparnasse et celle de Marseille Saint-Charles accueillent pendant trois mois quatre prototypes, directement installés sur les quais. Ces portiques ne peuvent être franchis qu’en scannant son billet. Cette initiative ne fait pas l’unanimité chez les voyageurs, qui y voient avant tout une perte de temps. Si le test est une réussite, les portiques seront à terme installés dans toutes les grandes villes de France. Pour la SNCF, la priorité est de lutter contre la fraude, qui lui coûte 300 millions d’euros par an.

Ile-de-France : le dépistage de cannabis au lycée se précise

Ile-de-France : le dépistage de cannabis au lycée se précise

La nouvelle présidente du Conseil régional d’Île-de-France, Valérie Pécresse (Les Républicains), envisage l’obligation des tests de dépistage de cannabis au lycée. Elle pourrait également proposer de rembourser ces tests aux chefs d’établissement qui en feraient la demande. Chaque dispositif coûte 9 euros et détecte la prise de cannabis dans un délai de six heures maximum. Pour réaliser un test précis, il vaut mieux privilégier le test urinaire, qui permet de détecter des traces de cannabis un mois après la prise de substances.

Hommage place de la République sans la foule du 11 janvier et sous le signe de la sécurité

Hommage place de la République sans la foule du 11 janvier et sous le signe de la sécurité

La sécurité a été renforcée, ce dimanche, autour de la place de la République de Paris à l'occasion des hommages pour les victimes des attentats de 2015. Notre reporter, Salhia Brakhlia, s'est rendue sur place pour prendre le pouls de l'événement. Des officiels, des rescapés comme Jérémy Maccaud (aussi journaliste à BFMTV.com, ndlr) et des anonymes se sont rassemblés même si on était loin de la foule du 11 janvier dernier.

Patrick Pelloux:" Vous ne pouvez pas dissocier les attentats à Charlie Hebdo" des autres

Patrick Pelloux:" Vous ne pouvez pas dissocier les attentats à Charlie Hebdo" des autres

Patrick Pelloux, l'ancien chroniqueur à Charlie Hebdo, était sur le plateau d'Apolline de Malherbe place de la République dimanche soir. Un hommage a été rendu dans la journée aux victimes des attentats de 2015 sur ce lieu de commémoration et de rassemblement. "Vous ne pouvez pas dissocier les attentats à Charlie Hebdo de l'attentat de l'Hyper Cacher, de celui du 13 novembre mais aussi de tous les attentats qui ont été évités comme à Grenoble ou dans le Thalys. La liste est longue" a-t-il déploré.

Un habitué de la place de la République: "le soufflé du 11 janvier est retombé, c'est presque triste"

Un habitué de la place de la République: "le soufflé du 11 janvier est retombé, c'est presque triste"

Amaury s'est rendu ce dimanche à la place de la République à Paris comme il le fait régulièrement depuis la grande marche républicaine du 11 janvier dernier. "On a dû mal à la quitter, on a l'impression qu'on se doit d'être là pour les autres pour porter un peu de soutien et un peu d'amour qu'on a à offrir", a-t-il confié. Le soufflé du 11 janvier est retombé, c'est presque triste", a-t-il eu envie de dire.

Un rescapé du Bataclan participe aux hommages à la République

Un rescapé du Bataclan participe aux hommages à la République

Cette année 2015 restera, comme pour beaucoup d’autres, gravée dans la mémoire de Thierry. Grand fan de musique, il était présent dans la fosse du Bataclan lors du concert des Eagles of Death Metal le 13 novembre dernier. Il a suivi avec attention la cérémonie d’hommage place de la République. Pour lui impossible de dissocier les attentats de janvier de ceux de novembre 2015. Le rescapé est aussi retourné sur les lieux de l'attentat.

Légitime défense: le gouvernement envisage de renforcer le pouvoir des policiers

Légitime défense: le gouvernement envisage de renforcer le pouvoir des policiers

La légitime défense permet actuellement aux policiers d’utiliser leur arme dans le seul cas où leur intégrité physique, ou celle d’un tiers, est mise en danger. Mais après les attentats de janvier et de novembre, le gouvernement envisage de renforcer le pouvoir des forces de l’ordre. Un policier pourrait alors utiliser son arme même s’il n’est pas directement menacé face à un individu ayant déjà commis un crime. Des mesures que certaines associations critiquent déjà. Elles craignent que les forces de l’ordre puissent tirer sans savoir si quelqu’un est coupable ou non. Le texte ne devrait pas être présenté au Conseil des ministres avant février.

Attaque dans le 18e: "Ce n'était pas un mec méchant, selon un proche

Attaque dans le 18e: "Ce n'était pas un mec méchant, selon un proche

BFMTV a pu recueillir le témoignage d'un proche de Tarek Belkacem tué devant un commissariat dans le 18e arrondissement ce jeudi. "Ce n’était pas un mec méchant", a affirmé Bachir en reconnaissant une photo de l’homme abattu par des policiers alors qu'il avait un hachoir et portait un faux engin explosif. Bachir découvre les traits d’un visage qui "a grossi" "Il a eu de mauvaises fréquentations, il est peut-être tombé sur des personnes qui l’ont influencé en mal", a-t-il affirmé. "Il a fait sa propagande, il s’est suicidé", a-t-il ajouté.