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Lumière tamisée, musique coupée... Cette enseigne propose de faire ses courses dans le silence pour accompagner ses clients atteints d'autisme

Lumière tamisée, musique coupée... Cette enseigne propose de faire ses courses dans le silence pour accompagner ses clients atteints d'autisme

Après avoir expérimenté le dispositif localement, Carrefour va généraliser "l’heure silencieuse" hebdomadaire dans plus de 1240 magasins de 14 à 15h le lundi, à compter de ce 5 avril. Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec Autisme France qui permettra "aux personnes atteintes de trouble de l’autisme, mais également à tous les clients" de faire "leurs courses dans le calme", explique l'enseigne dans un communiqué.

Mauvais sein irradié dans le traitement d'un cancer: "Les rayons X, paradoxalement, peuvent entraîner un cancer dans les années qui suivent", explique Avi Assouline, oncologue radiothérapeute

Mauvais sein irradié dans le traitement d'un cancer: "Les rayons X, paradoxalement, peuvent entraîner un cancer dans les années qui suivent", explique Avi Assouline, oncologue radiothérapeute

À Tours, une patiente atteinte d’un cancer du sein a été irradiée sur le mauvais côté. Une erreur détectée au bout de 25 séances de radiothérapie et qui pourrait avoir des conséquences. Avi Assouline, oncologue radiothérapeute au centre de cancérologie de la Porte de Saint-Cloud, était invité de BFMTV pour en parler. 

Aide médicale d'État: 3500 médecins s'engagent à "continuer de soigner gratuitement" les patients sans-papiers si le dispositif est supprimé

Aide médicale d'État: 3500 médecins s'engagent à "continuer de soigner gratuitement" les patients sans-papiers si le dispositif est supprimé

"Moi, médecin, déclare que je continuerai à soigner gratuitement les patients sans papiers selon leurs besoins, conformément au Serment d’Hippocrate que j’ai prononcé." Voici la "déclaration de désobéissance" signée par 3500 médecins salariés et libéraux, opposés à la suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) aux sans-papiers, dans un appel transmis samedi 11 novembre à l’Agence France-Presse (AFP). Ces professionnels de santé s’engagent à "désobéir" et à "continuer de soigner gratuitement" ces malades si le dispositif devait disparaître, comme le souhaite une partie de la classe politique.