Les enfants de 5 à 11 ans vont pouvoir aller se faire vacciner contre le Covid-19 à partir de mercredi. La Haute autorité de santé a donné son feu vert lundi, mais ne souhaite pas la rendre "exigible ni obligatoire". Elle justifie sa décision par le fait que le bénéfice risque d'une vaccination des quelque 5,7 millions d'enfants français serait "favorable en particulier dans le contexte de recrudescence de l'épidémie" et de l'arrivée du variant Omicron, très contagieux, susceptible d'accroître les cas de formes graves chez les plus jeunes, jusqu'ici très rares. Mais pas sûr que cela suffit à convaincre les parents encore réticents.
Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a déclaré mardi que tous les Israéliens de plus de 60 ans et le personnel médical auraient droit à une quatrième dose de vaccin contre le Covid-19, après consultation d'un groupe d'experts.
Ce lundi, l'Institut Pasteur a communiqué autour d'une étude qu'il a chapeautée et prépubliée en fin de semaine dernière. Il y apparaît que tandis que les anticorps monoclonaux utilisés en cliniques contre les formes graves du virus mettent à mal le variant Delta, Omicron leur oppose une résistance plus vive. Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie médicale au CHU de Bordeaux, était en direct ce mardi sur BFMTV.
Bien souvent poussés par les mesures de restrictions à l'encontre des non-vaccinés, près d'un an après l'arrivée des vaccins, certains Français franchissent finalement le pas de la primo-injection.
L'Union européenne a autorisé l'utilisation d'un 5e vaccin contre le Covid, celui de l'américain Novavax, tandis que les avertissements et restrictions face à la progression fulgurante du variant Omicron se multiplient dans le monde entier. Le vaccin Novavax va-t-il aider à convaincre une partie des derniers sceptiques de la vaccination en France ? C'est possible dans la mesure où la technologie qu'il utilise ne relève pas de l'ARN-messager, sur laquelle sont basés les vaccins développés par Pfizer et Moderna, de loin les plus injectés en France.
Échappant en partie à l’immunité, le variant Omicron devrait devenir majoritaire en France et en Europe dans les prochaines semaines. Mais nos vaccins sont-ils efficaces contre cette nouvelle mutation du Covid-19 ? Voici ce que disent les premières études.
J-3 avant Noël. Et pour passer les fêtes en toute sérénité, les Français se ruent sur les tests antigéniques, PCR ou autotests… tous les moyens sont bons pour ne pas laisser le Covid s’inviter au réveillon.
Le Premier ministre Jean Castex l'a annoncé vendredi, le gouvernement veut transformer le pass sanitaire en pass vaccinal d'ici fin janvier. Dans la foulée de ces annonces, le nombre de rendez-vous pris sur Doctolib pour une première injection de vaccin est reparti à la hausse. Le site en a enregistré 26.000 rien que ce week-end, en augmentation nette puisque les deux précédents, le nombre de rendez-vous pour une première dose avoisinait les 12.000. Rien que vendredi, jour du Conseil de défense sanitaire, 16.300 créneaux ont été réservés, soit 5000 de plus que celui de la semaine d'avant, un record pour le mois de décembre.
Alors que de plus en plus de pays doivent faire face au variant Omicron, les États-Unis estiment aujourd'hui que la nouvelle souche est devenu largement majoritaire sur leur territoire.
L'augmentation massive de cas de Covid-19 au Royaume-Uni, et l'ampleur toujours plus importante du variant Omicron ont forcé la municipalité de Londres à annuler les festivités prévues pour le Nouvel An.
Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT, s'est dit ce lundi sur BFMTV contre le pass sanitaire en entreprise.
Testé positif au Covid-19, Nicolas Dupont-Aignan a affirme ce lundi sur BFMTV avoir été prudent et d'autant plus qu'il n'était pas vacciné
Ce syndrome peut apparaître après une infection au Covid-19 et entraîner d'importantes complications chez les jeunes malades.
Alors que la Haute autorité de santé a donné son accord pour la vaccination des 5-11 ans ce lundi, les spécialistes encouragent les parents à suivre cette recommandation. Une décision pour protéger les petits, et leurs proches.
Une nouvelle marque symbolique franchie. Ce lundi, plus de 3000 patients se trouvaient en services de soins critiques en France, une première depuis le mois de mai dernier.
À une semaine de Noël, les restrictions se multiplient de nouveau à travers le monde face à la propagation du variant Omicron. Aux États-Unis, la cinquième vague déferle de Washington à Boston, en passant par New York. Pour l'instant, pas de mesures restrictives mais le président doit s'exprimer demain pour faire un point sur la situation sanitaire.
L'Italie réfléchit à de nouvelles mesures de restriction à cause du variant Omicron. Pour l'instant, un test négatif obligatoire et une quarantaine de cinq jours pour les non-vaccinés ont été mis en place pour pouvoir entrer dans le pays.
À une semaine de Noël, les restrictions se multiplient de nouveau à travers le monde face à la propagation du variant Omicron. En Israël, une liste de "pays rouge" a été instaurée. Dix nouveaux pays ont été ajoutés, parmi eux, la France. Pour les citoyens et résidents israéliens qui y seraient présents devront respecter une période d'isolement d'une semaine à leur retour.
À une semaine de Noël, les restrictions se multiplient de nouveau à travers le monde face à la propagation du variant Omicron. Les Pays-Bas reconfinent jusqu'au 14 janvier. Une surprise pour les habitants car un confinement partiel était déjà en vigueur.
À une semaine de Noël, les restrictions se multiplient de nouveau à travers le monde face à la propagation du variant Omicron qui a poussé le maire de Londres à déclencher une procédure d'alerte. le gouvernement quant à lui appelle à la prudence
La campagne, déjà ouverte aux 5-11 ans à risque, doit être étendu dans les prochains jours à l'ensemble des enfants de cette tranche d'âge.
Contacté par Var-Matin, le directeur du centre hospitalier précise qu'aucun de ces résidents "n'a développé de forme grave" du virus.
"C'est une manière pour le gouvernement d'imposer une obligation déguisée par le biais des entreprises", a estimé ce lundi sur BFMTV Dominique Carlac'h, vice-présidente du Medef, à propos d'un possible pass sanitaire pour travailler.
Les Pays-Bas ont entamé ce dimanche un nouveau confinement pour la période des fêtes de Noël, afinde tenter d'enrayer une forte augmentation des cas du variant Omicron.
Technologie, efficacité, distribution... alors que la Haute Autorité de Santé a finalement autorisé le vaccin anti-Covid de Novavax en France, BFMTV.com fait le point sur ce nouveau vaccin.
Les personnels de santé ne souhaitant pas se faire vacciner pourront également "s'orienter vers un nouveau métier" via une "cellule d'accompagnement et de reconversion professionnelle".
Opposant au pass sanitaire et sceptique à l'égard des vaccins, le leader de Debout la France avait déclaré à une passante ne pas être vacciné lors d'un déplacement en novembre dernier.
Ce lundi, l'Institut Pasteur a communiqué autour d'une étude qu'il a chapeautée et prépubliée en fin de semaine dernière. Il y apparaît que tandis que les anticorps monoclonaux utilisés en cliniques contre les formes graves du virus mettent à mal le variant Delta, Omicron leur oppose une résistance plus vive. Mais l'enquête prouve que la dose de rappel a raison du nouveau variant.
Le cabinet de Brigitte Bourguignon, ministre chargée de l'Autonomie, a transmis ce lundi de nouvelles recommandations aux directions d'Ehpad afin de renforcer la vigilance sanitaire autour des résidents en cette période de fêtes de Noël et du Nouvel An.
"Un enfant a encore de la fièvre, seulement de la fièvre", du paracétamol lui "a été administré" et un deuxième enfant présente une "petite douleur au bras", selon l'Agence régionale de santé.
L'Autriche vient de vivre deux semaines de confinement. Les magasins, les lieux de cultures, les café et les restaurants étaient fermés. Les Autrichiens pouvaient toutefois sortir. L'efficacité est visible dans le chiffres. L'incidence baisse. A partir de février, les personnes non-vaccinées devront payer une amende en fonction de leurs revenus.
Dans ce centre de vaccination d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine), entre 10 et 30 personnes viennent chaque jour se faire administrer leur toute première injection anti-Covid.
Christiane Taubira était en déplacement au centre hospitalier de Vierzon (Cher) ce lundi 20 décembre.
Ce lundi, la Haute autorité de santé (HAS) a donné son feu vert pour la vaccination de tous les enfants de 5 à 11 ans. Il est conseillé d'effectuer un test sérologique par tous les enfants avant vaccination. La HAS priorise également les enfants de moins de 12 ans.
Le ministère de l'Intérieur faisait état de 110.000 faux pass la semaine passée, mais le chiffre a depuis été réévalué à la hausse.
La campagne, déjà ouverte aux 5-11 ans à risque, doit être étendu dans les prochains jours à l'ensemble des enfants de cette tranche d'âge.
Benjamin a été testé positif au Covid-19 une semaine avant Noël. Pour protéger sa famille, il sera donc confiné le 24 au soir et le 25 décembre. Un événement qui bouleverse l'organisation des festivités.
Le projet de loi du gouvernement de remplacer le pass sanitaire par un pass vaccinal doit être débattu au Parlement en janvier prochain.
A quelques jours des fêtes de fin d'année, les autorités recommandent le recours aux tests pour limiter la diffusion du Covid-19. Mais au vu de leur multiplicité, il peut être difficile de s'y retrouver.
Le variant Omicron se répand en Israël malgré sa fermeture précoce de ses frontières. 70% de la population est vaccinée mais le gouvernement demande que les Israéliens aillent faire leur troisième dose.
Le Pr Philippe Amouyel, épidémiologiste, était en direct ce lundi midi sur BFMTV.
"A un moment donné, tout le monde aura eu contact avec ce virus. Et évidemment que la vaccination va nous aider considérablement, on le sait déjà", a affirmé l'épidémiologiste aux hôpitaux universitaires de Genève Didier Pittet sur BFMTV ce lundi.
L'efficience d'un schéma vaccinal complet, c'est-à-dire l'injection de deux doses complétée par une dose de rappel, contre une infection symptomatique du variant Delta s'élève à 92,6% selon cette même étude en vie réelle menée au Royaume-Uni, parue au cours de la semaine passée.
Le variant Omicron est une nouvelle version du SARS-CoV-2 (le coronavirus à l'origine du Covid-19) qui a été identifiée fin novembre au Botswana, puis en Afrique du Sud. Sa particularité, c'est son nombre élevé de mutations par rapport à la souche initiale du virus, dite de Wuhan, et les précédents variants, comme le Delta, qui domine largement les contaminations mondiales depuis l'été 2021. On ne sait pas précisément où et comment est apparu Omicron. Une hypothèse séduit de nombreux scientifiques: le virus aurait peu à peu muté à bas bruit dans l'organisme d'une personne immunodéprimée, un processus qui aurait mis plusieurs mois pour aboutir à une version nettement différente de la souche initiale. Ce nouveau variant est manifestement très contagieux. Il se propage "à un rythme que nous n'avons jamais vu avec aucun autre variant" et "se trouve probablement dans la plupart des pays", a averti mi-décembre Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'Afrique du Sud et ses voisins ont enregistré une flambée de cas de Covid avec l'arrivée d'Omicron, qui a aussi connu une avancée fulgurante dans plusieurs pays européens. C'est le cas du Danemark et du Royaume-Uni. Plus largement, Omicron pourrait être dominant en Europe d'ici à la mi-janvier, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Va-t-il définitivement remplacer Delta? C'est une forte probabilité mais les scientifiques évoquent d'autres possibilités: qu'Omicron supplante un temps son prédécesseur mais finisse par lui laisser à nouveau la place ou que les deux variants coexistent comme c'est le cas pour certaines souches du virus de la grippe saisonnière. Source d'inquiétude: les mutations d'Omicron sont de nature à considérablement réduire l'immunité par anticorps contre le virus. Conséquence: il peut probablement réinfecter des personnes précédemment atteintes du virus et contaminer un nombre important de vaccinés. Plusieurs études récentes, faites en laboratoire, appuient cette dernière hypothèse. Elles montrent que le taux d'anticorps s'effondre face à Omicron chez des vaccinés avec Pfizer/BioNTech, Moderna, et, plus encore AstraZeneca ou Sinovac. Certes, une dose de rappel semble relancer nettement l'immunité par anticorps, comme l'ont notamment annoncé Pfizer et BioNTech, mais on est très loin de savoir à quel point cet effet perdure dans le temps. Toutefois, cela ne signifie pas que les vaccins perdent toute leur efficacité. Car les anticorps ne sont qu'un des volets de la réponse immunitaire, qui passe aussi par des cellules appelées lymphocytes T. Plus difficile à mesurer, cette "immunité cellulaire" n'en joue pas moins un rôle très important, notamment contre les formes graves de la maladie. De fait, une étude publiée en Afrique du Sud laisse penser que le vaccin Pfizer/BioNTech reste plutôt efficace contre les formes graves générées par Omicron, y compris après les deux premières doses.
Les résultats des tests de criblage réalisés sur certains tests PCR permettent d'estimer la diffusion du variant dans l'Hexagone. Il progresse déjà nettement en Île-de-France.
D'après les projections, les admissions en soins critiques vont continuer d'affluer pendant les fêtes. L'hôpital, déjà en souffrance, tiendra-t-il le choc ?
Le nombre de tests positifs qui font l'objet d'un séquençage et le délai pour en obtenir les résultats empêchent de connaître précisément la trajectoire de la propagation du variant Omicron en France.
Selon le président du conseil d'orientation de la stratégie vaccinale, interrogé sur France Inter ce lundi, la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal est nécessaire. Mais elle ne sera pas forcément suffisante.
Face aux mauvaises projections dû au variant Omicron, les Pays-Bas reconfinent la population jusqu'au 14 janvier. Fermeture des commerces non-essentiels, pas plus de 2 personnes chez soi, retour du télétravail... les mesures prises ne font pas l'unanimité auprès des habitants.
Le variant Omicron inquiète les scientifiques par la rapidité à laquelle il se propage et son niveau de transmission très élevé. Il devrait être majoritaire d'ici la mi-janvier et remplacer le variant Delta, à l'origine de la 5e vague en France.
