Avec 50.000 cas quotidien en moyenne chaque jour depuis une semaine, l'épidémie de Covid-19 continue de progresser en France. Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal redoutait hier que le nombre de patients atteigne hier le chiffre de 4000 en réanimation pendant les fêtes.
SONDAGE BFMTV - L'arrivée des fêtes de Noël en période de Covid-19 fait ressurgir les craintes de contaminations, alors que la France connaît une cinquième vague. C'est ce que montre notre dernier sondage Elabe pour BFMTV, L'Express et SFR, publié ce jeudi.
Les États-Unis restent le pays le plus endeuillé par le Covid-19 devant le Brésil et l'Inde.
Alors que le Pays-Bas a restreint les rassemblements familiaux pour lutter contre le variant Omicron en pleine pandémie de Covid-19, l'organisation de l'anniversaire de la princesse Amalia est vivement critiqué.
Jean-Paul Stahl, professeur émérite en maladies infectieuses à l'université de Grenoble était l'invité de 22H Max ce mercredi sur BFMTV.
Alors que la situation épidémique ne cesse de se dégrader en France, un nouveau Conseil de défense sanitaire est organisé ce vendredi par l'exécutif. Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a notamment évoqué ce mercredi de possibles "nouvelles décisions d'ici la fin de la semaine".
Le collectif "Ehpad familles 42 et autres départements" a expliqué au cours d'une conférence de presse que certains établissements refusent ou restreignent les visites et n'autorisent pas les repas avec les proches.
2843 personnes sont hospitalisées en soins critiques au total alors que la vague de Covid-19 se poursuit en France. Gabriel Attal prévoit que le nombre de patients en réanimation "devrait dépasser 3000 très rapidement et atteindre les 4000 autour des fêtes."
L'épidémiologiste et enseignant-chercheur à l'EHESP de Rennes Pascal Crépey était l'invité de Calvi 3D ce mercredi soir sur BFMTV.
Le ministre de la Santé, auditionné en commission à l'Assemblée nationale, a évoqué un éventuel "abandon des poursuites" pour les personnes disposant d'un faux pass sanitaire et souhaitant recevoir le sérum.
Un Conseil de défense sanitaire aura lieu vendredi après-midi, selon des sources concordantes à BFMTV. Ces derniers jours, à l'approche des premiers départs en vacances et des fêtes de fin d'année, le gouvernement multiplie les messages d'alerte. "La cinquième vague est probablement la plus forte que nous ayons connue depuis le début de la pandémie", a ainsi déclaré Olivier Véran, le ministre de la Santé, devant les députés ce mercredi.
Alors que les gouvernements occidentaux met largement l'accent sur la vaccination ces dernières semaines, l'agence européenne des maladies demande aux États de mettre en avant d'autres mesures "non thérapeutiques".
L'Agence européenne des Médicaments a estimé qu'il était possible de recevoir sa dose de rappel avec le vaccin unidose, même en cas de cycle vaccinal réalisé avec un vaccin à ARN messager.
2792 personnes atteintes du virus sont actuellement hospitalisées en soins critiques. Une indicateur qui pourrait atteindre les 4000 autour des fêtes de fin d'année, selon le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.
Le nouveau variant Omicron pourrait devenir dominant parmi les infections de Covid-19 en Europe d'ici mi-janvier, a mis en garde mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti mardi que le variant Omicron se propage "à un rythme que nous n'avons jamais vu avec aucun autre variant", appelant à utiliser tous les outils anti-Covid pour éviter que les systèmes de santé européens ne soient rapidement submergés à l'approche des fêtes de fin d'année.
Le dernier point de situation de Santé publique France fait état de la progression de l'épidémie de grippe en France, mais également de la circulation toujours élevée de la bronchiolite.
A l'approche des fêtes, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attlal, anticipe des milliers de patients atteints du covid en réanimation. Hier encore, il y a eu près de 1.700 personnes admises à l'hôpital et près de 400 en réanimation. La pression va continuer de s'accentuer.
La France lance ce mercredi la vaccination des enfants de 5-11 ans dont la santé présente un risque particulier en cas d'infection par le Covid-19. Sur notre plateau ce mercredi, des médecins ont fait le point sur ce nouveau volet de la campagne sanitaire.
Un nouveau Conseil de défense sanitaire pourrait avoir lieu dans les jours à venir, selon le porte-parole du gouvernement.
Le nouveau variant Omicron pourrait devenir dominant parmi les infections de Covid-19 en Europe d'ici mi-janvier, a mis en garde mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, ajoutant qu'il y avait désormais assez de vaccins pour tous les Européens.
Ce lundi, le taux d'incidence national est passé au dessus de 500 contaminations pour 100.000 habitants, soit plus que le pic atteint lors de la deuxième vague de Covid-19. Les deux situations sanitaires sont cependant très différentes.
La vaccination contre le Covid-19 des enfants âgés de 5 à 11 ans et présentant des facteurs de risque débute ce mercredi en France. Les données en provenance d'Israël, où les plus jeunes peuvent déjà se faire vacciner, sont plutôt rassurantes.
Sur France Inter, la membre du comité vaccin Covid-19 a également estimé que la vaccination des enfants n'était "pas l'urgence".
Selon Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, le nouveau variant devrait être dominant sur le continent européen dès le mois de janvier 2022.
Parmi eux, une majorité de patients âgés de 64 ans ou plus, qui ont reçu leur deuxième injection il y a plus de sept mois.
63.000 nouveaux cas enregistrés mardi en France. "Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique", déclare Olivier Véran, mais c'est sans compter l'apparition du variant Omicron. "Il se propage à un rythme que nous n'avons jamais vu avec aucun autre variant", précise l'OMS. Omicron sera majoritaire d'ici la fin de la semaine au Royaume-Uni.
À partir de ce mercredi, les 360.000 enfants à risque âgés de 5 à 11 ans pourront recevoir une dose contre le Covid-19. Le gouvernement espère pouvoir très vite élargir la vaccination à tous les autres enfants. Le comité d'éthique doit rendre son avis ce mercredi sur le sujet.
Si le Covid-19 est souvent peu grave chez les enfants, certains médecins disent observer des formes longues de la maladie chez de jeunes patients. Leurs proches témoignent pour BFMTV.com de leur difficile prise en charge. Un parcours du combattant dont elles ne voient pas la fin.
Le gouvernement a prévenu ce mardi, il n'y aura aucune tolérance pour les retardataires. Les plus de 65 ans qui n'ont pas reçu leur dose de rappel vont voir leur pass sanitaire invalidé dans le prochaines heures. On estime que 400.000 personnes éligibles au rappel sont dans ce cas.
Avec la propagation très rapide du variant Omicron, la dose de rappel du vaccin semble essentielle pour lutter contre le Covid-19. Aujourd'hui en France, même si la couverture vaccinale est très importante, certaines personnes refusent encore de se faire vacciner.
Près de 2800 patients se trouvent actuellement en soins critiques en France pour une infection au Covid-19.
Le 15 décembre marque une nouvelle étape clé dans la campagne de rappel vaccinal: le pass sanitaire de nombreux Français sera invalidé à défaut d'une nouvelle injection contre le Covid-19. Et cela ne concerne pas seulement les plus de 65 ans.
Alors que les Pays-Bas sont confrontés à l'arrivée du variant Omicron, la fermeture des écoles primaires a été annoncée.
Selon Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'agence onusienne, le variant Omicron "se trouve probablement dans la plupart des pays même s'il n'a pas encore été détecté".
L'île compte 630 cas pour 100.000 habitants selon les dernières données sanitaires, soit une hausse du taux d'incidence de 41% par rapport à la semaine dernière.
Le risque de naissance prématurée est plus élevé chez les femmes enceintes ayant contracté le Covid-19, selon cette étude relayée par les hôpitaux de Paris.
Alors que la campagne de vaccination se poursuit en France, Olivier Véran a estimé à l'Assemblée nationale que le "pic épidémique" a été atteint dans le pays. Reste à savoir si les contaminations vont baisser ou se stabiliser.
Le variant Omicron a été pour la première fois détecté en Afrique du Sud il y a quelques mois. Un laboratoire sud-africain a récemment réalisée une étude sur un panel de tests positifs et conclu que les vaccins restent efficaces face au variant.
"Au rythme actuel, l'OMS estime qu'il faudra attendre mai 2022 pour avoir en Afrique une couverture vaccinale de 40% et août 2024 pour atteindre 70%", écrit l'organisation.
Les délais pour recevoir sa troisième dose lorsque l'on a plus de 65 ans sous peine de voir son pass sanitaire désactivé touchent bientôt à leur fin.
Le but est d'entraîner une réponse immunitaire supérieure chez le patient recevant ce sérum, afin de lutter contre le variant Omicron.
Auparavant, le vaccin mis au point par Pfizer était considéré comme efficace à 93% contre les formes sévères du Covid-19.
Une première étape, avant la probable généralisation de la vaccination pour l'ensemble des 5-11 ans, s'ouvre ce mercredi.
Dans un nouvel avis rendu public ce lundi, le Conseil scientifique préconise de limiter le nombre de participants aux réunions familiales mais aussi de se faire tester la veille ou le jour-même de l'événement.
Le conseil scientifique, dans son avis rendu public lundi, préconise pour les réunions familiales, de limiter le nombre de participants, de s'assurer que les personnes fragiles ont bien reçu leur dose de rappel, d'aérer régulièrement les locaux et de pratiquer un autotest le jour même ou un test antigénique la veille ou le jour-même de l’événement.
"Il faut y croire, on va arriver à s'en sortir", a insisté le Premier ministre.
Plus de 10.000 séquençages sont effectués par semaine, indique par ailleurs le porte-parole du gouvernement.
Face à cette accélération des cas, les autorités sanitaires britanniques ont décidé de muscler leur campagne de vaccination.
À partir de mercredi, le pass sanitaire des plus de 65 ans ne sera plus valide si ils n’ont pas effectué leur dose de rappel au plus tard 7 mois après leur première injection. C’est donc la ruée dans les centres de vaccination, où ils peuvent être accueillis sans rendez-vous comme l’a annoncé Jean Castex l’année dernière. Mais une fois sur place, ils découvrent qu’ils peuvent seulement être vacciné avec du Moderna, ce qui peut engendrer des tensions dans les centres de vaccination
Un cas de transmission massive du Covid-19 est observé à Chissey-sur-Loue, dans le Jura. Plusieurs hypothèses, dont la tenue de festivités fin novembre, sont évoquées.
