Ces billes ou perles d'eau peuvent être ingérées par des enfants et provoquer des accidents parfois mortels.
Face à une hausse des cas préoccupante, le préfet de Haute-Savoie a décidé d'imposer le retour du port du masque en extérieur dans les villes et les lieux de rassemblement du département. D'autres départements ont pris des décisions similaires.
Les taux d'incidence explosent actuellement dans ces deux îles des Antilles, où de nouvelles restrictions ont été instaurées. Un confinement démarrera ce vendredi pour au moins 3 semaines en Martinique. La Guadeloupe, en état d'urgence sanitaire, sera sous couvre-feu entre 21h et 5h.
Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement s'est rendu à Montpellier pour visiter un vaccibus.
Enrique Casalino, Infectiologue, Directeur médical de l'Hôpital Bichat a pris la parole au sujet du retour des restrictions en Guadeloupe et en Martinique.
Alors que les contaminations explosent à Marseille, Laurent Zieleskiewicz médecin réanimateur à Marseille, alerte sur l'augmentation des hospitalisations et des personnes en réanimation. Une augmentation qui pourrait s'accélérer dans les prochaines semaines. La moyenne d'âge des patients en réanimation diminue aussi. Actuellement, il y a autant de malades en réanimation qui ont entre 15 et 50 ans que de malades qui ont plus de 75 ans.
Au total, 600.000 personnes doivent ainsi être contactées par l'Assurance-Maladie, selon le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.
Invité au micro de RTL ce jeudi, le directeur général de l'AP-HP a annoncé vouloir aider les Antilles où la situation sanitaire se dégrade.
Le département d'Outre-mer, bientôt sous confinement pour trois semaines, voit sa situation sanitaire se dégrader de jour en jour. Conséquence: des transferts de patients Covid vers la métropole sont à venir, les capacités hospitalières étant déjà saturées sur l'île.
Le Pr Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), était l'invité ce jeudi de Philippe Corbé sur BFMTV et RMC.
Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière, était l'invité de BFMTV et RMC ce jeudi matin.
Le Pr Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), était l'invité ce jeudi de Philippe Corbé sur BFMTV et RMC.
Le Pr Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), était l'invité ce jeudi de Philippe Corbé sur BFMTV et RMC.
Gilbert Deray, chef su service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière, était l'invité de BFMTV et RMC ce jeudi matin.
Le Pr Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), était l'invité ce jeudi de Philippe Corbé sur BFMTV et RMC.
Gilbert Deray, chef su service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière, était l'invité de BFMTV et RMC ce jeudi matin.
Selon la Drees, 3,6 millions de tests ont été validés entre le 19 et le 25 juillet dernier. Une forte augmentation qui n'est pas sans lien avec l'instauration depuis le 21 juillet du pass sanitaire dans les lieux de culture et de loisirs.
À Marseille, le taux d'incidence a dépassé le seuil d'alerte maximal avec 435 cas pour 100.000 habitants. Le masque est désormais à nouveau obligatoire dans les rues de Marseille. Les Bouches-du-Rhône est le département le moins vacciné de France avec seulement 53% de premières doses.
La préfecture de Guadeloupe a annoncé mercredi une série de mesures de freinage alors que le territoire ultra-marin connaît déjà une situation hospitalière tendue.
Alors que le taux d'incidence augmente dans le Bas-Rhin avec 157 cas pour 100.000 habitants, le Nouvel Hôpital Civil de Strasbourg reçoit à nouveau des personnes atteintes du Covid-19 dans son service de réanimation avec des profils plus jeunes que la vague précédente. Les médecins craignent désormais un afflux plus important de nouveaux patients dans les prochaines semaines.
La forte hausse de la vaccination et l’extension du pass sanitaire vont permettre de réduire le nombre de personnes hospitalisées au pic de la quatrième vague à venir, estime l’institut Pasteur, dans une mise à jour de ses modélisations de l’épidémie de Covid-19. Avec 684.000 doses injectées du 16 au 22 juillet et une hausse de l’adhésion de la population à la vaccination, « cette accélération est susceptible d’impacter la dynamique de l’épidémie », estiment les scientifiques de l’institut Pasteur, dans une modélisation publiée le 26 juillet, moins pessimiste que les précédentes.
L'annonce de cette mesure de restriction dans l'île de l'océan indien a été faite ce jeudi par le préfet.
Alors que la situation sanitaire s’est fortement dégradée en Martinique, les autorités ont décidé de prendre de nouvelles mesures. Un confinement sera mis en place à compter de vendredi 30 juillet 19 heures et pour trois semaines, avec une clause de revoyure mi-août, a annoncé le préfet, Stanislas Cazelles, ce mercredi soir. Le couvre-feu est ramené de 19 heures - contre 21 heures aujourd’hui - à 5 heures. Tout déplacement au-delà d’une limite de 10 km autour du domicile sera soumis à une attestation, a précisé le préfet. Les activités sans masque, soit aller au restaurant, se rendre dans les salles de sport ou dans des lieux sportifs couverts, devront s'arrêter.
Dans le contexte d'une "circulation frte du variant Delta", la Haute autorité de santé (HAS) a donné mercredi son feu vert à l'utilisation du vaccin Moderna pour les 12-17 ans.
Ces tests, dits "intégrés", donnent un résultat sur la présence ou non du virus en quarante minutes environ, à partir d'un échantillon de salive.
Le nombre de cas confirmés en Guadeloupe du 19 au 25 juillet s'élève à 1072, contre 281 la semaine précédente. L'inquiétude est d'autant plus forte que la couverture vaccinale est faible dans l'archipel, avec seulement 21% de la population qui a reçu une première injection.
Trois semaines de confinement vont être mises en place ce week-end en Martinique, entre 5h et 19h, complétant un couvre-feu en vigueur à partir de 19h, a annoncé ce mercredi le préfet de l'île, Stanislas Cazelles.
Le préfet de Martinique a annoncé ce mercredi que l'île va être reconfinée à parti de ce week-end, et ce pour trois semaine. Le taux d'incidence sur l'île est actuellement de 995 pour 100.000 habitants, très au-dessus du seuil d'alerte.
Le préfet de Martinique Stanislas Cazelles a annoncé ce mercredi que l'île sera confinée pour trois semaines, et ce dès ce week-end, "avec une clause de revoyure mi-août". "Ce confinement, ce sera d'abord dans la journée, de 5h à 19h", avec une restriction de déplacement fixée a dix kilomètres, a expliqué le préfet.
Ce mercredi après-midi, dans le secteur de Toulouse où le port du masque est de nouveau obligatoire, les agents de la police municipale et les fonctionnaires de la police nationale ont procédé à une opération de contrôle. Après la pédagogie, les forces de l'ordre procèdent désormais à des verbalisations plus systématiques lorsque cette obligation n'est pas respectée.
Mathias Wargon, chef des urgences de l'hôpital Delafontaine de Saint-Denis, était ce mercredi invité de BFMTV. Il a affirmé que "depuis deux semaines, on a du Covid-19 qu'on ne voyait plus". Il a notamment évoqué le cas d'un patient de 35 ans non-vacciné, hospitalisé du Covid-19.
Nicolas Bruder, chef du service réanimation à l'hôpital de la Timone à Marseille s'est exprimé sur BFM Story au sujet de la situation sanitaire à Marseille. Il a assuré qu'"il n'y a pas eu de forme grave chez les patients vaccinés".
L'état d'urgence sanitaire entrera en vigueur ce mercredi à minuit en Guadeloupe, à Saint-Martin et Saint-Barthélémy.
Sous réserve d'une validation du Conseil constitutionnel, qui doit rendre sa décision le 5 août, la loi entrera en vigueur le 9 août prochain.
15 à 20% des Français n'ont pas de smartphones, beaucoup ne sont pas équipés d'un ordinateur mais il est possible d'obtenir son pass sanitaire en version papier, sans avoir recours au numérique.
L'administratrice nationale de la FCPE Nageate Belahcen estime que les enfants non-vaccinés à la rentrée "vont subir une stigmatisation et une éviction des classes" avec la décision prise par Jean-Michel Blanquer d'imposer les cours à distance pour les élèves non-vaccinés si un cas de Covid est détecté dans une classe.
Avec une augmentation très marquée des indicateurs de circulation virale mais aussi une augmentation nette des hospitalisations.
La secrétaire d'État à la jeunesse et à l'engagement auprès du ministre de l'Éducation nationale est l'invitée de BFMTV.
Moquée à ses débuts en raison de sa très faible popularité, l'application StopCovid, renommée TousAntiCovid fin octobre 2020, promettait de fournir un traçage intelligent des malades du Covid, grâce aux nouvelles technologies. Mobilisant le signal Bluetooth, le système a été conçu pour détecter d'autres mobiles équipés de l'application à proximité, les garder en mémoire puis afficher une alerte si l'un des utilisateurs croisés se signale comme positif par la suite. En ce milieu d'été, TousAntiCovid cumule plus de 26 millions de téléchargements. En juin, Lunabee Studio, à l'origine de l'application, évoquait une dizaine de millions d'utilisateurs actifs, autrement dit, ayant ouvert l'application sur leur mobile au cours du mois.
Selon les dernières modélisations de l'Institut Pasteur, l'accélération de la campagne de vaccination favorisée par l'élargissement du pass sanitaire permet des projections plus optimistes sur la quatrième vague de l'épidémie en France.
Alors que le nombre de contaminations augmente encore avec désormais près de 27.000 contaminations en 24 heures, les entrées à l'hôpital sont elles aussi en hausse. Les admissions en réanimation augmentent également, 71 par jour en moyenne, soit une hausse de 96% en une semaine.
Alors que le pass sanitaire deviendra bientôt obligatoire dans les TGV, les trains Intercités et les trains internationaux, le syndicat SUD-Rail à appeler les cheminots à ne pas effectuer de contrôle du pass sanitaire. Pour rappel, les voyageurs en infraction devront payer une amende de 135 euros.
Alors que la moitié des Français est désormais vaccinée, le rythme de vaccination ne faiblit pas. Certains Français se font même vacciner sur leur lieu de vacances. Pour attirer les vacanciers, des centres de vaccination ont ouvert près des plages, comme ici à Perpignan.
Le préfet de l'île a annoncé ce mercredi la mise en place d'un nouveau confinement avec une clause de revoyure à la "mi-août". Il s'appliquera de 5 heures à 19 heures et viendra compléter le couvre-feu déjà en vigueur en soirée.
Avec 121 nouvelles admissions en 24 heures, 978 patients se trouvent désormais dans les services de soins critiques qui prennent en charge les cas les plus graves, contre 952 lundi et 876 il y a une semaine, selon les données de Santé publique France.
Plus de 40 millions de Français avaient reçu au moins une dose de vaccin lundi.
Le Premier ministre Jean Castex était ce mardi en déplacement à Villetaneuse, en Seine-Saint-Denis. Il a été interpellé par un habitant de la ville sur le pass sanitaire, qui considère qu'"on oblige le Français à se vacciner". Jean Castex lui a répondu, expliquant avoir fait "le choix entre ça et le pire".
Le gynécologue-obstétricien s'exprimait ce mardi après qu'Olivier Véran a administré la deuxième de vaccin à la secrétaire d'État Olivia Grégoire, enceinte.
À Perpignan, un centre de vaccination a été installé à quelques minutes de la plage. L'idée est d'offrir aux touristes un moyen facile de se faire vacciner. Le centre ne requiert pas de rendez-vous. Jusqu'à 600 doses sont disponibles par jour.
Le directeur de la communication du syndicat des espaces de loisirs, d'attraction et culturels était ce mardi invité de BFM Story sur BFMTV. Il a déclaré constater "une baisse de 40 à 60%" de la fréquentation depuis la mise en place du pass sanitaire.
