De nouveaux professionnels de santé vont pouvoir vacciner la population en France, une décision rejoignant l'avis favorable émis vendredi par la Haute Autorité de Santé.
La vaccination est désormais ouverte à toutes les personnes de plus de 70 ans à compter de ce samedi.
Le Professeur François-René Pruvot, chirurgien au CHU de Lille, évoque "une montée lente et inexorable" du nombre de patients en réanimation qui "sature" les hôpitaux de la région.
Anaïs Favre devait subir une ablation préventive du sein en mars 2020 mais son opération a été reportée en raison du confinement. Au cours des semaines suivantes, elle a développé un cancer.
Le Professeur François-René Pruvot, chirurgien et président de la commission médicale du CHU de Lille était l'invité de BFMTV ce samedi.
Le Professeur François-René Pruvot, chirurgien et président de la commission médicale du CHU de Lille était l'invité de BFMTV ce samedi.
La vaccination va s'accélérer, c'est en tout cas ce qu'a annoncé le gouvernement. "Plus de 10 millions d'injections", c'est ce qu'a tweeté Olivier Véran ce vendredi. À Arras, les plus de 70 ans peuvent à présent venir se faire vacciner. Dans ce vaccinodrome, 1500 personnes vont recevoir une injection ce week-end.
Jean-Paul Mira, chef du service de réanimation à l'hôpital Cochin à Paris était l'invité de BFMTV ce samedi.
Emmanuel Macron a annoncé mardi que la vaccination serait ouverte aux personnes sans comorbidités de la tranche d'âge 70-75 ans à partir de ce samedi.
Le nombre de patients en réanimation a continué de progresser vendredi. Il se rapproche un peu plus du sommet de la deuxième vague à l'automne, selon des données de Santé publique France. Mais bonne nouvelle: à partir de ce samedi, les plus de 70 ans sans comorbidités vont pouvoir accéder à la vaccination.
Le nombre total de personnes hospitalisées en France à cause du Covid-19 était de 27.242 ce vendredi, avec 2048 nouvelles admissions en 24 heures. 4766 patients étaient ce vendredi en réanimation, avec 476 nouvelles admissions.
Après la survenue de nouveaux cas en France, dont deux décès, l'Agence du médicament (ANSM) a évoqué ce vendredi l'existence d'un risque "rare" de thrombose atypique associé au vaccin contre le Covid-19 d'AstraZeneca.
L'Agence du médicament (ANSM) a évoqué vendredi l'existence d'un risque "rare" de thrombose atypique associé au vaccin contre le Covid-19 d'AstraZeneca, après la survenue de nouveaux cas en France, dont deux décès, tout en soulignant que la balance bénéfice/risque restait "favorable".
Ce vendredi, Jean-Michel Blanquer a annoncé la mise en place d'un protocole sanitaire renforcé dans les écoles des 19 départements confinés. Les mesures ont largement évolué dans les établissements scolaires entre le début de la crise sanitaire et aujourd'hui.
L'Agence du médicament (ANSM) a confirmé vendredi l'existence d'un risque "rare" de thrombose atypique associé au vaccin contre le Covid-19 d'AstraZeneca, après la survenue de nouveaux cas en France, dont deux morts, tout en soulignant que la balance bénéfice/risque restait "favorable". Invité de BFMTV ce vendredi soir, le docteur Pierre Squara abonde dans ce sens: "il y a 5000 fois plus de bénéfices à se faire vacciner qu'à ne pas se faire vacciner".
Lamine Gharbi, président de la Fédération de l'hospitalisation privée, a assuré sur Franceinfo que les cliniques accueilleraient le plus de patients possible en réanimation.
Invité de BFMTV ce vendredi soir, Emmanuel Hirsch, professeur d'éthique médicale à l'Université Paris-Saclay, rappelle que "le rapport du Conseil scientifique du 29 janvier dit ce qu'il va se passer" au sujet de l'épidémie de Covid-19.
Le chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Tenon, à Paris, s'inquiète de la situation des hôpitaux.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon (AP-HP) à Paris et auteur de “Nous n’étions pas prêts” (éd. JC Lattès), était l’invité de BFMTV ce vendredi soir, alors que les hôpitaux sont à nouveau saturés en raison de la nouvelle augmentation des cas de Covid-19.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon (AP-HP) à Paris et auteur de “Nous n’étions pas prêts” (éd. JC Lattès), était l’invité de BFMTV ce vendredi soir, alors que les hôpitaux sont à nouveau saturés en raison de la nouvelle augmentation des cas de Covid-19.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon (AP-HP) à Paris et auteur de “Nous n’étions pas prêts” (éd. JC Lattès), était l’invité de BFMTV ce vendredi soir, alors que les hôpitaux sont à nouveau saturés en raison de la nouvelle augmentation des cas de Covid-19.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon (AP-HP) à Paris et auteur de “Nous n’étions pas prêts” (éd. JC Lattès), était l’invité de BFMTV ce vendredi soir, alors que les hôpitaux sont à nouveau saturés en raison de la nouvelle augmentation des cas de Covid-19.
Le nombre de contaminations au coronavirus chez les moins de 15 ans a fortement progressé la semaine dernière en France. L'intensification du dépistage ne l'explique qu'en partie.
Le chanteur, négatif au covid-19, a exprimé son inquiétude pour la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, hospitalisée et placée sous traitement d'"oxygénothérapie renforcée" depuis jeudi.
Le variant breton, difficile à détecter par un test PCR classique, a été confirmé chez 13 patients en Bretagne. Parmi eux, sept personnes sont mortes.
Actuellement en phase 1, ces tests doivent permettre de développer un vaccin préventif contre le VIH, un outil "primordial pour mettre fin à la transmission de ce virus".
Sandrine Fournier, directrice du Pôle financements, recherche et associations de Sidaction, reconnaît "650.000 dépistages en moins en 2020 par rapport à 2019". La pandémie de Covid-19 a freiné la dynamique de dépistages au VIH.
Une équipe de BFMTV est entrée en immersion dans un service de réanimation de l'hôpital d'Orsay (Essonne). Débordés, les médecins sont contraints de bénéficier de l'aide des centres hospitaliers voisins. L'âge des patients admis en réanimation oscille désormais entre 40 et 50 ans.
L'académie de Créteil présente la situation la plus problématique avec 17 structures fermées, précise le ministère de l'Éducation nationale.
Alors que seulement la moitié des plus de 75 ans a été vaccinée, les médecins et pharmaciens contactés par BFMTV sont sceptiques sur les capacités à vacciner plus de personnes rapidement.
Didier Pittet, infectiologue et épidémiologiste, président de la mission d’évaluation sur le Covid-19, a dressé la panorama européen de la situation sanitaire ce vendredi sur BFMTV.
Vittoria Colizza, directrice de recherches à l'Inserm et spécialiste de la modélisation de l'épidémie, est intervenue ce vendredi matin sur BFMTV. Elle a répondu au chef de l'Etat qui, la veille, avait assuré que les modélisations scientifiques émises en janvier s'étaient trompées dans leurs estimations.
Sur les 7 millions de Français qui ont déjà reçu au moins une injection, certains ne remplissent pas les critères de sélection mais bénéficient des dernières doses de flacon disponibles dans les centres en fin de journée.
L'infectiologue et épidémiologiste est l'invité du Live Toussaint.
L'infectiologue et épidémiologiste est l'invité du Live Toussaint.
"Est-ce que le 29 janvier, nous aurions dû confiner le pays, comme des modèles montraient que nous allions flamber en février? (...) Nous avons eu raison de ne pas confiner la France à la fin du mois de janvier, car il n'y a pas eu l'explosion prévue par tous les modèles", a affirmé le chef de l'État ce jeudi soir lors d'une conférence de presse. Pourtant, des modélisations fin janvier prévoyaient bien "une situation extrêmement difficile" dès la mi-mars.
La spécialiste de la modélisation des épidémies affirme que l'Inserm avait alerté sur l'aggravation de la situation en mars dès janvier.
Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse jeudi soir, a déclaré qu'il n'avait aucun regret du fait de ne pas avoir reconfiné le pays dès la fin janvier, arguant qu'une explosion des cas prétendument prédite par les spécialistes n'avaient pas eu lieu. Pourtant, l'examen des modèles présentés à l'époque rend justice à leurs auteurs.
Evoqué par Olivier Véran, l'élargissement des professionnels de santé autorisés à vacciner a été validé ce vendredi par la Haute autorité de santé.
"Est-ce que le 29 janvier, nous aurions dû confiner le pays, comme des modèles montraient que nous allions flamber en février? (...) Nous avons eu raison de ne pas confiner la France à la fin du mois de janvier, car il n'y a pas eu l'explosion prévue par tous les modèles", a affirmé le chef de l'État ce jeudi soir lors d'une conférence de presse. Pourtant, des modélisations fin janvier prévoyaient bien "une situation extrêmement difficile" dès la mi-mars.
Invité sur BFMTV jeudi soir à l'issue de l'allocution du président de la République, le neurologue François Salachas se dit "désarmé" face à son "sang-froid affiché et obstiné".
Une journaliste de BFMTV de 22 ans a pu se faire vacciner avec une dose d’Astrazeneca dans un centre parisien. Aucun passe-droit, elle a simplement attendu et s'est portée volontaire pour recevoir une dose de flacon qui aurait dû être jetée.
Une assurance qui tranche avec le climat parmi les soignants, où de plus en plus de professionnels demandent un confinement d’urgence pour tenter de juguler l’épidémie. Sans exclure des mesures plus fortes, l’exécutif semble tenir sa ligne : celle d’un confinement « léger », toujours territorialisé…
Le nombre de malades en réanimation a dépassé jeudi les 4.700 personnes et se rapproche du pic de la deuxième vague à l'automne (4.900). En Ile-de-France, le pic a déjà été dépassé. Et les soignants s’inquiètent du profil de certains patients, plus jeunes que lors des deux premières vagues.
Hospitalisée à cause du Covid-19 et victime de difficultés respiratoires, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot doit recevoir de l'oxygène supplémentaire. Âgée de 74 ans, elle avait annoncé samedi avoir été testée positive "à la suite de symptômes respiratoires".
Emmanuel Macron a affirmé ce jeudi soir, lors d'une conférence de presse à l'issue du Conseil européen, avoir "eu raison" de ne pas reconfiner la France fin janvier, avançant que les modélisations prévoyaient une explosion de cas en février. "Pas tout à fait", selon le Dr Alain Ducardonnet, consultant santé de BFMTV.
L'Agence du médicament (ANSM) a confirmé vendredi l'existence d'un risque "rare" de thrombose atypique associé au vaccin contre le Covid-19 d'AstraZeneca, après la survenue de nouveaux cas en France, dont deux décès, tout en soulignant que la balance bénéfice/risque restait "favorable".
Selon le chef de l'État, l'Europe "sera le continent qui produit le plus de vaccins au monde" d'ici cet été.
Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé ce jeudi un confinement dans trois départements supplémentaires, identique à celui mis en place en Île-de-France et dans les Hauts-de France notamment. Des restrictions jugées insuffisantes par certains élus concernés.
Invité de BFMTV ce jeudi soir, François Salachas, neurologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et membre du collectif inter-hôpitaux, assure ne pas avoir "les bras pour s'occuper des patients actuellement".
