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Pourquoi les Français achètent de moins en moins de produits d’hygiène beauté et corporelle

Pourquoi les Français achètent de moins en moins de produits d’hygiène beauté et corporelle

Les Français se lavent mieux ! Selon une étude récente, ils utiliseraient de moins en moins de shampoings, gels douche ou encore mousses à raser par peur de leur dangerosité supposée et de leur rôle de perturbateurs endocriniens. Ainsi, les produits sans paraben ni colorant mais aussi les produits à fabriquer soi-même connaissent de plus en plus de succès. En 2017, les ventes de produits d’hygiène beauté et corporelle ont baissé de plus de 2%. La chute des ventes est encore plus spectaculaire en ce qui concerne les déodorants et les produits de rasage qui reculent chacun de 5% et 6%.

Grève des Ehpad : "La dépendance financée par les départements nécessite une réflexion particulière", dit la ministre Agnès Buzyn

Grève des Ehpad : "La dépendance financée par les départements nécessite une réflexion particulière", dit la ministre Agnès Buzyn

A l'appel d'une large intersyndicale (CGT, CFDT, FO, Unsa, CFTC, CFE-CGC et SUD), avec le soutien de l'association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) et d'associations de retraités, des débrayages sont prévus dans des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et dans des services d'aide et de soins à domicile. 

Faut-il bannir totalement le sucre de notre alimentation?

Faut-il bannir totalement le sucre de notre alimentation?

Le sucre est souvent décrit comme notre ennemi. Entre les sucres rapides, présents dans les confiseries, et les sucres lents, que l'on trouve dans les pâtes, que faut-il bannir? Selon le nutritionniste Arnaud Cocaul, l’abus de sucre est "néfaste" mais le bannir totalement de notre alimentation n’est pas conseillé non plus. "Le cerveau ne peut pas se passer de sucre", a-t-il expliqué. Verdict? Seuls les sucres "complexes" sont bons pour la santé. Ils se trouvent dans les pâtes, le riz, le blé ou les légumes secs.

"J'ai eu comme une contraction." Elle raconte comment son chirurgien a oublié un gant et 5 compresses dans son ventre

"J'ai eu comme une contraction." Elle raconte comment son chirurgien a oublié un gant et 5 compresses dans son ventre

A Marseille, une femme ayant subi une hystérectomie a eu une très mauvaise surprise. Après l'opération, elle s'est plainte de fortes douleurs, et s'est alors immédiatement rendue au cabinet de son médecin, qui lui a simplement dit qu'elle était "douillette". Mais son corps a fini par expulser un gant et cinq compresses, que le médecin avait oublié dans le corps de sa patiente. S'il est reconnu coupable, il pourrait être suspendu, voire radié de l'ordre des médecins.

"C'est vital oui." Atteinte du Sida, elle consomme du cannabis pour soulager sa thérapie

"C'est vital oui." Atteinte du Sida, elle consomme du cannabis pour soulager sa thérapie

Béatrice est séropositive. Depuis 17 ans maintenant, elle consomme du cannabis qu'elle fait pousser chez elle pour mieux vivre les effets secondaires de sa trithérapie. Et elle assure se sentir mieux. "Ça m'a permis d'arrêter les antidépresseurs, de retrouver l'appétit malgré mes soucis de santé", témoigne-t-elle au micro de BFMTV. Béatrice milite alors pour que le cannabis soit autorisé en France dans le cadre d'un usage médical, comme c'est le cas dans une douzaine de pays en Europe.

"La majorité de données de santé ne sont plus gérées par le médical, elles sont gérées par Google et ses équivalents", explique le professeur Jean-François Delfraissy

"La majorité de données de santé ne sont plus gérées par le médical, elles sont gérées par Google et ses équivalents", explique le professeur Jean-François Delfraissy

Le professeur Jean-François Delfraissy, invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce vendredi, s'est interrogé sur les données de santé et l'intelligence artificielle dans la médecine. Il a assuré que "la majorité des données de santé sont gérées par Google et ses équivalents", ajoutant qu'elles ne concernent pas uniquement le médical, mais conservent des informations sur le milieu social et l'identité de la personne.

Violence des patients, harcèlement… Une infirmière témoigne du mal-être dans la profession

Violence des patients, harcèlement… Une infirmière témoigne du mal-être dans la profession

Les infirmières n’en peuvent plus. Douze heures de travail par jour, sans répit, pour un salaire de base de 1.600 euros bruts, elles sont au bord de la rupture. Et le métier n'est pas sans risque: la violence verbale et même physique sont quotidiennes à l'hôpital. "On a des patients avec des pathologies liées au cerveau, il y a des hallucinés qui nous tapent", regrette une infirmière en psychiatrie. À cela s’ajoutent des pressions internes qui s’apparentent à du harcèlement moral.