L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier s'est interrogé ce jeudi sur la direction que devait prendre La République en Marche. "Comment le parti peut-il faire exister sa différence sans tomber dans la divergence?", a-t-il lancé, estimant que Christophe Castaner se retrouvait dans une position où "on va lui demander de jouer du clavecin avec des gants de boxe".
Emmanuel Macron se rend ce jeudi en Guyane. Pour préparer le terrain, la gendarmerie est à pied d'œuvre. Les forces de l'ordre parcourent les quartiers sensibles, avec pour objectif de mettre la main sur des trafiquants d'armes ou de stupéfiants.
Parmi tous les candidats à la présidence du parti Les Républicains, Laurent Wauquiez est celui qui se réfère le plus à Nicolas Sarkozy. Tous deux adoptent un phrasé saccadé et emploient les mêmes anaphores. Ils revendiquent aussi une droite décomplexée, à la limite avec le Front national. Pourtant, les deux présentent des traits de caractère différents. Là où Nicolas Sarkozy est dépeint comme un impulsif, Laurent Wauquiez se présente plus comme un calculateur, plus dur dans ses rapports humains et politiques.
"Le harcèlement sexuel est le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle...". C’est l’affiche placardée dans les ascenseurs de l’Assemblée nationale. La démarche a été saluée par la majorité des députés, mais certains élus hommes ne comprennent pas trop. Les détails avec Salhia Brakhlia. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
Un sondage Elabe pour BFMTV révèle que pour la moitié des Français, Emmanuel Macron ne ressemble à aucun de ses prédécesseurs. Mais s'il faut choisir celui qui s’en rapproche le plus, il s’agit de Nicolas Sarkozy selon un Français sur quatre. Le président est au centre de l’attention pour la population, qui estime à 54% que la répartition des rôles au sein de l'exécutif est trop concentrée sur le chef de l’Etat. Du côté du gouvernement, les ministres jugés les plus efficaces sont aussi les plus connus. C'est Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique qui arrive en tête pour un Français sur quatre, suivi dans l'ordre par son collègue de Bercy, Bruno Le Maire.
Soutien du mouvement de Valérie Pécresse, Geoffroy Didier avait annoncé dimanche son soutien à la candidature de Laurent Wauquiez pour l'élection à la présidence LR.
François de Rugy, président de l'Assemblée, a mis en place 7 groupes de travail destinés à faire des propositions pour moderniser le palais Bourbon. Voici les premières pistes envisagées par les députés.
On apprend dans le nouveau sondage Elabe pour BFMTV que pour 54% des Français la répartition des rôles au sein de l'exécutif est trop concentrée autour du chef de l'Etat. S'agissant de comparer ce dernier avec ses prédécesseurs, les sondés sont plus circonspects: pour 49% il ne ressemble à aucun d'entre eux, et selon 27% à Nicolas Sarkozy.
On apprend dans le nouveau sondage Elabe pour BFMTV que pour 54% des Français la répartition des rôles au sein de l'exécutif est trop concentrée autour du chef de l'Etat. S'agissant de comparer ce dernier avec ses prédécesseurs, les sondés sont plus circonspects: pour 49% il ne ressemble à aucun d'entre eux, et selon 27% à Nicolas Sarkozy.
La maire de Paris annonce qu'elle va déposer plainte contre Capital et le journaliste Philippe Eliakim, qui l'accuse d'emploi fictif au ministère du Travail.
Laurent Wauquiez et Bernard Accoyer ont pris leurs distances avec le président de Sens commun, qui appelait de ses vœux une "plateforme" avec Marion Maréchal-Le Pen. Sans pour autant rompre avec le mouvement conservateur.
Le président de l'Assemblée nationale prévient que l'immunité de députés sera levée en cas d'"obstacle" à la justice en matière de harcèlement sexuel.
En moins de deux ans, Christophe Castaner est passé du statut de député socialiste anonyme à celui de patron du premier parti de France.
Alain Juppé déplore l'hostilité d'une partie de la population de Bordeaux à l'encontre des nouveaux arrivants dans la ville, souvent parisiens.
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Thierry Solère a ironisé sur Nadine Morano, l'eurodéputée ayant qualifié les Constructifs de "traîtres" il y a cinq jours à la même place. "Quelle référence", a rétorqué le député encore LR, citant alors Winston Churchill: "mieux vaut changer de parti politique pour être fidèle à ses convictions plutôt que de rester dans le même parti en changeant de convictions." "Quand tu auras mon parcours, on pourra parler de référence ! En plus d'être un traître, tu es vraiment un sale type !", a très vite réagi l'eurodéputée sur Twitter.
Nadine Morano et Thierry Solère s'écharpent autour des "traîtrises" chez Les Républicains.
Le gouvernement devra bientôt trouver un nouveau porte-parole, Christophe Castaner devant prochainement prendre la tête de La République en marche. Une fonction que "l'heureux porte-parole" ne semble pas pressé de quitter.
Christophe Castaner est candiat pour prendre la tête de la République en marche, avec l'appui d'Emmanuel Macron qui a fondé le mouvement. Le porte-parole du gouvernement a détaillé ce mercredi les raisons du choix présidentiel et de sa candidature.
Le député des Hauts-de-Seine Thierry Solère, initiateur du groupe parlementaire LR-UDI-Constructifs, est ce mercredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Thierry Solère a ironisé sur Nadine Morano, l'eurodéputée ayant qualifié les Constructifs de "traîtres" quelques jours plus tôt à la même place. "Quelle référence", a rétorqué le député encore LR, citant alors Winston Churchill: "mieux vaut changer de parti politique pour être fidèle à ses convictions plutôt que de rester dans le même parti en changeant de convictions."
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Thierry Solère a réagi à la comparaison du député LR Julien Aubert sur les Constructifs et les migrants de Calais. "J'ai trouvé ça minable pour les migrants, qui sont des êtres humains. Ce parallélisme n'est pas très glorieux", a-t-il affirmé.
La maire de Paris a adressé un courrier aux 200.000 locataires de logements sociaux de la ville, afin de les encourager à se mobiliser contre les mesures sur le budget du logement, prises par le gouvernement.
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Thierry Solère est revenu la volonté du Bureau politique des Républicains de l'exclure (ainsi que 4 autres membres) du parti. "Si nous sommes exclus, il y aura une offre politique nouvelle qui sera proposée aux Français, probablement avec un nouveau parti", a affirmé l'élu encore LR.
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Thierry Solère est revenu la volonté du Bureau politique des Républicains de l'exclure (ainsi que 4 autres membres) du parti. L'élu (encore LR) a dénoncé "une minorité qui veut s'enfermer" au sein de son parti.
Jean Lassalle, accusé d'harcèlement sexuel par plusieurs personnes, s'est excusé ce mercredi matin de ses gestes sur RMC. "Je veux dire pardon à celles et ceux que j'ai pu choquer par mon attitude, je ne la croyais pas mauvaise ni perverse", a-t-il déclaré. "J'admets que j'ai pu être maladroite et que j'ai pu choquer, pardon à celles et ceux que j'ai pu atteindre", a-t-il insisté.
Christophe Castaner devrait bientôt laisser vacantes ses fonctions de porte-parole du gouvernement et de secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement. "Comme porte-parole, on parle de Benjamin Griveaux", affirme Christophe Barbier, éditorialiste politique de BFMTV. Mais pour son portefeuille des relations avec le Parlement, c'est "plus compliqué", estime-t-il.
Le porte-parole du gouvernement a confirmé ce mercredi qu'il était candidat pour prendre les rênes du parti fondé par le président de la République.
Christian Estrosi a fustigé ce mardi soir la volonté du Bureau politique des Républicains d'exclure cinq de leurs membres (Edouard Philippe, Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu, Thierry Solère et Franck Riester) parce qu'ils ont choisi de rejoindre ou de soutenir l'exécutif. "On ne reconstruira la droite en excluant", a affirmé le maire de Nice au micro de BFMTV, déplorant également des rapprochements avec Sens commun.
Avec l'aval d'Emmanuel Macron pour prendre la tête de La République en marche, Christophe Castaner devrait bientôt laisser vacantes ses fonctions de porte-parole du gouvernement et de secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement.
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a estimé ce mercredi que la décision de nommer Christophe Castanier à la tête de La République en Marche "est un bon choix, mais une mauvaise décision". "C'est un bon choix parce qu'il a les qualités pour animer un mouvement, [...] faire en sorte qu'un parti de 400.000 adhérents ne s'effondre pas trop pendant la gestion du pouvoir", a-t-il déclaré "Mais c'est une mauvaise décision", a-t-il ajouté, assurant que Christophe Castaner est "un élément-clé du fonctionnement entre l'opinion et le gouvernement".
Actuel porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner va quitter ses fonctions pour prendre la tête de La République en marche. Le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le parlement a été choisi par Emmanuel Macron lui-même, après un dîner à l'Elysée lundi soir. Proche du président de la République, Christophe Castaner devrait permettre à ce dernier de garder des yeux et des oreilles sur le parti présidentiel.
Le Canard enchaîné, affirme que "le fisc réclame près de 2 millions d'euros au mouvement Jeanne", le micro-parti au coeur de l'organisation des campagnes électorales FN depuis que Marine Le Pen en est présidente.
La liste des candidats à la présidence du parti "Les Républicains" sera dévoilée ce jeudi. Ce mardi soir, dans une déclaration publiée après la tenue d'un bureau politique, Bernard Accoyer, secrétaire général du mouvement, a annoncé que chacun des prétendants recevrait 15.000 euros pour faire campagne.
Ce lundi 23 octobre 2017, Salhia Brakhlia est revenue sur la nomination de Christophe Castaner par Emmanuel Macron à la tête de LaREM. En effet, le chef de l’État aurait demandé au secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement et porte-parole du gouvernement de prendre la direction de "La République en marche". Mais l'intéressé assure que rien n'est fait. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
Les éditorialistes de BFMTV sont revenus mardi soir sur les conclusions du bureau politique des républicains tenu ce même jour. Edouard Philippe et Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu, Thierry Solère et Franck Riester sont exclus du parti parce qu'ils ont choisi de rejoindre ou de soutenir l'exécutif. Problème: faute d'un nombre suffisants de votants, l'instance devra encore se réunir la semaine prochaine.
Patrick Devedjian, président Les Républicains du conseil départemental des Hauts-de-Seine, a réagi face à ce que certains appellent le "feuilleton des constructifs". Réunis ce mardi soir lors d’un "bureau politique de clarification", Les Républicains n'ont pas pu se décider sur l’exclusion des cinq ministres et élus à qui l’on reproche leur ralliement à Emmanuel Macron.
Christian Jacob, le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, a réagi face à ce que certains appellent le "feuilleton des constructifs". Réunis ce mardi soir lors d’un "bureau politique de clarification", Les Républicains n'ont pas pu se décider sur l’exclusion des cinq ministres et élus à qui l’on reproche leur ralliement à Emmanuel Macron.
Les Républicains se sont réunis ce mardi soir pour un "bureau politique de clarification" dans l'objectif d'exclure cinq ministres et élus à qui le parti reproche leur ralliement à Emmanuel Macron. Mais faute d'un quorum nécessaire, aucune décision n'a pu être entérinée par le bureau politique. Pour l’éditorialiste politique Laurent Neumann, ces couacs représentent "une catastrophe absolue pour Les Républicains". "Cette réunion se termine dans la confusion la plus totale", a ajouté l’expert.
Les Républicains se sont réunis ce mardi soir pour un "bureau politique de clarification" dans l'objectif d'exclure cinq ministres et élus à qui le parti reproche leur ralliement à Emmanuel Macron. Mais faute d'un quorum nécessaire, aucune décision n'a pu être entérinée par le bureau politique. Pour la journaliste politique Camille Langlade, la situation devient "grotesque".
"Le Premier ministre Édouard Philippe ne s’est pas présenté au bureau politique LR et a a été considéré comme s’étant exclu de lui-même", a précisé ce mardi 24 octobre Nora Berra, députée européenne LR et qui a pris part au bureau politique LR qui a voté l’exclusion des "Macron-compatibles", mais sans officialisé cette décision.
Le Bureau politique des "Républicains" a pris acte du départ du Premier ministre ce mardi soir. L'exclusion de Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu, Thierry Solère et Franck Riester a également été prononcée. Mais, faute de participation suffisante lors du vote, la plus haute instance du parti sera à nouveau convoquée la semaine prochaine. Le sort de Sens commun n'a pas été évoqué.
"Je n’exprimerai pas mon choix", a déclaré ce mardi 24 octobre Christian Estrosi, maire LR de Nice. Je ne dirai pas pour qui je vais voter", a-t-il poursuivi alors que l’élection à la présidence des Républicains qui aura lieu les 10 et 17 décembre prochain, opposera Laurent Wauquiez, Florence Portelli, Maël de Calan et Daniel Fasquelle.
"Je suis favorable à l’exclusion de Sens commun", a déclaré ce mardi 24 octobre Christian Estrosi, maire LR de Nice alors que le bureau politique de LR a évoqué ce mardi le cas de Sens commun, dont le président a parlé d’un rapprochement avec Marion-Maréchal Le Pen.
"La position qui a été prise par le président de Sens commun est inadmissible", a estimé Damien Abad (LR) ce mardi 24 octobre sur BFMTV député de l’Ain et vice-président du groupe LR alors que le bureau politique de LR évoquera ce mardi le cas de Sens commun, dont le président a évoqué un rapprochement avec Marion-Maréchal Le Pen.
"On ne peut pas être dans la majorité gouvernementale et en même temps vouloir incarner le 1er parti d’opposition", a affirmé Damien Abad, député de l’Ain et vice-président du groupe LR à l’Assemblée alors que le bureau politique des Républicains se tient ce mardi soir pour décider de l’exclusion ou non des cinq ministres et élus "Macron-compatibles".
Selon des informations des Echos, confirmées auprès de BFMTV, Emmanuel Macron a demandé au secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement et porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, de prendre la direction de "La République en marche". L'intéressé assure que rien n'est fait.
Emmanuel Macron estime qu'en raison du "contexte sécuritaire" de l'Égypte, il n'a "pas de leçon" à donner à Sissi sur les droits de l'Homme.
Emmanuel Macron a déclaré mardi qu'il ne voulait "pas donner de leçons" sur les droits de l'Homme au président égyptien Abdel Fattah Sissi, qu'il a reçu à l'Elysée. "Il s'agit de ne pas donner des leçons hors de tout contexte" et "je suis conscient du contexte sécuritaire" auquel fait face le président égyptien, qui "a un défi, la stabilité de son pays" et "la lutte contre le fondamentalisme religieux", a déclaré le président français devant la presse.
Sens commun, composante des Républicains qui entretient le flou sur ses rapports avec l'extrême droite, divise le parti et embarrasse le camp Wauquiez.
