BFMTV
Valls annonce la création de 900 postes dans les forces de l'ordre

Valls annonce la création de 900 postes dans les forces de l'ordre

Le Premier ministre a annoncé mercredi la création de 900 postes supplémentaires dans les forces de l'ordre, notamment dans la police aux frontières, dans le cadre de la lutte contre l'immigration irrégulière, "compte tenu de cette charge nouvelle qui pèse sur les services" avec les éloignements forcés et "pour ne pas affaiblir les dispositifs liés à la lutte contre le terrorisme et la délinquance", a expliqué Manuel Valls.

Dati: "Que madame Kosciusko-Morizet s'occupe de Paris"

Dati: "Que madame Kosciusko-Morizet s'occupe de Paris"

Invitée ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Rachida Dati a assuré être à jour dans ses cotisations à la fédération de Paris et au sein du parti Les Républicains. Mais l’eurodéputée refuse de financer les déjeuners de Nathalie Kosciusko-Morizet et Claude Goasguen, "qui la poursuivent de leur haine depuis longtemps". "Ils ont dit qu’ils allaient me suspendre (…) Je m’en fiche", a rétorqué la maire du 7e arrondissement de la capitale qui exclut de quitter elle-même le groupe. "Que madame Kosciusko-Morizet s'occupe de Paris", a-t-elle ajouté.

Valls: "Nous déciderons seuls des objectifs à frapper" en Syrie

Valls: "Nous déciderons seuls des objectifs à frapper" en Syrie

Manuel Valls a assuré mardi que des frappes étaient nécessaires en Syrie et que la France choisirait "seule" les "objectifs à frapper", mais qu'il était "hors de question" que ces frappes contribuent à renforcer le régime du président syrien Bachar al-Assad. Il a en revanche de nouveau exclu toute intervention terrestre française ou occidentale, mais indiqué pour la première fois qu'une éventuelle coalition de pays voisins intervenant pour "libérer la Syrie" de l'organisation Etat islamique aurait "le soutien de la France".

Mamère qualifie de "gesticulation" la position de Hollande sur la Syrie

Mamère qualifie de "gesticulation" la position de Hollande sur la Syrie

Noël Mamère réaffirme la position des écologistes qui demandent depuis longtemps que le parlement puisse se prononcer en matière de politique étrangère alors que députés et sénateurs débattent, mais sans voter, de l'engagement militaire français en Syrie et des frappes aériennes contre Daesh que François Hollande juge nécessaires. Le député écologiste qualifie la position du Président de "gesticulation à usage interne" "pour rassurer les Français" er remarque que les avions Français n'inteviennet pas dans les zones contrôles par l'Etat syrien. "Chaque jour qui passe, Bachar reprend une sorte de légitimité, devient en quelque sorte incontournable", regrette-t-il.

"C'est une solution politique qu'il faut" pour éradiquer Daesh, assure Chassaigne

"C'est une solution politique qu'il faut" pour éradiquer Daesh, assure Chassaigne

Les députés débattent ce mardi, mais sans voter, de l'engagement militaire français en Syrie et des frappes aériennes contre le groupe Etat islamique que le président François Hollande juge nécessaires. André Chassaigne estime qu'il "faire davantage en terme diplomatiques". Le chef de file des députés Front de gauche, rassemblés sous la bannière GDR, ajoute qu'une "simple intervention militaire n'apportera pas de solution durable". Si le communiste ne se dit pas opposé à une intervention militaire, il est opposé à une "intervention unilatérale" et souhaite qu'elle soit sous l'égide de l'ONU.

"Laissez faire Damas pour lutter contre Daesh", défend Myard

"Laissez faire Damas pour lutter contre Daesh", défend Myard

Jacques Myard fait partie des députés français qui ont rencontré Bachar al-Assad en février dernier. Il participera mardi après-midi au débat sans vote sur l'engagement militaire français en Syrie alors que le président François Hollande juge nécessaires des frappes aériennes contre le groupe Etat islamique. "La politique française en Syrie est totalement illisible", estime le député Les Républicains. Sa position est néanmoins isolée, il considère qu'il faut "laissez faire Damas pour lutter contre Daech" et qu'il vaut mieux laisser les troupes arabes voire iraniennes intervenir au sol.

Franck Allisio, passé des Républicains au FN, réfute tout opportunisme

Franck Allisio, passé des Républicains au FN, réfute tout opportunisme

Franck Allisio, ancien président des Jeunes actifs chez Les Républicains, a annoncé son ralliement au FN dimanche. Il était l'invité de Ruth Elkrief lundi soir sur BFMTV et s'est expliqué sur son choix. "Opportuniste, non! Il y a d'autres façons d'être opportuniste. Choisir le Front national, c'est avant tout du courage, de la sincérité. Spontanément dans ma famille politique lorsqu'on veut rapidement être élu on va plutôt faire un saut à l'UDI où il y a beaucoup de places. On est élu et puis on revient. C'est cela l'opportunisme", a-t-il expliqué

Paris: Hidalgo veut soutenir "le petit commerce fragilisé par les zones touristiques internationales"

Paris: Hidalgo veut soutenir "le petit commerce fragilisé par les zones touristiques internationales"

Invitée ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Anne Hidalgo est revenue sur son désaccord avec la loi Macron qui définit les zones touristiques et le travail du dimanche. En tant que maire de Paris, "j'ai été mise de côté", a-t-elle regretté. "Il faut que je soutienne le petit commerce parisien parce qu’il est fragilisée par les zones touristiques internationales", a rappelé l’élue socialiste. "Je veux que ma ville continue bien sûr d'être attractive et puissante à l'échelle internationale" mais "je veux aussi que ce soit une ville vivable pour ces habitants", a expliqué Anne Hidalgo.

Hidalgo demande au gouvernement la gratuité des transports en Ile-de-France durant la Cop21

Hidalgo demande au gouvernement la gratuité des transports en Ile-de-France durant la Cop21

Invitée ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Anne Hidalgo a rejoint Claude Bartolone en demandant au gouvernement la gratuité des transports en Ile-de-France durant la Cop21, qui aura lieu à Paris début décembre. "Ça ne peut pas être la ville ou la Région qui, toutes seules, payent cette charge là car nous sommes soumis à des contraintes budgétaires extrêmement fortes", s’est justifiée la maire de la capitale.