Une dizaine de ces véhicules étaient garés sur le parking réservé au personnel du centre hospitalier d'Armentières.
Il s'agit de la plus importante saisie de masques de protection dans le département depuis que le gouvernement a interdit leur revente.
Le procureur de la République de Paris estime que les consignes de confinement sont "bien comprises" dans la capitale, même si les forces de l'ordre doivent faire face à des "récalcitrants".
Samedi soir, une trentaine de véhicules, dont une dizaine de voitures sur le parking du personnel de l'hôpital, a été la cible de dégradations.
Les avocats du Barreau de Lyon ont adressé un courrier à la garde des Sceaux pour dénoncer les mesures prises afin d'adapter la procédure pénale à l'épidémie de coronavirus.
Le gouvernement et les associations craignent une hausse des violences intrafamiliales en ce contexte de confinement.
En cas de majoration, cette nouvelle amende s'élèvera à 450 euros.
Equipés d'un brassard de gendarmerie, des escrocs réclament le paiement immédiat des 135 euros d'amende lors de faux contrôles d'attestation de déplacement.
Le père de l'enfant a été placé en garde vue et était toujours entendu samedi soir.
L'homme a a été mis en examen pour "pratiques commerciales trompeuses", "refus de déférer à une réquisition administrative" et "escroquerie".
Le jeune femme a été contrôlée par une patrouille de police mardi après-midi, alors qu'elle se trouvait dans la rue avec son compagnon et leurs jeunes enfants. Elle ne disposait pas de l'attestation de déplacement dérogatoire en règle.
Un surveillant de la prison d'Orléans, âgé d'une cinquantaine d'années et soupçonné d'avoir contracté le coronavirus, est mort chez lui dans la nuit de mercredi à jeudi. Une enquête a été ouverte par le parquet d'Orléans.
Dans une vidéo massivement partagée, on peut voir le jeune homme encerclé par plusieurs agents de la brigade anticriminalité, avant d'être mis à terre et frappé à de multiples reprises.
INFO BFMTV - Le syndicat FO-Pénitentiaire demande à l'Etat de prendre des mesures pour protéger la santé des surveillants et des détenus, alors que 71 d'entre eux ont déjà été testés positifs au coronavirus.
INFO BFMTV - Le jeune homme, interne au Centre Hospitalier de Roanne, aurait volé avec un complice plusieurs dizaines de masques avant de les revendre sur la voie publique.
Un homme de 29 ans qui travaille dans un hôpital privé du Val-de-Marne a été interpellé jeudi pour avoir vendu un respirateur.
INFO BFMTV - Le rappeur, incarcéré à la Santé depuis janvier 2019, a été testé positif au coronavirus.
Le ministre de l'Intérieur a annoncé, ce jeudi soir, que plus de 225.000 verbalisations avaient été adressées depuis le début du confinement imposé en France le 16 mars dernier afin de lutter contre le coronavirus.
Une libération sans lien avec le contexte épidémique, explique son avocat.
INFO BFMTV - Une plainte va être adressée au parquet de Paris. Elle est déposée par trois médecins qui reprochent au directeur général de la Santé Jérôme Salomon des manquements dans la gestion de la crise sanitaire.
Presque 30% des personnes en détention n'ont pas encore été jugées. La ministre refuse une "libération générale" de ces détenus, estimant qu'il peut y avoir un "risque de passage à l'acte à nouveau", de "pression sur les victimes" ou de "destruction de preuves".
La police nationale a lancé, ce jeudi, une plateforme numérique afin de répondre aux questions sur le fonctionnement de leurs services, en cette période de confinement.
Le quinquagénaire travaillait à la prison d'Orléans-Saran. Il était en arrêt depuis plusieurs jours car il présentait des symptômes du Covid-19, mais n'avait pas été testé.
Les syndicats de force de l'ordre lancent "un avertissement solennel" à Christophe Castaner afin de dénoncer le manque de masques pour protéger les fonctionnaires.
Des rassemblements ont toujours lieu dans la rue et certains squares de la ville, selon Michèle Picard, la maire de Vénissieux.
Le fonctionnaire travaillant dans le Val-de-Marne avait été arrêté quelques jours pour une suspicion de contamination. Son état s'est dégradé brutalement.
L'individu a fermé la porte de son immeuble sur la jambe du fonctionnaire de police. Il a été interpellé pour violence sur personne dépositaire de l'autorité publique.
Le procès devait initialement avoir lieu du 4 mai au 10 juillet.
Arrivée en-dehors de l'heure de son rendez-vous dans un cabinet médical du 8e arrondissement de Lyon, la patiente a menacé de mort le médecin et sa secrétaire médicale.
En Seine-Saint-Denis ou dans les Yvelines, les policiers disent être régulièrement confrontés à des violences résultant de verbalisations.
Plusieurs syndicats de police ont fait part de leur inquiétude devant le manque de moyens de protection pour les agents.
Un trentenaire a été condamné à quatre mois de prison ferme ce mardi dans la Loire, pour ne pas avoir respecté à huit reprises les mesures de confinement imposées dans le cadre de la crise sanitaire du coronavirus.
Une fonctionnaire de police a reçu un pavé en pleine tête, ce mardi après-midi à Beauvais, lors d'une opération de contrôle liée aux mesures de confinement dues au Covid-19. La victime est dans un état grave.
Verbalisé à chaque contrôle, l'individu ne disposait d'aucun motif dérogatoire valable.
INFO BFMTV - Un patient diagnostiqué positif au Covid-19 a déposé plainte ce mardi après-midi devant la Cour de justice de la République pour "entrave aux mesures d'assistance". Une plainte qui vise directement le gouvernement.
Les équipements retrouvés par la police parisienne étaient totalement inefficaces pour protéger du covid-19.
Si le nombre de gardes à vue est en baisse sur le territoire, les autorités déplorent l'apparition d'une forme de "délinquance d'opportunité" liée à la crise sanitaire du coronavirus.
Le commerçant, dont la boutique est située près de Maubeuge, n'a pas pu justifier la provenance des 17 boîtes de masques qu'il vendait un euro pièce. Il n'a cependant pas été placé en garde à vue.
Placé sous contrôle judiciaire jusqu'au 31 mai, le pharmacien a interdiction d'exercer son métier et de fréquenter son établissement.
Pour la seule journée de ce dimanche, 22.574 verbalisations ont été dressées sur les 375.000 contrôles effectués dans l'Hexagone.
Saisi par le syndicat Jeunes Médecins, le Conseil d’Etat refuse d’ordonner le confinement total. Il demande cependant à l'exécutif de préciser la portée de certaines des dérogations au confinement.
Des détenus de la prison de Longuenesse, près de Saint-Omer, ont refusé de rentrer dans leur cellule ce dimanche.
Un automobiliste a foncé ce dimanche sur un policier qui patrouillait afin de veiller au respect des règles de confinement. Le fonctionnaire lui a tiré dessus avec son arme de service mais le chauffard est parvenu à s'enfuir. Il est toujours recherché.
Dans un amendement au projet de loi instaurant les mesures d'urgence sanitaire, le gouvernement précise les sanctions pour le non-respect des mesures de confinement. Et cela peut aller jusqu'à six mois d'emprisonnement pour les récidivistes.
Avec le personnel soignant, les forces de police sont en première ligne pour lutter contre la propagation du coronavirus, en surveillant les déplacements limités des Français. Selon un représentant du syndicat Unité SGP Police, ils sont désormais 5000 à être confinés avec des suspicions de Covid-19.
Magistrat emblématique du XXe siècle, Pierre Truche avait présidé la Commission nationale consultative des droits de l’homme et de la Commission nationale de déontologie de la sécurité.
Depuis le début de la période de confinement voulue par Emmanuel Macron, mardi à midi, les forces de l'ordre ont procédé à 38.994 verbalisations, pour non-respect des règles.
Le ministre de l'Intérieur a fait savoir, ce vendredi soir, que le dispositif Sentinelle de lutte contre le terrorisme allait "monter en puissance" pour aider dans la lutte contre le Covid-19.
Le ministre de l'Intérieur a déclaré, ce vendredi après-midi, que le gouvernement n'envisageait pas de couvre-feu national. Néanmoins; face au non-respect des mesures de confinement, Christophe Castaner a salué la décision de certains maires de fermer des lieux de promenade. Il a aussi prévenu que des contrôles plus stricts étaient prévus dans les gares et les aéroports français.
L'homme faisait partie d'un groupe de cinq individus buvant de l'alcool sur la voie publique. Il avait déjà été verbalisé.
