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Donald Trump aimerait exécuter tous les dealers, comme le président philippin

Donald Trump aimerait exécuter tous les dealers, comme le président philippin

Selon les sources du site d'information américain Axios, Donald Trump répète à l’envi qu’il “adorerait avoir une loi” pour exécuter les trafiquants de drogues, qu’il compare en privé à des tueurs en série. Il se plaît notamment à plaisanter sur la peine capitale et les exécutions sommaires appliquées en Asie dans le cadre de la lutte antidrogue. “Vous savez, les Chinois et les Philippins n’ont pas de problème avec la drogue, cite Axios. Ils tuent juste leurs dealers.” Depuis son élection en 2016, le Président philippin Rodrigo Duterte a en effet invité les policiers à abattre les suspects de trafic de drogue, revendiquant la loi du talion. "Aux Philippines, c'est vraiment oeil pour oeil, dent pour dent, déclarait-il à Manille le 24 juillet 2017. Vous avez pris une vie, vous devez la payer et mourir. C'est la seule façon d'obtenir justice." A la suite de ses déclarations, des escadrons de la mort sont apparus dans les rues philippines, les exécutions extrajudiciaires se sont multipliées, ainsi que les fusillades meurtrières lors des descentes de police. Après un an de mandat, le bilan de la lutte antidrogue de Duterte s’élevait à 7 000 victimes. La police nationale joue depuis sur l’absence de résultats d’enquêtes pour ne plus fournir de bilan. Ces résultats semblent plaire à Donald Trump. Fraîchement élu à la Maison-Blanche en avril 2017, il avait téléphoné au président philippin pour le féliciter, affirmant qu’il faisait du “super boulot”.

Syrie: Bachar el-Assad poursuit son offensive dans la Ghouta malgré l'appel de l'ONU

Syrie: Bachar el-Assad poursuit son offensive dans la Ghouta malgré l'appel de l'ONU

Malgré le vote à l’unanimité d’une résolution de l’ONU réclamant un cessez-le feu dans la Ghouta orientale, les forces du régime de Damas poursuit l’offensive aérienne contre l’enclave rebelle, avec l’appui de Moscou et Téhéran. Sept jours de frappes aériennes et de tirs d'artillerie dans la Ghouta orientale ont tué 519 civils, dont une centaine d'enfants, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

En Chine, le jeu vidéo devient une matière scolaire

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Au lycée technique Lanxiang, à Jinan, dans l'est de la Chine, une cinquantaine d'élèves suivent une formation de trois ans pour devenir des professionnels du sport électronique. A l'issue de leur formation, ils pourront devenir joueurs professionnels, organisateurs de compétitions, entraîneurs ou encore décorateurs de scènes pour les tournois. Discipline en plein essor, le esport devrait générer 906 millions de dollars de chiffre d'affaires dans le monde en 2018, dont 18% en Chine, selon le cabinet spécialisé Newzoo.

Radicalisation: "Le chemin de retour personnel est possible", analyse Wassim Nasr, spécialiste des mouvances jihadistes

Radicalisation: "Le chemin de retour personnel est possible", analyse Wassim Nasr, spécialiste des mouvances jihadistes

Wassim Nasr, spécialiste des mouvances jihadistes pour France 24 était l'invité de Ruth Elkrief ce vendredi 23 février.  Le journaliste a réagi au plan de déradicalisation présenté par le gouvernement Philippe. "Le chemin de retour personnel est possible (...) C'est de la matière humaine, ce n'est pas une secte ou une maladie, c'est une idéologie", analyse Wassim Nasr sur les individus radicalisés. 

Assiégés, affamés, bombardés. Les habitants de la Ghouta vivent un enfer

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Plus de 400 civils ont été tués en cinq jours après des frappes aériennes et des tirs d’artillerie menés par le régime syrien et son allié russe contre l'enclave rebelle assiégée à l’est de Damas, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme. Six hôpitaux ont également été touchés, a annoncé l'ONU ce mardi. Tandis que 400.000 personnes vivent toujours au cœur de la Ghouta orientale, la crise humanitaire s'accentue avec un passage restreint des convois humanitaires octroyés par le régime de Damas.