Le coronavirus affole les marchés boursiers
La multiplication des cas de coronavirus continue d'affoler les marchés. La bourse de Paris termine la semaine avec une baisse de 12%, la plus forte baisse hebdomadaire depuis 2008.
La multiplication des cas de coronavirus continue d'affoler les marchés. La bourse de Paris termine la semaine avec une baisse de 12%, la plus forte baisse hebdomadaire depuis 2008.
Environ 4 millions de particuliers disposent encore en France d'un contrat de gaz où s'appliquent les tarifs réglementés.
La Bourse de New York a terminé la semaine nettement dans le rouge vendredi, affectée par les incertitudes persistantes entourant le coronavirus et des indicateurs décevants sur l'économie américaine. Même tendance pour les Bourses européennes.
Les banques françaises avaient promis en 2018 de limiter les frais bancaires, mais Bruno Le Maire pointe du doigt des mauvais élèves.
Alors que le projet de réforme des retraites est discuté à l'Assemblée nationale, la conférence de financement mise en place par le gouvernement ne met personne d'accord.
La conférence de financement de la réforme des retraites débute ce mardi entre les partenaires sociaux et le gouvernement.
Le groupement "J'aime mon courtier" signale son inquiétude sur le risque d'effet domino sur le secteur du logement. Pour cause, le régulateur du secteur bancaire a recommandé aux banques de ralentir le crédit. Pourtant, 50% des ventes des promoteurs existent grâce à l'effet fiscal du dispositif Pinel.
Une partie des contribuables, avec l'arrivée de la déclaration automatique, n'aura plus besoin de déclarer ses revenus cette année
Le ralentissement de l'économie chinoise a entraîné une chute des cours du pétrole. À la pompe, la baisse des prix des carburants est déjà visible: près de 3 centimes pour le gazole et 2 centimes pour le sans plomb 95.
Alors que se profile le débat parlementaire sur la future loi audiovisuelle, la redevance télévisuelle est remise en question.
Les critères pour obtenir un prêt se durcissent à partir de 2020. Ces dernières années ont été marquées par des taux immobiliers au plus bas, et une concurrence entre banques sans limite. Cette année, les choses pourraient changer.
Les autorités financières ont demandé aux banques d'éviter d'octroyer des crédits immobiliers sur une durée supérieure à 25 ans et dont les remboursements représentent plus d'un tiers des revenus des ménages. Certains experts ont estimé que 100.000 ménages pourraient être ainsi exclus du crédit immobilier.