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Street Fighter II, Mega Man: vous pouvez jouer gratuitement à ces classiques sur votre smartphone

La célébration des 40 ans de Capcom a débuté le 11 juin. Pour l'occasion, l'éditeur japonais de jeux vidéo a ouvert un site de célébration donnant notamment accès à des classiques de son catalogue.

Une ville numérique. Pour fêter ses 40 ans, Capcom a mis en ligne un site internet reprenant la forme d'une ville. Sur la place de Capcom Town, il est ainsi possible de célébrer l'anniversaire de l'éditeur japonais de plusieurs manières. L'entreprise y propose des portails sur ses plus célèbres séries, un musée dévoilant des images de jeux, des musiques ou des œuvres conceptuelles.

Adapté à l'usage sur mobile

Mais ce qui devrait occuper la plus grande partie du temps des visiteurs virtuels, c'est la salle d'arcade. Capcom met à disposition une sélection de ses plus grands jeux vidéo. Ainsi, chacun pourra jouer à Mega Man I, II et X, Street Fighter II, ou encore Final Fight.

Le musée de Capcom Town, la ville fictive des célébrations des 40 ans de Capcom
Le musée de Capcom Town, la ville fictive des célébrations des 40 ans de Capcom © capture d'écran Capcom Town

Ces titres ont fait le succès de l'entreprise dans les années 80 et 90. Les joueurs pourront les (re)découvrir en version japonaise ou anglaise. Pour un usage sur mobile, des touches apparaissent directement sur les écrans tactiles. Un système plus intuitif que les contrôles au clavier qui nécessitent une réattribution des touches pour passer d'un périphérique Qwerty à Azerty.

Parmi les autres activités disponibles, Capcom ouvre les portes du bureau de son fondateur, Kenzo Tsujimoto, ainsi que de son président exécutif, Haruhiro Tsujimoto. On y apprend, entre autres, que le premier préfère Street Fighter II, et le second Resident Evil. Leur parcours respectif est également détaillé à travers une sorte de jeu de l'oie.

Une boutique doit être ajoutée au village virtuel dans les semaines qui viennent. Pour l'heure, l'endroit est représenté par une tour en chantier.

Pierre Monnier