BFMTV Replay du 4 février : drame à la maternité de Port-Royal et arrivée Jean-Pierre Dick aux Sables d’Olonne

Retrouvez en moins de deux minutes chrono' le meilleur de l’antenne de BFMTV de ce lundi 4 février. Retour sur l'arrivée de Jean-Pierre Dick aux Sables d'Olonne et sur le drame de la maternité de Port-Royal.

Voici, résumé en deux minutes chrono', le meilleur de l'antenne BFMTV de ce lundi 4 février.

- Faute de place à la maternité, une femme perd son bébé

Déborah devait déclencher son accouchement dans la maternité de Port-Royal à Paris, à 7 heures du matin, jeudi 31 février. La maternité lui demande alors de venir quelques heures plus tard. La jeune femme et son compagnon arrivent à la maternité à 11 heures, mais sur place, personne ne prend en charge la future mère.

Dirigé vers le service des urgences, on demande finalement au couple de rentrer chez lui, malgré les fortes douleurs ressentis par Déborah.

La jeune femme perd l’enfant dans la nuit de jeudi à vendredi.

Ce drame relance le débat sur l'encombrement des maternités en France. Depuis 1975, le nombre de maternités a été divisé par trois, passant de 1.370 maternités à 535 durant l’année 2010.

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- Jean-Vincent Placé s'amuse des propos de Brice Hortefeux

Sur le plateau de Ruth Elkrief, le président du groupe écologiste au Sénat, Jean-Vincent Placé s’est amusé d’une petite phrase prononcée par Brice Hortefeux, invité de Jean-Jacques Bourdin ce mardi 4 février.

L’ancien ministre a avoué sur l’antenne de BFMTV ne jamais avoir vu deux hommes s’embrasser sur la bouche dans la rue. Pour Jean-Vincent Placé, le témoignage de Brice Hortefeux est "lamentable" et "ridicule".

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- Jean-Pierre Dick est arrivé aux Sables d'Olonne

Le skipper termine 4e du Vendée Globe, avec un temps de course de 86 jours, 3 heures, 3 minutes et 40 secondes.

Jean-Pierre Dick avait perdu la quille de son bateau le 22 janvier au sud des Açores. Il avait tout de même décidé de poursuivre sa route pour tenter de rallier les Sables d'Olonne. Il a donc parcouru près de 2.600 milles sans quille.

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