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Élysée

Valérie Trierweiler: "J'ai appris à vivre avec" les rumeurs

Valérie Trierweiler, une Première dame en manque de popularité.

Valérie Trierweiler, une Première dame en manque de popularité. - -

Valérie Trierweiler s'est confié sur son quotidien de Première dame sur le plateau du Grand journal, confessant à demi-mot la difficulté d'encaisser les critiques et les rumeurs de certains.

Valérie Trierweiler, la compagne du président de la République, a affirmé jeudi soir sur Canal+ au Grand journal qu'elle était devenue "plus prudente" et qu'elle avait "appris à vivre avec" les rumeurs.

Interrogée sur les attaques à son encontre, elle a affirmé: "J'apprends à les supporter. On apprend petit à petit". "Après, c'est vrai qu'il y a des rumeurs nouvelles tous les jours. Si on lit tout ce qu'il y a sur le net, tous les jours le président et moi nous nous séparons, il paraît que j'ai un fils en prison au Canada... Aucun de mes fils n'est en prison, aucun n'est même allé au Canada!", a-t-elle poursuivi.

Valérie Trierweiler le confesse, "c'est vrai qu'au début, tout cela touche. Et puis on apprend... pas tout à fait à en rigoler mais à vivre avec. On apprend surtout à ne plus regarder. J'ai remplacé la lecture des journaux par le sport et je vais beaucoup mieux", confie-t-elle.

Hollande "pingouin"? Trierweiler n'y croit pas

Enfin, à la question de savoir si la chanson de Carla Bruni-Sarkozy, l'épouse de l'ex-chef de l'Etat, qui évoque un "pingouin", faisait allusion à François Hollande, la Première dame l'assure: "elle dit elle-même que non. Pourquoi ne pas la croire. Moi je la crois".

La passation de pouvoir s'est-elle mal passée? "Regardez! On s'embrasse!", répond Valérie Trierweiler en commentant les images. "Il y avait un programme très chargé", lâche-t-elle quand on lui a fait remarquer que François Hollande n'avait pas raccompagné à sa voiture Nicolas Sarkozy.