L'essentiel de l'actu: 67e Festival de Cannes et Deschamps "coach de merde"
> Ouverture du 67e Festival de Cannes
Sous un soleil radieux à peine voilé de nuages de polémiques, le 67e Festival de Cannes déroule le tapis rouge mercredi soir pour douze jours de fête du cinéma, avec le très attendu et déjà contesté "Grace de Monaco", et Nicole Kidman pour assurer une montée des marches glamour.
Le "biopic" déjà controversé d'Olivier Dahan, consacré à la princesse Grace, fera l'ouverture mercredi du plus grand rendez-vous mondial du 7e art, en présence de l'actrice australienne, mais sans la famille Grimaldi qui a déploré, sans avoir vu le film, "que son histoire ait fait l'objet d'un détournement à des fins purement commerciales".
> Mondial: la liste des 23+7 de Deschamps fait parler
Le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps a livré mardi son verdict pour le Mondial 2014 de football au Brésil, avec une liste sans surprise de 23 joueurs, mais sans Nasri ni Abidal.
La réaction de la compagne de Nasri a été cinglante. Anara Atanes, a tweeté: "Nique la France, Nique Deschamps! Quel coach de merde" ("Fuck France and fuck Deschamps! What a shit manager!").
> Le rappeur Orelsan devant la cour d'appel de Paris
Fiction ou incitation à la violence envers les femmes? La cour d'appel de Paris rend mercredi sa décision contre le rappeur Orelsan, qui se défend de toute "incitation à quoi que ce soit" dans ses chansons.
Poursuivi par plusieurs associations féministes pour huit titres interprétés lors d'un concert au Bataclan à Paris, en mai 2009, l'artiste avait été condamné en première instance à 1.000 euros d'amende avec sursis, le 31 mai 2013.
> Les consultations pour la réforme territoriale commencent
Les consultations vont commencer pour la réforme territoriale prônée par François Hollande et Manuel Valls et soutenue par les Français.
> Ecotaxe: remise du rapport mercredi
Un rapport parlementaire sur l'écotaxe doit être rendu ce mercredi. Le secrétaire d'État aux Transports, Frédéric Cuvillier, a déclaré ne pas "encore [en] avoir connaissance" mais a estimé que c'était "une bonne chose que les parlementaires aient pu travailler sereinement, réfléchir aux pistes qui permettent d'assurer le financement des infrastructures."