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Moyen-Orient - Page 8

Crash en Iran : le président Raïssi est mort - 20/05

Crash en Iran : le président Raïssi est mort - 20/05

Qui succédera Ebrahim Raïssi à la tête de l'Iran ? Le président iranien a trouvé la mort, dimanche 19 mai, avec huit autres personnes alors qu'il revenait d'Azerbaïdjan. Les questions de sa succession se posent, mais aussi de l'impact qu'aura sa disparition sur la politique du pays et sur les futures relations diplomatiques de l'Iran. On en parle avec : Mahnaz Shirali, sociologue, politiste spécialiste de l'Iran et auteur de "Fenêtre sur l'Iran : Le cri d'un peuple bâillonné". Lieutenant-Colonel Guillaume Ancel, ancien officier de l’Armée française, écrivain et auteur. Didier Idjadi, sociologue au CNAM, universitaire et réfugié politique iranien. Et Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV.

Story 5 : Mort de Raïssi, 5 jours de deuil en Iran - 20/05

Story 5 : Mort de Raïssi, 5 jours de deuil en Iran - 20/05

L'Iran a décrété cinq jours de deuil après la mort du chef de l'État, le président Raïssi, dans un accident d'hélicoptère. Dans 50 jours, il y aura une nouvelle élection présidentielle. Qu'est-ce que cela peut changer ? On en parle avec : Karine de Ménonville, journaliste BFMTV. Aïda Tavakoli, Franco-iranienne, fondatrice de l'association "We are Iranian Students". Sorour Kasmaï, romancière et réfugiée iranienne. Et Thierry Arnaud, éditorialiste politique internationale BFMTV.

Mandats d'arrêt requis contre Benjamin Netanyahu et des dirigeants du Hamas: "Nous saluons cette décision", indique Alma Dufour (LFI)

Mandats d'arrêt requis contre Benjamin Netanyahu et des dirigeants du Hamas: "Nous saluons cette décision", indique Alma Dufour (LFI)

Le procureur de la Cour pénale internationale a demandé des mandats d'arrêt contre Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense, Yoav Gallant, ainsi que trois dirigeants du Hamas pour crimes contre l'humanité présumés. Une décision qualifiée de "scandaleuse" par le ministre israélien des Affaires étrangères, qui dénonce un "déshonneur historique"