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Piratage de Sony: la piste d'une ex-employée sème encore plus le doute

Le piratage géant dont a été victime Sony, et qui avait contraint l'entreprise d'annuler un temps la sortie du film L'Interview qui tue!, venait-elle d'une ex-employée de la firme?

Le piratage géant dont a été victime Sony, et qui avait contraint l'entreprise d'annuler un temps la sortie du film L'Interview qui tue!, venait-elle d'une ex-employée de la firme? - AFP

Une entreprise américaine spécialisée dans la sécurité informatique en est presque certaine : Sony Pictures a été piraté de l’intérieur. Elle cite même un possible responsable du hack de l’année. D’autres analyses corroborent cette version. L'analyse, avec 01.net.

Oubliées, les menaces terroristes. Finalement, The Interview a bien été diffusé dans les cinémas américains et sur de nombreuses plates-formes de VOD.

La piste nord-coréenne mise à mal

Aucune protestation, aucune menace n’a depuis émergé sur le Web de la part des Guardians Of Peace, les mystérieux hackers qui ont mis Sony Pictures à genoux il y a quelques semaines.

En parallèle, la piste nord-coréenne défendue par le FBI est mise à mal par plusieurs spécialistes en sécurité informatique, qui en préfèrent une autre. C’est notamment le cas de Marc Rogers, expert de chez Cloudflare et accessoirement l’un des organisateurs de la célèbre Defcon, qui parie lui, sur un "inside job". Il n'est pas le seul à défendre cette thèse.

Une ex-employée de Sony Pictures responsable?

Depuis le début de l’affaire, Norse Corp, une autre firme de sécurité basée à San Mateo a mené une enquête indépendante. Et ses conclusions rejoignent celles de Rogers : Sony Pictures aurait été piraté par une ex-employée de la firme, pas par la Corée du Nord. Norse l’appelle "Lena" et serait liée aux Guardians Of Peace.

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Eric LB