BFMTV
Pascal, le compagnon de Guy parti mourir en Belgique, interpelle Macron sur le suicide assisté

Pascal, le compagnon de Guy parti mourir en Belgique, interpelle Macron sur le suicide assisté

150 citoyens tirés au sort vont débattre à partir du mois prochain à propos de la fin de vie. Lors de sa dernière campagne, Emmanuel Macron s’est montré plutôt favorable à une évolution de la loi sur l’euthanasie. Il avait échangé avec un homme de 63 ans, qui depuis, a décidé de mourir. Sa maladie le faisait trop souffrir. Son compagnon espère que le président fera bouger les choses en ce qui concerne le suicide assisté. Il témoigne sur BFMTV.

Un couloir d'hôpital au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Pointe-a-Pitre, Guadeloupe, en septembre 2020. (PHOTO D'ILLUSTRATION)

Fin de vie: selon le Conseil constitutionnel, les directives du malade ne priment pas l'avis médical

Tandis que le débat autour d'une réforme de la législation sur la fin de vie s'apprêtent à revenir au centre de l'actualité, le Conseil constitutionnel a tranché un sujet épineux ce jeudi. Les "sages" ont confirmé que les médecins n'étaient pas tenus d'observer les "directives" formulées par un patient sur son maintien ou non en vie par anticipation d'une situation où il ne pourrait exprimer son choix.

Les hospitalisations pour bronchiolite au plus haut, le plan ORSAN déclenché partout en France

Les hospitalisations pour bronchiolite au plus haut, le plan ORSAN déclenché partout en France

L'épidémie de bronchiolite frappe tôt et fort cette année en France, comme dans d'autres pays, poussant le gouvernement à déclencher un plan ORSAN, un plan d'urgence national prévu pour les situations sanitaires exceptionnelles. Santé publique France pointe un "nombre de passages aux urgences et d'hospitalisations pour bronchiolite très élevés et à des niveaux supérieurs à ceux observés aux pics épidémiques depuis plus de 10 ans".

Un nouveau-né le 5 juin 2001 au service maternité de l'hôpital franco-britannique de Levallois-Perret

Un nouveau type d'imagerie médicale bientôt testé chez des bébés pour diagnostiquer l'autisme

Lors d'une conférence de presse tenue ce lundi, des scientifiques français ont annoncé qu'une nouvelle technologie d'imagerie médicale visant à détecter l'autisme dès les premiers mois de la vie serait testée l'an prochain. Ce nouvelle appareil, commercialisé par la start-up Iconeus, examine la circulation sanguine dans le but d'identifier le fonctionnement éventuellement anormal de cellules nerveuses. Le test concernera quelques dizaines de bébés de la maternité de l'hôpital parisien Robert-Debré.