Des tests in vitro "n'ont pas montré la nécessité d'un nouveau vaccin pour faire face aux variants émergents", selon les deux sociétés.
Laurent Kbaier, biologiste pour les laboratoires Biogroup, a évoqué ce jeudi matin sur BFMTV la présence du variant anglais dans les cas de Covid-19 recensés en Ile-de-France.
Le ministre de la Santé tenait une conférence de presse ce jeudi à 14h pour faire un point épidémiologique. Gabriel Attal, lui, a évoqué dans la soirée la nécessité de "prendre des mesures supplémentaires" pour lutter contre le virus.
1.231.783 personnes ont reçu la première dose du vaccin contre le coronavirus en France depuis le début de la campagne vaccinale, selon le ministère de la Santé.
Jonas Amzalag, biologiste, a fait état sur le plateau de BFMTV ce mercredi soir d'une "nette augmentation des cas de suspicion" de variant britannique dans la région, considéré bien plus contagieux que l'originel.
Jonas Amzalag, biologiste aux laboratoires Biogroup, s'inquiète de la propagation du variant anglais du Covid-19 en Île-de-France. "Depuis début janvier, on voit une nette augmentation du taux de suspicion" en Île-de-France, explique-t-il dans 22h Max ce mercredi soir sur BFMTV.
Sur BFMTV ce mercredi soir, le professeur Christophe Rapp, il faut "durcir les mesures pour anticiper une éventuelle émergence du variant anglais qui mettrait l'épidémie de Covid-19 hors de contrôle".
Le variant britannique du coronavirus représente 3.3% des cas positifs de Covid-19 dépistés en France. En Île-de-France, ce taux atteint presque 10%.
Près de 27.000 patients sont à l'hôpital ce mercredi en raison d'une infection à Covid-19, et plus de 3000 personnes sont en réanimation en raison d'une forme grave.
Comme Sanofi, environ 250 laboratoires à travers le monde continuent leurs recherches pour trouver un vaccin contre le Covid-19. Car pour espérer maîtriser un jour le virus, les États vont devoir se fournir en vaccin durablement, et ne pas se satisfaire d’une seule technique.
Le professeur Cyrille Cohen, directeur du laboratoire d'immunologie à l'Université de Bar Ilan (Israël), explique qu'en plus d'une chute de 60% des hospitalisations des personnes âgées, il relève une "efficacité de 90 à 95%" du vaccin Pfizer en Israël.
Sceptique vis-à-vis du vaccin produit par Pfizer, le chef de file de La France insoumise estime que la France devrait davantage se fournir auprès de pays comme la Russie ou la Chine.
L'association France Urbaine qui représente les grandes villes et métropoles du pays, s'est adressée ce mercredi au Premier ministre par l'entremise d'une lettre envoyée par sa présidente, la maire de nantes, Johanna Rolland.
Un troisième confinement "très serré" fait partie des scénarios envisagés par l'exécutif en vue de freiner l'épidémie de Covid-19 et ses variants en France. Mais à quoi pourrait ressembler une telle mesure?
Fabien Quedeville, médecin généraliste et co-initiateur du #jenemeconfineraipas sur Twitter, était l’invité de BFMTV ce mercredi soir. Il explique pourquoi il s’oppose à un nouveau confinement.
D'après nos informations, la police n'est pas intervenue auprès des clients mais a prévenu le restaurateur que des amendes pourraient être dressées.
Alors que la France réfléchit à instaurer un troisième confinement contre l'épidémie de Covid-19, plusieurs autres pays ont déjà mis en place cette mesure. De nos voisins européens au Proche-Orient, les règles varient selon les pays.
Les résultats d'une récente étude québécoise qui vante les mérites de la colchicine sont contredits par plusieurs scientifiques qui alertent face au danger que peut représenter cette substance.
L'acceptabilité de nouvelles restrictions préoccupe l'exécutif. Les études d'opinion sont regardées de près, notamment ce sondage Elabe pour BFMTV. Selon lui, les Français sont partagés sur le niveau de confinement qui serait imposé. Toutefois, 93% des sondés disent qu'ils respecteraient un nouveau confinement comme celui du mois de novembre.
L'Organisation mondiale de la Santé a déclaré ce mercredi qu'à la date de lundi le variant circulait dans 70 pays tandis que le variant sud-africain s'était déjà diffusé dans 31 d'entre eux.
Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a pris la parole ce mercredi devant la presse, à l'issue du Conseil des ministres. Sans condamner définitivement l'efficacité du couvre-feu à 18h, il l'a jugée "relative".
Sur les réseaux sociaux, les appels à ne pas suivre un éventuel troisième confinement se multiplient.
L'immunologue plaide pour dépasser la seule question des mesures restrictives comme le confinement ou le couvre-feu, pour réfléchir collectivement à un mode de vie en dépit du Covid-19.
Le président de Sanofi France, Olivier Bogillot, était l'invité ce mercredi du Live Toussaint.
Pris d'assaut, les centres de vaccination peinent à satisfaire toutes les demandes de prise de rendez-vous.
Olivier Bogillot, Président de Sanofi France était sur BFMTV ce mercredi 21 janvier 2021. Faute de pouvoir pour l'instant proposer son propre vaccin contre le Covid-19, le laboratoire français Sanofi va mettre en flacon celui de ses concurrents Pfizer et BioNTech et conditionner plus de 100 millions de doses cette année à destination de l'Union européenne.
Le président de Sanofi France, Olivier Bogillot, était l'invité ce mercredi du Live Toussaint.
Le président de Sanofi France, Olivier Bogillot, était l'invité ce mercredi du Live Toussaint.
Proportionnellement à leur population, la Bourgogne-Franche-Comté, la Normandie et la Nouvelle-Aquitaine, sont mieux dotées en vaccins que d'autres régions, comme l'Île-de-France.
Jean-Daniel Lelièvre, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, était l’invité de Bourdin Direct sur BFMTV et RMC.
Jean-Daniel Lelièvre, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, était l’invité de Bourdin Direct sur BFMTV et RMC.
Le virologue Christian Bréchot, ancien directeur de l'Inserm et de l'Institut Pasteur, était l'invité ce mercredi de Première édition.
L'AP-HP vient de livrer les résultats de l'enquête qu'elle a mené sur 1000 tests positifs en Île-de-France. Celle-ci semble confirmer la crainte qu'on avait sur l'implantation du variant britannique, puisque 9,4% de ces tests PCR était porteur de la mutation.
La perspective d’un troisième confinement divise les Français, une opinion sur le confinement qui se dégrade depuis le début de la crise. Seulement un Français sur deux est désormais favorable à un confinement national comme en novembre.
La perspective d'un troisième confinement divise les Français, comme le révèle notre dernier sondage Elabe publié ce mercredi.
La campagne de vaccination contre le Covid-19 en France a débuté il y a un mois. Il apparait une certaine inégalité dans la distribution de doses entre régions, et donc au final, dans le nombre total de vaccinés. La priorité est donnée aux régions les plus peuplées et celles qui comptent davantage de personnes âgées et de soignants. Mais ces critères démographiques expliquent-ils à eux seuls la forte disparité entre les régions ?
Embouteillage pour se faire vacciner. De nombreux centres ont dû fermer et la prise de rendez-vous est devenue impossible. C’est le cas notamment de Francisco, prioritaire et pourtant depuis le 18 janvier il ne peut pas prendre de rendez-vous. Un vrai casse-tête pour ce retraité alors qu’Olivier Véran a assuré récemment sur TF1 que "Les personnes de 75 ans et plus qui sont impatientes d'être vaccinées le seront avant la fin du mois de mars". Difficile de l’imaginer alors qu’ils sont 5 millions en France.
Un nouveau Conseil de défense est organisé ce mercredi mais sauf coup de théâtre, pas d'annonce avant la fin de la semaine sur un éventuel nouveau tour de vis sanitaire.
Plus de 40 % des résidents en Ehpad ont déjà reçu une première injection du vaccin contre le Covid-19, soit 241.000 personnes samedi dernier, selon le ministère de la Santé. La campagne de vaccination des personnes âgées vivant en collectivité a mis du temps à démarrer, mais maintenant, elle est pleinement lancée. Dans cet Ehpad de Loos dans le Nord, les résidents ont déjà reçu leur deuxième dose.
Une vidéo partagée plusieurs dizaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux ces derniers jours prétendait prouver que le Coca Cola suffisait à rendre un test antigénique positif au Covid-19. Or il n'en est rien.
Alors que le vaccin d’AstraZeneca contre le Covid-19 doit recevoir son autorisation de mise sur le marché dans les tous prochains jours, le groupe britannico-suédois a annoncé qu’il allait avoir de gros retards de livraison. Conséquence : la France devrait recevoir trois fois moins de doses que prévu.
Seules 4.6 millions de doses du vaccin britannique contre le Covid-19 devaient être livrées en France d'ici la fin du mois de mars, au lieu des près de 16 millions de doses initialement annoncées.
Dans un communiqué émis ce mardi soir, le Conseil national de l'Ordre des médecins a réclamé la vaccination de tous les soigants afin de préserver les "capacités de prise en charge des patients" alors que les cas de de Covid-19 augmentent à nouveau.
Après le faux départ du lancement mi-janvier, reporté d'une journée, la deuxième tournée connaît "un petit décalage de trois jours par rapport à ce qu'avait annoncé le ministre."
Plus de 22.000 nouveaux cas de contamination ont été enregistrés en France au cours de ces dernières 24 heures, selon le dernier bilan de Santé Publique France.
Plusieurs pays européens connaissent actuellement des vagues de contestation contre les mesures de restriction décrétées chez eux pour endiguer la circulation du Covid-19. Au-delà, la police israélienne a annoncé mardi avoir arrêté 14 personnes après des affrontements avec les forces de l'ordre.
L'Exécutif a décidé d'attendre quelques jours avant un potentiel reconfinement. Par rapport aux deux premiers confinements, les chiffres sont mitigés. Par exemple, la veille du premier, il y avait 1097 cas et la veille du deuxième 47.667. Aujourd'hui, 20.447 cas ont été enregistrés.
Olivier Véran a confirmé que le délai d'injections entre les doses du vaccin Pfizer ne sera pas allongé. Il se se maintient à un délai de 3 à 4 semaines, malgré les préconisations des hautes autorisations de Santé de rallonger ce délai à 6 semaines.
21 doses de vaccins ont été jetées dimanche dernier, dans un centre de vaccination du 16e arrondissement de Paris. Malgré une incompréhension du personnel hospitalier, la décision est assumée par le maire.
Le ministre de la Santé a précisé qu'il conditionnait cet objectif à la validation des vaccins précommandés par les autorités sanitaires ainsi qu'à la livraison en temps et en heure des doses.
