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Coronavirus: les contrôles aux aéroports sont-ils insuffisants ?

Coronavirus: les contrôles aux aéroports sont-ils insuffisants ?

Malgré la baisse constante du nombre de cas de nouveau coronavirus en France, plusieurs experts se disent témoin du "grand laxisme" dont fait preuve l'Hexagone au regard de la crise sanitaire. Éric Caumes fustige notamment le laisser-aller qui règne aux frontières, et plus particulièrement dans les aéroports, qui font pourtant face à un flux de voyageurs potentiellement contaminés au Covid-19. Alors que le bon élève autrichien "trace" les touristes en prenant leurs coordonnés, le pays de Pasteur se contente de demander au visiteur s'il a des symptômes. "Pas un numéro de téléphone, rien !" fulmine le médecin. Et de prévenir : "On traite le virus avec mépris, on se fera rattraper."

Le directeur général de l'AP-HP accuse Didier Raoult de faux témoignage

Le directeur général de l'AP-HP accuse Didier Raoult de faux témoignage

Le directeur général de l'AP-HP, Martin Hirsch, conteste deux passages de l'audition du Pr Didier Raoult par la commission d'enquête le 24 juin. D'une part, une estimation des taux de décès de malades en réanimation: "La mortalité dans les réanimations ici, dans ce travail toujours, est de 43%. Chez nous, elle est de 16%" avait déclaré Didier Raoult. De l'autre, des propos sur un patient chinois de 80 ans hospitalisé à Paris fin janvier et qui était décédé mi-février ‘après avoir été renvoyé chez lui pendant 7 jours’.

Scandale de la Dépakine: la justice doit se prononcer sur la responsabilité de l'État

Scandale de la Dépakine: la justice doit se prononcer sur la responsabilité de l'État

Quelle est la responsabilité de l'Etat dans le scandale des "enfants Dépakine" ? Pour la première fois, la justice administrative se prononce mercredi sur les requêtes déposées par trois familles dont les enfants sont lourdement handicapés. Pris pendant la grossesse, cet anti-épileptique augmente les risques de malformations mais aussi de troubles, tels que l'autisme. Le rapporteur a établi que les dangers de malformations étaient connus depuis 1983 et que l'Etat avait failli dans son devoir d'information.