Rétro 2011 : la course à l’Elysée est lancée
L’année 2011 a été riche en événements politiques, la désignation des candidats pour l’élection présidentielle de 2012 a mobilisé tous les partis.
L’année 2011 a été riche en événements politiques, la désignation des candidats pour l’élection présidentielle de 2012 a mobilisé tous les partis.
Pal Sarkozy a assuré n'avoir "jamais été en Algérie", en réponse aux accusations du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui a accusé la France de "génocide" dans ce pays et ajouté que le père de Nicolas Sarkozy y avait été "légionnaire".
Les emplois en cause ont été rémunérés par la mairie de Paris de 1990 à 1995. Jacques Chirac, qui était à l'époque maire de Paris, président du RPR et préparait la présidentielle de 1995.
L'ancien chef de l'État s'est vu infliger deux ans de prison avec sursis pour des emplois fictifs à la ville de Paris. Comment a-t-il réagi ?
L'ex-président de la République a été déclaré coupable de "détournement de fonds publics", "abus de confiance" et "prise illégale d'intérêt", sur 19 des 28 emplois litigieux.
Trois jours après l’accord signé à Bruxelles, Nicolas Sarkozy, dans une interview au quotidien Le Monde revient sur ce projet de traité intergouvernemental.
Nicolas Sarkozy en visite à Marseille dans les Bouches-du-Rhône a annoncé ce jeudi matin la mort du sous-brigadier Eric Lales tué par des tirs de Kalachnikov fin novembre.
Pour se rendre au CNIT situé à La Défense, le chef de l’Etat a effectué depuis Vincennes le déplacement en RER, le transport en commun francilien.
François Hollande a promis ce lundi à Berlin, devant les sociaux-démocrates allemands, d'ouvrir la voie d'une alternance à gauche en mai 2012.
Les réactions politiques ont été nombreuses après le discours de Nicolas Sarkozy à Toulon. Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, Jean-Luc Mélenchon, président du Front de gauche, Eva Joly, candidate EELV à la présidentielle, ou encore Marine Le Pen pour le Front national ont fait part de leurs impressions.
Le 25 septembre 2008, Nicolas Sarkozy avait déjà choisi Toulon pour évoquer la crise provoquée par l'effondrement de la banque Lehmann Brothers et dénoncer les "dérives" du capitalisme financier. À 5 mois de la présidentielle, il choisit la même tribune pour la crise de la dette.