Alors qu'en Grèce, en Suède ou encore en Italie, les pompiers luttent contre de violents incendies favorisés par la sécheresse, le Laos connaît connaît d'importantes inondations. Au Japon, c'est la chaleur qui a fait des dizaines de victimes, avec plus de 40 degrés mesurés à l'ombre.
INFO BFMTV - Après avoir obtenu de manière irrégulière les images de vidéosurveillance des manifestations du 1er mai, Alexandre Benalla a remis ces bandes à Ismaël Emelien, un très proche conseiller politique d'Emmanuel Macron.
Sur BFMTV, le sénateur PS Patrick Kanner a dénoncé "un dysfonctionnement personnifié par Alexandre Benalla" ce jeudi matin.
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a estimé ce jeudi qu'Emmanuel Macron "reste fidèle au Benalla qu'il a connu pendant la campagne". "Il ne veut pas jeter le bébé avec l'eau du bain, il ne fait pas de Benalla quelqu'un qui a dérapé depuis le début", a-t-il poursuivi. Le président "ne peut pas ajouter à cela que, si lui est responsable, les médias sont les coupables", a ajouté Christophe Barbier.
Les auditions parlementaires dans le cadre de l'affaire Benalla se poursuivent ce jeudi. C'est au tour du secrétaire général du cabinet de l'Elysée Alexis Kohler de faire face à la commission des lois du Sénat. Proche d'Emmanuel Macron, il occupe un rôle capital dans l'organigramme du président de la République. Son audition est très attendue. Certains députés, comme Marine Le Pen, ont annoncé qu'ils se rendraient au Sénat pour y assister.
Le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler, est entendu par les Sénateurs à partir de 8h30.
L'Elysée était en possession des bandes de vidéosurveillance montrant les interventions musclées d'Alexandre Benalla lors du 1er mai. Elles avaient été obtenues de manière illégale par ce dernier auprès de trois policiers. Le cabinet du Président a confirmé avoir été en possession des bandes et de les avoir visionnées.
Ce mercredi soir, l'Assemblée nationale devait reprendre la lecture du projet de loi asile-immigration, alors que la polémique autour de l'affaire Benalla est toujours vive. Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, a été vivement apostrophé à ce propos.
Ce mercredi soir la tension n'est toujours pas retombée à l'Assemblée nationale lors de l'examen de la loi asile et immigration. Les députés de la France Insoumise ont quitté l'hémicycle.
La présidente du Rassemblement national (ex-FN) revient sur la déclaration, devant la presse, d'Emmanuel Macron sur l'affaire Benalla.
Jean-Luc Mélenchon, président du groupe La France insoumise à l'Assemblée a réagit à la prise de parole d'Emmanuel Macron en qualifiant les méthode de communication du Président de "mœurs de rustre".
En déplacement à Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées, Emmanuel Macron a évoqué, ce mercredi soir, pour la première fois devant la presse l'affaire Benalla. Marine Le Pen regrette que le Président n'ait pas eu de "réaction formelle".
,C'est un véritable bras de fer qui s'est engagé à l'Assemblée entre la présidente de la commission des Lois, Yaël Braun-Pivet (LREM), et le co-rapporteur Guillaume Larrivé (LR).
Ce mercredi soir, Emmanuel Macron a évoqué pour la première fois devant la presse, et non le cercle restreint de ses proches, l'affaire Benalla.
Emmanuel Macron est en déplacement dans les Hautes-Pyrénées. Il a réagit face aux médias sur l'affaire Benalla.
A l'Assemblée, la situation a été très tendue ce mercredi 25 juillet entre les députés de la majorité et de l'opposition.
Nicolas Dupont-Aignan, député Debout la France des Yvelines était l'invité de BFMTV ce mercredi soir. Il est revenu sur les auditions en COmmission des lois suite à l'affaire Benalla.
Guillaume Larrivé, député LR et co-rapporteur de la commission d'enquête de l'Assemblée, a accusé mercredi le chef de l'Etat de "museler" les oppositions.
Dans l'affaire Benalla les auditions se poursuivent devant la Commission des lois au Parlement. Patrick Strzoda, directeur de cabinet du Président de la République a répondu ce mercredi après-midi au sénateurs, après les députés hier. Il a précisé la rémunération d'Alexandre Benalla pendant ses quinze jours de suspension en mai, mois pendant lequel il a touché l'intégralité de son salaire. Trois députés ont envoyé une lettre ce matin à Patrick Strzoda pour lui demandé des explications et des éclaircissements.
Patrick Strzoda, directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, est entendu ce mercredi devant la commission d'enquête du Sénat.
Alexandre Benalla a touché son salaire intégral au mois de mai en dépit de sa mise à pied de 15 jours, a annoncé mercredi le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, en précisant qu'il ferait l'objet d'une retenue sur congés.
Patrick Strzoda, directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, qui avait décidé d'une suspension de quinze jours, a priori sans traitement, en mai contre Alexandre Benalla, a avoué ce mercredi devant la commission des lois du Sénat que l'intéressé avait cependant perçu son salaire entièrement.
Yaël Braun-Pivet, présidente de la commission de l’enquête parlementaire, a annoncé ce mercredi qu’Alain Gibelin serait entendu dans une nouvelle audition, après qu’il est revenu sur ses propos dans le cadre de l’affaire Benalla. “Ce à quoi on assiste, c’est au bras-de-fer politique qui se poursuit au sein même de cette commission d’enquête, explique Jérémy Brossard, journaliste politique BFMTV. On a d’un côté l’opposition, qui cherche depuis plusieurs jours à faire témoigner des proches d’Emmanuel Macron, et de l’autre Yaël Braun-Pivet, qui préfère mettre l’accent sur les contradictions apparues après l’audition d’Alain Gibelin.”
La sécurité d'un président est d'ordinaire assurée par une équipe de policiers et gendarmes d'élite, le GSPR. Alexandre Benalla semble pourtant s'être immiscé dans la protection du chef de l'Etat, au grand dam de certains syndicats policiers.
Éric Morvan a déclaré devant la commission d'enquête du Sénat qu'il n'était pas au courant des détails de l'affaire avant la lecture du quotidien. Il a également remis en question la version des avocats d'Alexandre Benalla selon laquelle ce dernier aurait porté main forte à la police qui était dépassée.
"Toutes les leçons seront tirées à la rentrée." Griveaux admet des "dysfonctionnements" dans l’affaire Benalla
Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, estime devant les journalistes que "nous avons assisté à des informations erronées" sur l'affaire Benalla. Benjamin Griveaux déclare que "le salaire de 10.000 euros, c'est faux, un appartement de 300m², c'est faux."
Le porte-parole du gouvernement s'exprime ce mercredi à l'issue du conseil des ministres et au lendemain des mots tenus par Emmanuel Macron devant des parlementaires de la majorité.
Le porte-parole du gouvernement s'exprime ce mercredi à l'issue du conseil des ministres et au lendemain des mots tenus par Emmanuel Macron devant des parlementaires de la majorité.
Richard Lizurey a reconnu devant le Sénat sa responsabilité dans la nomination d'Alexandre Benalla au titre de lieutenant-colonel dans la réserve opérationnelle.
Benjamin Griveaux reconnaît qu'Alexandre Benalla "est clairement sorti de son rôle d'observateur" le 1er-mai
Le député Nicolas Dupont-Aignan n'a pas du tout apprécié la manière dont le président a avancé ses premières explications mardi devant des parlementaires LaRem sur l'affaire Bennala. Il entend même ne plus siéger en commission d'enquête.
Les députés de l'opposition ont du mal à interpréter et à accepter la phrase d'Emmanuel Macron, "qu'ils viennent me chercher...", prononcée mardi soir lors d'une intervention devant les parlementaires LaREM, en partie consacrée à l'affaire Benalla.
Eric Morvan, directeur général de la police nationale, était auditionné ce mercredi par la commission d'enquête du Sénat. Anne Saurat-Dubois résume cette heure passée devant les parlementaires.
Réuni en bureau exécutif lundi soir, le parti de la majorité s'est prononcé pour le remboursement total de la PMA pour toutes les femmes, alors que le gouvernement prévoit de l'ouvrir aux femmes célibataires et lesbiennes début 2019.
Valérie Boyer, députée Les Républicains, réagit sur BFMTV à la vidéo d'un parlementaire LaREM montrant Emmanuel Macron s'exprimer au sujet de l'affaire Benalla et affirmant être "le seul responsable". Valérie Boyer considère que "on avait eu eu 'responsable mais pas coupable' et là nous avons 'coupable et irresponsable'", et estime que "le président Macron savait parfaitement qu'en s'adressant devant une secte, nous n'aurions pas de réponse."
Alexis Corbière, député France Insoumise, réagit sur BFMTV à la vidéo d'un parlementaire LaREM montrant Emmanuel Macron s'exprimer au sujet de l'affaire Benalla et affirmant être "le seul responsable". Alexis Corbière estime que le président "a des comptes à rendre" et se demande "pour quelle raison ne viendrait-il pas s'exprimer devant la commission d'enquête parlementaire?"
Marie-France Moneger-Guyomarc'h, directrice de l'Inspection générale de la police nationale est auditionnée ce mercredi par la commission d'enquête du Sénat.
Marie-France Moneger-Guyomarc'h, directrice de l'Inspection générale de la police nationale est auditionnée ce mercredi par la commission d'enquête du Sénat
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a estimé ce mercredi que "personne n'a eu la lucidité et le courage de taper du poing sur la table" concernant les actes d'Alexandre Benalla. "Tout le monde pensait que c'est ailleurs qu'on allait informer et sanctionner", a-t-il affirmé.
Suivez sur BFMTV l'audition d'Eric Morvan, le directeur général de la police.
Le directeur général de la police nationale Eric Morvan, auditionné par la commission des lois du Sénat ce mercredi, a estimé que la sanction infligée par Patrick Strzoda à Alexandre Benalla "n'est pas légère". "Elle est même plus sévère que dans la fonction publique", a-t-il ajouté.
Suivez sur BFMTV l'audition d'Eric Morvan, le directeur général de la police.
Le patron de la police nationale Eric Morvan a dénoncé ce mercredi, lors de son audition à la commission des lois du Sénat, "des faits inacceptables commis par un jeune homme qui a pris la grosse tête".
Pour l'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier, les déclarations du président mardi soir sur l'affaire Benalla visent à contrer les attaques de l'opposition en utilisant ses propres arguments.
Le directeur général de la police nationale Eric Morvan a déclaré ce mercredi devant la commission d'enquête du Sénat qu'il "n'a pas d'information" concernant "les relations exécrables" entre les syndicats de police et Alexandre Benalla. "Je n'ai jamais été destinataire d'informations accréditant cette ambiance exécrable", a-t-il assuré.
Le député LR incarne l'opposition à la tête de la commission d'enquête de l'Assemblée, au côté de la présidente et co-rapporteure LaREM Yaël Braun-Pivet.
Ni gendarme, ni policier, Alexandre Benalla était responsable de la sécurité d'Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle. Depuis, devenu chargé de mission, Alexandre Benalla s'est ajouté au dispositif du GSPR, le groupe de sécurité de la présidence de la République. "Il perturbe le dispositif", estime un ancien membre du GSPR.
Le ministre de l'Action et des comptes publics a par ailleurs salué le "courage" du président, qui s'est dit mardi soir "seul responsable" dans cette affaire.
