Vincent Crase, un autre collaborateur de l'Elysée, apparaît dans la vidéo mettant en cause Alexandre Benalla ce mercredi. L'ancien réserviste de gendarmerie avait déjà été écarté par la présidence de la République pour des faits similaires.
Interrogé par les sénateurs, Gérard Collomb, le ministre de l'Intérieur, a annoncé une enquête de l'IGPN, la police des polices pour faire la lumière sur les conditions dans lesquelles un service de police a accueilli des personnalités extérieures. L'enquête ne portera donc pas sur les actes violents ni sur la réaction ou non-réaction des CRS et policiers autour d'Alexandre Benalla.
Le 1er mai, Alexandre Benalla, proche collaborateur du président de la République, a été filmé en train de frapper un manifestant. Il a écopé pour cela d'une suspension de quinze jours après ces violences. L'autorisation de participer a cette manifestation lui avait été donnée par l'Élysée selon le journal le Monde, alors que Gérard Collomb a parlé de la préfecture de police de Paris devant les sénateurs.
Le 1er mai, Alexandre Benalla, proche collaborateur du président de la République, a été filmé en train de frapper un manifestant. Il a écopé pour cela d'une suspension de quinze jours après ces violences. Chargé de la sécurité d'Emmanuel Macron pendant la campagne, il est toujours en poste à l'Elysée et était notamment lundi près des Bleus lors de leur retour en France.
L’ancien conseiller de François Hollande ne souhaite pas, pour l’instant, évoquer sa candidature aux municipales de 2020 à Paris.
La présidence peinait jeudi à couper court à la bronca suscitée par une vidéo montrant un collaborateur d'Emmanuel Macron frappant un manifestant le 1er-Mai, qui a déclenché l'ouverture d'une enquête préliminaire pour violences et usurpation de fonction. Le Premier ministre Edouard Philippe s'est exprimé sur le sujet jeudi, lors des questions au Sénat.
Le parquet de Paris a annoncé ce jeudi l'ouverture d'une enquête préliminaire, notamment pour "violences par personne chargée d'une mission de service public" et "usurpation de fonctions", après la diffusion d'images d'un collaborateur du président Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, frappant un manifestant le 1er-Mai. Le Premier ministre Édouard Philippe s’est exprimé ce jeudi après-midi devant les sénateurs.
Le ministre de l'Intérieur estime que les images montrant Alexandre Benalla frapper un jeune homme lors d'une intervention policière nuisent à l'image des forces de sécurité. Une enquête de l'Inspection générale de la police nationale va être lancée.
La présidence peinait jeudi à couper court à la bronca suscitée par une vidéo montrant un collaborateur d'Emmanuel Macron frappant un manifestant le 1er-Mai, qui a déclenché l'ouverture d'une enquête préliminaire pour violences et usurpation de fonction. Jean-Luc Mélenchon a réagit depuis l'Assemblée nationale.
Les éditorialistes de BFMTV s'interrogent sur les raisons pour lesquelles Emmanuel Macron garde le silence dans l'affaire Alexandre Benalla. Ce collaborateur du président a été filmé en train de frapper un manifestant le 1er mai, ce qui a conduit à l'ouverture d'une enquête préliminaire.
Le parquet de Paris a annoncé ce jeudi l'ouverture d'une enquête préliminaire, notamment pour "violences par personne chargée d'une mission de service public" et "usurpation de fonctions", après la diffusion d'images d'un collaborateur du président Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, frappant un manifestant le 1er-Mai. Nicolas Lescaut, auteur de l’une des vidéos de ce 1er-mai et militant La France insoumise, témoigne au micro de BFMTV.
Le parquet de Paris a annoncé ce jeudi l'ouverture d'une enquête préliminaire, notamment pour "violences par personne chargée d'une mission de service public" et "usurpation de fonctions", après la diffusion d'images d'un collaborateur du président Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, frappant un manifestant le 1er-Mai. Nicolas Lescaut, auteur de l’une des vidéos de ce 1er-mai et militant La France insoumise, témoigne au micro de BFMTV.
Le 1er mai, ce collaborateur du président de la République a été filmé en train de frapper un manifestant. Le parquet a ouvert une enquête préliminaire pour violences par personne chargée d'une mission publique, usurpation de fonctions et usurpations de signes réservés à l'autorité publique.
La ministre de la Justice Nicole Belloubet a évoqué jeudi à l'Assemblée nationale des "gestes absolument inadaptés" d'un collaborateur d'Emmanuel Macron à Paris le 1er-Mai, ajoutant que "si cela paraît nécessaire", le procureur prendra "les décisions qui s'imposent".
Alexandre Benalla, le collaborateur violent d'Emmanuel Macron filmé en train de frapper un manifestant lors du 1er-Mai, a reçu "la sanction la plus grave jamais prononcée contre un chargé de mission travaillant à l'Elysée", a souligné jeudi Bruno Roger-Petit, le porte-parole de l'Elysée. En déplacement en Dordogne, le président a d'abord décidé de ne pas répondre aux questions des journalistes, avant de commenter l'affaire de quelques mots.
La présidence a tenté de couper court jeudi à la bronca suscitée par la vidéo montrant un collaborateur d'Emmanuel Macron frappant un manifestant et qui a déclenché l'ouverture par le parquet de Paris d'une enquête préliminaire pour "violences" et "usurpation de fonctions". En déplacement en Dordogne, le président n'a pas souhaité répondre aux questions posées sur Alexandre Benalla par les journalistes qui l'accompagnent.
Le président de la Fédération française de football, invité de BFMTV et RMC ce jeudi, n'a pas confirmé la présence d'Alexandre Benalla à bord du bus des Bleus lundi. "Je ne sais pas du tout s'il était sur le bus, nous allons vérifier, mais sur le bus il n'a tapé personne", a-t-il ironisé.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire après la diffusion d'une vidéo où un proche d'Emmanuel Macron, chargé de sa sécurité, est filmé en train de frapper un homme à terre le 1er mai dernier. Laurence Sailliet, porte-parole LR, a réagit ce jeudi sur BFMTV.
Le parquet de Paris a annoncé jeudi l'ouverture d'une enquête préliminaire, notamment pour "violences par personne chargée d'une mission de service public" et "usurpation de fonctions", après la diffusion d'images d'un collaborateur du président Emmanuel Macron frappant un manifestant le 1er-Mai. Celui-ci était également présent lundi pour le retour des Bleus en France.
Un collaborateur d'Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a été suspendu de ses fonctions pendant deux semaines après avoir agressé un manifestant à Paris le 1er-Mai, selon des informations révélées par Le Monde. Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée, Alexandre Benalla est chargé de mission auprès du chef de l’Etat. Il est adjoint au chef de cabinet du président de la République, bien qu’il n’apparaisse pas dans l’organigramme officiel. Alexandre Benalla, qui a suivi une de formation de haut niveau organisée à l’école des officiers de la gendarmerie à Melun, fréquente le monde politique depuis plusieurs années.
Bruno Roger Petit, le porte-parole de l'Elysée, a fait une déclaration ce jeudi matin, alors que le président a refusé de commenter l'affaire.
Bruno Roger Petit, le porte-parole de l'Elysée, a fait une courte déclaration ce jeudi matin, alors que le président a refusé de commenter l'affaire.
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a estimé qu'Alexandre Benalla frappant un manifestant le 1er-Mai "est la plus importante bavure politique du quinquennat de Macron". "On peut aujourd'hui corriger un petit peu, en ouvrant une série d'enquête", a-t-il affirmé.
Le consultant Police-justice de BFMTV Dominique Rizet a expliqué ce jeudi que "certains collaborateurs de ministres ont le droit à avoir un brassard de police, ça leur permet de passer des barrages." Il a aussi précisé que le casque porté par Alexandre Benalla lors de la manifestation du 1er mai n'avait rien à voir avec ceux que portent actuellement les CRS.
"Qu'ont fait Emmanuel Macron et Gérard Collomb?" Coquerel (LFI) s'interroge sur l'affaire Benalla
Le secrétaire d'Etat estime qu'il y a eu une "réaction immédiate" face au comportement d'Alexandre Benalla. Toujours en poste à l'Elysée à un autre poste, ce collaborateur du président n'a été suspendu que 15 jours.
Après les révélations du Monde mercredi soir, le parcours d'Alexandre Benalla se précise. Chargé de la sécurité d'Emmanuel Macron pendant la campagne, il est toujours en poste à l'Elysée, alors que le chef de l'Etat a eu connaissance de ses agissements le 1er mai.
Selon une vidéo publiée par Le Monde ce mercredi soir, un proche collaborateur d'Emmanuel Macron a été filmé le 1er mai dernier en train de brutaliser un manifestant. La présidence de la République fait savoir qu'elle l'a sanctionné d'une mise à pied de quinze jours. "Sa sanction interroge par sa légèreté", a estimé Damien Abad sur BFMTV ce jeudi.
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a jugé ce jeudi "ahurissant" le fait qu'un proche d'Emmanuel Macron ait pu frapper librement un manifestant lors des mobilisations le 1er mai dernier. "Il faut une enquête immédiate interne à la police pour savoir ce qu'il s'est passé", a-t-il lancé, avant de s'interroger sur le rôle de l'Elysée. "Est-ce qu'il a eu une autorisation officielle de son chef de service ? Le président de la République a-t-il été informé avant et a donné son feu vert et a été informé après et a fait preuve d'une coupable clémence ?", a--il suggéré.
Le 1er mai dernier, un rassemblement à l'appel de l'UNEF et de la France Insoumise dégénère. Des CRS appellent un jeune homme. Alors qu'il semble vouloir s'expliquer, un homme avec un casque de policier arrive par derrière, le saisit au cou et le frappe à la tête et à l'abdomen. Il s'agit d'Alexandre Benalla, et était en charge de la sécurité d'Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle. Il a ensuite été nommé chargé de mission à l'Elysée. Alexandre Benalla avait écopé de quinze jours de suspension avant d'être muté à un autre poste administratif.
La garde à vue, autour de soupçons de fraude fiscale, du député Thierry Solère a été levée ce mercredi soir sur avis médical, comme l'a annoncé le parquet de Nanterre.
Selon une vidéo publiée ce mercredi soir par Le Monde, un collaborateur du président de la République a frappé un manifestant le 1er mai dernier, et se trouve toujours en poste à l'Elysée. La présidence a confirmé ces informations à notre antenne dans la soirée. Les images soulèvent l'indignation de l'opposition, de la gauche à la droite.
Selon Le Monde, une vidéo montre un proche d'Emmanuel Macron s'en prendre à un jeune à terre lors du 1er-Mai.
Selon Le Monde, une vidéo montre un proche d'Emmanuel Macron s'en prendre à un jeune à terre lors du 1er-Mai.
Selon une vidéo publiée par Le Monde ce mercredi soir, un proche collaborateur d'Emmanuel Macron a été filmé le 1er mai dernier en train de brutaliser un manifestant. La présidence de la République fait savoir qu'elle l'a sanctionné d'une mise à pied de quinze jours.
Selon Le Monde, une vidéo montre un proche d'Emmanuel Macron s'en prendre à un jeune à terre lors du 1er-Mai.
Selon Le Monde, une vidéo montre un proche d'Emmanuel Macron s'en prendre à un jeune à terre lors du 1er-Mai.
Critiqués pour la rapidité du bus des Bleus sur les Champs-Elysées lundi, et l'absence de contact avec les supporteurs, la présidence de la République et le gouvernement ont tenté de se mettre un terme à la controverse mercredi.
La ministre des Sports, Laura Flessel est revenue dur la polémique qui a touché les Bleus après la victoire de la Coupe du monde. De nombreuses voix ont évoqué qu'avec les Bleus ce serait "l'Afrique" qui serait championne du monde et pas la France.
Près de 100.000 exemplaires de Les leçons du pouvoir ont été vendus depuis sa sortie le 11 avril dernier.
La commission des lois du Sénat a approuvé ce mercredi la création d'un délit sanctionnant la participation aux rodéos motorisés. L'an dernier, les forces de l'ordre étaient intervenues à plus de 15.000 reprises pour ce type de fait.
"On a encore du mal à réaliser", a déclaré ce mercredi 18 juillet Hugo Lloris qui vient d’arriver à Nice, sa ville d’origine pour célébrer son titre de champion du monde.
Guillaume Chiche, député LaREM, souhaite déposer une proposition de loi dans les prochains jours pour ouvrir la PMA aux femmes lesbiennes et célibataires.
Christian Hutin, le président de la commission d'enquête parlementaire mise en place après le scandale Lactalis a déclaré ce mercredi sur BFMTV qu'il faut être "beaucoup plus attentif sur les contrôles". Il appelle à "contrôler les contrôlés et les contrôleurs", notamment pour éviter les conflits d'intérêts.
Benjamin Pavard est de retour dans sa ville natale de Jeumont, dans le Nord, après avoir remporté la Coupe du monde de football avec l'équipe de France. "Il y a une vraie communion, une vraie fierté, c'est l'enfant du pays", a déclaré le maire PS de la commune Benjamin Saint-Huile. "Pour la jeunesse de ce territoire, c'est un bel élément d'espoir et d'exemple", a-t-il ajouté.
Le député FI du Nord Adrien Quatennens, invité de BFMTV et RMC ce mercredi, a estimé que "ce que fait Emmanuel Macron n'est pas efficace ni pragmatique". "Il dit 'il y a du chômage de masse, très bien, faisons la précarisation de l'emploi'", a-t-il ajouté.
Le député de la France Insoumise du Nord Adrien Quatennens, invité de BFMTV et RMC ce mercredi, a déclaré qu'il "y a une vraie ferveur populaire" autour du succès de l'équipe de France de football en Coupe du monde. "Il n'y a que le foot qui permet ça dans le pays", a-t-il ajouté.
La séance de mardi soir a été marquée par de nombreuses interventions virulentes, les différents partis d'opposition reprochant à la majorité une réforme affaiblissant les députés au profit du président.
Alors qu’il recevait les patrons des cent plus grandes entreprises françaises ce mardi, le président est revenu sur une expression qu'il avait utilisée à l'automne dernier, et qui avait déclenché une polémique.
