Un millier de personnes se sont rassemblées ce dimanche à proximité de l'Assemblée nationale pour dénoncer le projet de loi immigration et asile porté par Gérard Collomb.
Ce soir, le président répondra aux questions de Jean-Jacques Bourdin (BFMTV-RMC) et d'Edwy Plenel (Mediapart) depuis le Théâtre national de Chaillot. Emmanuel Macron s'est préparé à ce grand rendez-vous avec ses proches, comme avant chacune de ses interventions médiatiques.Gérard Collomb et Jean-Yves Le Drian passent, selon leurs cabinets respectifs, leur vie avec le Président. Avec Edouard Philippe ils forment depuis un an le premier cercle de la Galaxie Macron.
Ce soir, le président répondra aux questions de Jean-Jacques Bourdin (BFMTV-RMC) et d'Edwy Plenel (Mediapart) depuis le Théâtre national de Chaillot, un lieu prestigieux et chargé d'histoire. 160 personnes s’activent pour préparer le décor de l’interview, dans une salle de 800m2. C’est dans cette salle qu’a été signée la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme a été signée en 1948. Un cadre spécial pour l’unique interview bilan du Président, un an après son arrivée à l’Elysée.
Quelles seront les questions posées à Emmanuel Macron ce dimanche soir, lors de son interview par Jean-Jacques Bourdin (BFMTV-RMC) et Edwy Plenel (Mediapart)?
Plusieurs thématiques seront abordées ce soir, lors de l’interview d’Emmanuel Macron par Jean-Jacques Bourdin (BFMTV-RMC) et Edwy Plenel (Mediapart). La Syrie, tout d’abord, mais aussi le mécontentement social, les thématiques économiques, la laïcité, la sécurité, les questions migratoires et la place de la France dans le monde. “Globalement, c’est la restauration de l’image et de l’autorité du chef de l’État qui est en jeu”, analyse Ulysse Gosset, éditorialiste en politique internationale à BFMTV.
Le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy, a expliqué que ce débat permettra "au gouvernement de s'exprimer devant tous les députés et à tous les groupes parlementaires d'exprimer leurs positions".
Ce soir, le président répondra aux questions de Jean-Jacques Bourdin (BFMTV-RMC) et d'Edwy Plenel (Mediapart) depuis le Théâtre national de Chaillot, un lieu prestigieux et chargé d'histoire. 160 personnes s’activent pour préparer le décor de l’interview, dans une salle de 800m2. C’est dans cette salle qu’a été signée la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme a été signée en 1948. Un cadre spécial pour l’unique interview bilan du Président, un an après son arrivée à l’Elysée.
Dans le JDD, les deux leaders de l'opposition révèlent les questions qu'ils souhaiteraient poser au chef de l'État dans le cadre d'une interview.
Terminé, l’état de grâce post-élection: où qu’il aille, les mouvements sociaux poursuivent Emmanuel Macron. Interpellé au CHU de Rouen, freiné par la grève des cheminots, des étudiants, des retraités… Les fronts de contestation se multiplient, mais le président reste inflexible. Les syndicats et la gauche rêvent d’une convergence des luttes. Si les conditions ne sont pas réunies, le malaise social reste bien réel.
En un an de mandat, Emmanuel Macron a reculé sur plusieurs de ses promesses de campagne: l’accès aux indemnités chômage pour les salariés démissionnaires, mais aussi la hausse de la CSG pour les retraités et l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en janvier.
Emmanuel Macron continue de mettre en place ce qu’il avait promis pendant sa campagne. Parmi les grandes réformes déjà réalisées depuis un an: la moralisation de la vie publique, la loi travail et les réformes fiscales (fin de l’ISF, baisse des cotisations salariales et hausse de la CSG). Les résultats ne sont pas pour tout de suite, mais le président de la République a le temps: il n’a aucune échéance électorale avant les européennes de 2019.
Ce soir, le président de la République répondra aux questions de Jean-Jacques Bourdin (BFMTV-RMC) et d'Edwy Plenel (Mediapart) depuis le Théâtre national de Chaillot. Un lieu prestigieux et chargé d'histoire: c’est dans cette salle de 800m2 que la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme a été signée en 1948. 160 journalistes et techniciens travaillent à la préparation de l’interview, qui mobilisera 8 caméras, une grue et 200 projecteurs.
Le rendez-vous est capital pour Emmanuel Macron. Près d’un an après son arrivée au pouvoir, le chef de l’État accorde ce dimanche soir un entretien exclusif à BFMTV, RMC et Mediapart. L'occasion pour lui de défendre son action devant les Français. Pour ce grand rendez-vous, Emmanuel Macron s'est préparé avec ses ministres et conseillers les plus proches, comme avant chacune de ses interventions mediatiques.
Le leader de la France insoumise a participé à une manifestation "Stop Macron". Il a lancé un appel en faveur de l'unité entre le monde politique et les syndicats pour combattre l'action du chef de l'État.
Malgré les contestations de certains députés de la majorité, le ministre de l'Intérieur est persuadé que celle-ci fera "preuve de responsabilité".
Un an après son accession à l’EÉysée, près de la moitié des Français, 44%, se disent déçus par Emmanuel Macron. Un tiers, pensent qu’il est trop tôt pour juger son action. Notre sondage Elabe montre un désamour croissant qui a doublé au fil des mois, en particulier chez les catégories populaires et les habitants des zones rurales. abe montre un désamour croissant qui a doublé au fil des mois, en particulier chez les catégories populaires et les habitants des zones rurales.
L'homme d'affaires, atteint d'un cancer, dit vouloir "renouer le contact direct avec le public".
Le président des Républicains a dit ne comprendre "ni l'utilité, ni le sens" des frappes menées par la France en Syrie.
Le chef de l'État va consulter certains membres du gouvernement et conseillers proches pour préparer son interview de dimanche soir, accordée à BFMTV, RMC et Mediapart.
Le président de la République estime que le Conseil de sécurité de l'ONU doit "maintenant" reprendre "l'initiative" et souhaite "travailler sérieusement" avec la Russie pour parvenir à "une solution politique".
En prenant la responsabilité d'engager les forces françaises dans les frappes contre la Syrie, Emmanuel Macron fait l'expérience d'une nouvelle dimension de sa fonction: celle de chef de guerre.
L'ancien président de la République insiste sur la nécessité d'une "pression diplomatique et politique" après les frappes lancées en Syrie contre le régime de Bachar Al-Assad.
L'opposition dénonce ce samedi le suivisme dont la France ferait preuve en frappant le régime syrien aux côtés des États-Unis. Élus de droit et de gauche s'émeuvent de l'absence de mandat pour conduire ces opérations.
Les installations d'armes chimiques visées par les frappes conduites dans la nuit de vendredi à samedi ont été détruites, selon le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
L'interview d'Emmanuel Macron dimanche soir sur BFMTV aura lieu au théâtre Chaillot, à Paris. Découvrez les premières images du plateau.
Jean-Yves Le Drian, le chef de la diplomatie française, a assuré que l'opération militaire contre le régime syrien, était "proportionnée et ciblée".
Dans le même temps, plus de deux Français sur trois considèrent que le chef de l'État mène une politique en faveur des plus aisés, selon un sondage "L'Opinion en direct" de l'institut Elabe pour BFMTV, publié ce samedi matin.
La ministre des Transports Elisabeth Borne est revenue sur la réforme de la SNCF, notamment sur l'ouverture à la concurrence. Elle a affirmé qu'elle était avantageuse pour les Français. L'ouverture à la concurrence "c'est plus de trains et des trains moins chers", a-t-elle expliqué. "Nous sommes déterminés à mener l'ouverture à la concurrence jusqu'au bout", a poursuivi la ministre des Transports sur BFMTV.
L'ancien ministre de Nicolas Sarkozy avait déjà plaidé en faveur d'un accord entre Les Républicains et le Front national.
Edouard Philippe est à Notre-Dame-des-Landes ce vendredi accompagné de Gérard Collomb pour faire "un point de situation" avec les forces de l'ordre. "Une cinquantaine de gendarmes ont été blessés", a déclaré le Premier ministre.
Le chef de l'Etat se rendra à Berlin le 19 avril pour rencontrer la chancelière allemande et échanger sur les grands chantiers européens.
Le député LREM Matthieu Orphelin a annoncé ce vendredi qu'il ne votera pas pour le projet de loi asile-immigration. Malgré l'avertissement de Richard Ferrand, une vingtaine de députés ont également déposé des amendements contre ce texte.
Le chef de file des députés LR Christian Jacob a demandé ce vendredi qu'un débat sur d'éventuelles frappes en Syrie ait lieu à l'Assemblée nationale. Il estime que cette décision doit être prise avec "beaucoup de sang froid".
Le secrétaire d'Etat a prévenu que si des frappes françaises avaient lieu en Syrie, elles n'auraient pas vocation à être rendues publiques.
Christophe Castaner, invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce vendredi, a déclaré que "si les conditions sont réunies pour qu'il y ait des frappes en Syrie, elles auront lieu". "Il y a des discussions, internationales, il faut des frappes coordonnées s'il doit y avoir des frappes", a-t-il également lancé.
Christophe Castaner, invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce vendredi, a déclaré que "si les conditions sont réunies pour qu'il y ait des frappes en Syrie, elles auront lieu". "Il y a des discussions, internationales, il faut des frappes coordonnées s'il doit y avoir des frappes", a-t-il également lancé.
Le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le parlement Christophe Castaner, invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce vendredi, a estimé que "pour unir les Français, il faut respecter l'ordre". "C'est la meilleure façon de donner liberté et sécurité à chacun", a-t-il ajouté.
Christophe Castaner, invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce vendredi, a assuré que la volonté du gouvernement n'est pas de privatiser la SNCF. "On met fin aux fantasmes, il y aura une société 100% publique qui garantira le service public ferroviaire en France", a-t-il déclaré, ajoutant en même temps "ne pas avoir peur de la concurrence".
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a estimé ce vendredi qu'il "y a un effet zadiste" au sein du mouvement étudiant. Il a notamment pris l'exemple de Tolbiac, qui "cherche à créer une ZAD urbaine". "Il y a aussi une tentative par la France insoumise de récupérer le mouvement, voire de l'agiter", a-t-il également lancé.
Dimanche à 20h35 en direct sur BFMTV et RMC, Emmanuel Macron répondra aux questions de Jean-Jacques Bourdin et du président et directeur de la publication de Mediapart, Edwy Plenel. BFMTV vous livre les coulisses du choix de ce duo.
Marine Le Pen, présidente du Front national et députée élue dans le Pas-de-Calais, est intervenue au micro de Ruth Elkrief ce jeudi soir sur notre antenne. Alors que plus tôt dans la journée, le président Emmanuel Macron avait assuré lors d'une interview disposer de preuves de l'utilisation d'armes chimiques par Bachar al-Assad contre son peuple, elle l'a appelé à la prudence.
Izïa, entourée de ses frères et de fans venus nombreux a rendu un dernier hommage vibrant à Jacques Higelin, décédé le 6 avril dernier à l’âge de 77 ans, lors de ses obsèques ouvertes au public au cimetière du Père-Lachaise à Paris.
Marine Le Pen est revenue sur l'entretien d’Emmanuel Macron sur TF1. Elle a notamment réagi à ses propos au sujet de la Syrie. La présidente du Front national estime que le chef de l’État "n’est pas prudent". "Donald Trump a indiqué lui-même qu’il n’avait pas les preuves de la culpabilité du régime de Bashar al-Assad", a-t-elle notamment déclaré.
"La forme est douce mais le fond est terrifiant", a déclaré ce jeudi sur BFMTV la présidente du Front national, Marine Le Pen à propos de l’interview accordée par le président de la République Emmanuel Macron à TF1.
"On a vu un président de la République avec un air de premier communiant nous offrir un bouquet d’orties", a déclaré ce jeudi sur BFMTV la président du Front national, Marine Le Pen après l’interview accordée par le président de la République Emmanuel Macron à TF1.
NDDL: "Ça peut mal se terminer et là le gouvernement sera le seul responsable", regrette Coquerel
Éric Coquerel est revenu sur l'entretien d'Emmanuel Macron avec Jean-Pierre Pernaud. Le député de la France insoumise estime que sur la forme, le chef de l'Etat "n'a pas été performant".
Le tout fraichement élu président du Parti socialiste a vu dans l'intervention d'Emmanuel Macron au JT de 13h de TF1 un président "lui-même enfermé dans ses certitudes". Selon lui, l'argumentaire du président était loin de représenter "la réalité de sa politique", a-t-il réagit ce jeudi au micro de BFMTV.
