La commission des Lois a choisi de confier le rôle de rapporteur du projet de loi organique concernant le corps électoral pour le référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie à l'ex-Premier ministre, Manuel Valls.
Gilles Simeoni a réagi au discours tenu par Emmanuel Macron à Bastia, ce mercredi. Le président du conseil exécutif de Corse a fait part de sa déception et a dénoncé un discours "très en-deçà des attentes et des enjeux". En effet, le chef de l'État a rejeté la plupart des exigences formulées par les nationalistes, à l'exception de l'inscription de la spécificité du statut de la Corse dans la Constitution. Gilles Simeoni considère ainsi que c’est "une occasion manquée".
Le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire, lors des questions au gouvernement ce mercredi à l'Assemblée, a confondu Christophe Colomb et le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb. Il s'est rattrapé en reconnaissant à Gérad Collomb "la lucidité d'avoir découvert le nouveau monde", faisant référence à La République en marche.
La maire de Paris Anne Hidalgo est revenue, ce mercredi sur BFMTV, sur les conséquences en Ile-de-France de l'épisode neigeux qui a touché la région mardi. "Les 700 kilomètres de bouchons, ça ce n'était pas normal. Le fait qu'un certain nombre de personnes aient été piégées dans leur voiture à l'extérieur de Paris (…) là, il y a un problème", a estimé l'élue socialiste.
Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni ont fait part de leur déception, après le discours très ferme d'Emmanuel Macron à Bastia ce mercredi.
A Bastia, le chef de l'Etat a adopté une posture de fermeté et rejeté la plupart des exigences formulées par les nationalistes corses.
Emmanuel Macron s'est prononcé ce mercredi à Bastia contre la "coofficialité" de la langue corse. "Le bilinguisme, ce n'est pas la coofficialité", a déclaré le chef de l'État, prévenant qu'il n'accepterait "jamais de réserver à celui qui parle corse tel ou tel emploi". Le président de la République est en revanche favorable au bilinguisme et estime qu’il est indispensable que celui-ci soit "reconnu". Selon lui, il est une "ouverture" et un "enrichissement".
Le président de la République a affirmé ce mercredi, lors de son discours à Bastia, avoir “entendu” chez les Corses “l’expression d’un besoin légitime de reconnaissance” de l’île par la République, et “la volonté d’un ancrage fort dans le texte constitutionnel”. “Pour toutes ces raisons, a-t-il poursuivi, je vous annonce solennellement aujourd’hui que je suis favorable à ce que la Corse soit mentionnée dans la Constitution”. Des dispositions dans ce sens devraient être proposées dans le projet constitutionnel qui sera soumis au Parlement au printemps.
Au second jour de sa visite en Corse, Emmanuel Macron s’est exprimé lors d’un discours, ce mercredi. Le président de la République a longuement évoqué l’identité de la Corse en insistant notamment sur la langue corse. Pour lui, elle est "présente dans le cœur des Corses, dans leur mémoire, dans leur vie quotidienne", a déclaré le chef de l’État. "Elle doit bien entendu être préservée", a-t-il poursuivi.
A Bastia, le président de la République a donné un discours de fermeté, marqué par une seule annonce favorable.
Emmanuel Macron a abordé, lors de son discours très attendu à Bastia, la question du logement, qu’il a qualifié de “problème endémique” et d’”enjeu majeur”. Le président de la République a estimé que "la mise en oeuvre d'un statut de résident" en Corse, une exigence des élus nationalistes, n'était "pas la bonne réponse" aux problèmes immobiliers sur l'île." Aujourd'hui, quand les prix montent et que les terrains sont vendus, ce sont rarement des gens qui ne sont pas corses qui en bénéficient", a-t-il déclaré, avant de s’engager à "favoriser la construction de logements" et à "simplifier les règles d'urbanisme", face à des "contraintes parfois exorbitantes" liées à la spécificité géographique de l'île.
Au second jour de sa visite en Corse, Emmanuel Macron a dévoilé ce mercredi sa stratégie pour l'avenir de l'île depuis Bastia. Le président de la République a notamment évoqué les violences sur l'île. "Cette violence qu'elle soit d'inspiration terroriste ou de droit commun n'est pas bonne pour la Corse et doit totalement disparaître", a déclaré le chef de l’État.
Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a assuré ce mercredi ne pas vouloir "acheter beaucoup de matériel, qu'on utilise une fois tous les trois ans". "Lorsque vous êtes au Canada, il tombe 60 centimètres de neige et ça roule, parce qu'ils ont investi des milliards et des milliards", s'est-il justifié, ajoutant qu'il "faut faire des choix". "Nous les faisons plus ou moins", a-t-il conclu.
Nicolas Sarkozy est vexé que Laurent Wauquiez ne lui demande pas conseil.
Gérard Collomb assume de ne pas dépenser plus pour l'arsenal de déneigement.
Jean-Marie Le Pen s'est rendu samedi au cabaret parisien "Chez Michou", avant de comparaître ce mercredi pour "provocation à la haine et injure publique envers les homosexuels".
Emmanuel Macron accomplit en ce moment un déplacement de deux jours sur l'Île de Beauté. Et le nouveau sondage Elabe "L'Opinion en direct" que nous publions ce mercredi matin a interrogé les Français sur les thématiques soulevées par l'actualité corse. L'opposition des Français à l'idée de l'indépendance de la Corse est très large.
Selon Jean-Yves Le Drian, une "petite centaine" de jihadistes français ont été arrêtés par les forces kurdes en Syrie.
Alors que les chutes de neige ont entraîné un véritable chaos sur les routes d'Île-de-France depuis mardi soir, la question de l'anticipation de cette crise météorologique par les pouvoirs publics est posée.
Nathalie Kosciusko-Morizet, ancienne ministre, va travailler pour Capgemini, à New York. Elle s'y occupera de cybersécurité dans les entreprises. Elle en a fait l'annonce ce mardi.
Emmanuel Macron est actuellement en Corse. Alors que les réclamations des nationalistes corses sont désormais incontournables dans le débat public, elles n'ont pas toujours suscité les mêmes réactions des chefs de l'Etat sous la Ve République.
"Mon fils n'a pas vu son père depuis un an et demi", la femme d'Yvan Colonna interpelle Emmanuel Macron
Brune Poirson, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, a commenté ce mardi sur BFMTV l'épisode neigeux qui touche la France. <div>La SNCF a annoncé mardi avoir réduit la vitesse de ses trains sur une partie de son réseau en raison de la neige, occasionnant de légers retards, tandis que la LGV Atlantique subissait quelques perturbations. "S'il y a du retard, en ce moment des trains, c'est un retard fait sciemment. Nous le faisons volontairement, parce que dans des situations de grand froid, le verglas et la glace s'accumulent sous les trains et si vous roulez trop vite, cela peut être extrêmement dangereux", a expliqué la membre du gouvernement. </div><div><br></div>
D'après l'épouse du berger corse incarcéré pour le meurtre de préfet Claude Erignac, il n'a pas vu son fils depuis un an et demi.
La députée La République en marche du Gard Annie Chapelier, à l'occasion de la journée internationale de la tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines, a interpellé la ministre de la Santé Agnès Buzyn au sujet de l'excision. Elle a notamment avancé que "près de 60.000 femmes vivent excisées" en France.
"Nous attendons qu'Emmanuel Macron ouvre la voie à des négociations constructives", lance le président de l'Assemblée de Corse
Les retards dus aux intempéries à la SNCF de ces derniers jours ont agacé plusieurs hommes politiques qui l'ont fait savoir sur leur compte twitter comme Alain Juppé. Le député socialiste Stéphane Le Foll a exprimé son agacement sur BFMTV ce mardi en faisant part d'un retard sur un TGV entre Rennes et Paris. "On est restés coincés 3 heures 50 dans le TGV. Je ne crois pas que ce soit le froid et la neige. Je pense qu'il y a d'autres facteurs. Cela fait quelques années qu'on a des retards beaucoup plus importants et réguliers que ce qu'on avait avant qui étaient extrêmement ponctuels. Il y a quelque chose qui s'est passé", a déploré l'élu socialiste.
Après avoir annoncé son intention de sanctionner l'absentéisme des députés à l'Assemblée, François de Rugy doit maintenant faire face aux critiques des partis politiques.
Vingt ans jour pour jour après l'assassinat du préfet Claude Erignac à Ajaccio, Emmanuel Macron est en Corse pour la première fois depuis son élection, ce mardi. Le président de la République a inauguré la place Claude-Erignac et a rendu hommage au préfet par un discours. "La Corse a été salie par ce crime", a-t-il notamment déclaré. À l’issue de sa rencontre avec la veuve de Claude Erignac, le chef de l’Etat français s’est rendu à la mairie d’Ajaccio et en a profité pour saluer les personnes venues à sa rencontre. "L’histoire de la Corse est dans la République", a déclaré le chef de l'Etat à BFMTV. (L'oeuvre "1 homme, 1 place" érigée à la mémoire du préfet Claude Erignac est réalisée par Emmanuel Saulnier et de Sébastien Gschwind).
Le 6 février 1998, il y a 20 ans jour pour jour, le préfet de Corse Claude Érignac était assassiné en pleine rue par des indépendantistes. Ce mardi, pour une cérémonie d’hommage en présence du président de la République Emmanuel Macron, sa veuve Dominique Érignac est revenue pour la première fois sur les lieux du drame. La place où se sont déroulés les faits portera désormais le nom de son défunt époux. Lors d'un discours, elle a expliqué son choix : “Cette place que nous inaugurons est un lieu de paix et de fraternité, je l’ai voulu ainsi.” (L'oeuvre "1 homme, 1 place" érigée à la mémoire du préfet Claude Erignac est réalisée par Emmanuel Saulnier et de Sébastien Gschwind).
La ministre de la Santé Agnès Buzyn, interpellée sur le taux élevé de suicide chez les jeunes en France, a affirmé que les actions de prévention "doivent être interministérielles". Elle prône notamment un "meilleur repérage des jeunes en difficulté, […] dans leur environnement éducatif." En France, près de 3% des jeunes de 17 ans ont déclaré avoir déjà fait une tentative de suicide, selon l'Observatoire national du suicide (ONS).
La neige et le froid ont entraîné des retards de trains, en particulier ceux au départ ou à l'arrivée de Paris. Des retards qui ont énervé plusieurs personnalités politiques. Le député PS Stéphane Le Foll jette notamment la faute sur la SNCF.
Accusé par un conseiller municipal de commentaires injurieux sur sa page Facebook, Steeve Briois le secrétaire général du Front National se voit privé de son immunité parlementaire européenne.
La République en marche cherche à se constituer une véritable force militante et un ancrage local en vue des élections municipales de 2020.
Lors de l'hommage au préfet Claude Érignac ce mardi, le président de la République a exclu l'idée d'une amnistie des responsables de l'assassinat, réclamée par les élus nationalistes.
L'assassinat du préfet Claude Erignac, commis à Ajaccio par un commando nationaliste il y a vingt ans jour pour jour, "ne se justifie pas, ne se plaide pas, ne s'explique pas", a déclaré ce mardi à Ajaccio Emmanuel Macron lors d'une cérémonie d'hommage. (L'oeuvre "1 homme, 1 place" érigée à la mémoire du préfet Claude Erignac est réalisée par Emmanuel Saulnier et de Sébastien Gschwind).
L'assassinat du préfet Claude Erignac, commis à Ajaccio par un commando nationaliste il y a vingt ans jour pour jour, "ne se justifie pas, ne se plaide pas, ne s'explique pas", a déclaré mardi à Ajaccio Emmanuel Macron lors d'une cérémonie d'hommage. "La Corse, terre de fierté et de dignité, a été salie par ce crime", a ajouté le chef de l'Etat, qui s'est exprimé après une allocution de Dominique Erignac, la veuve du préfet, et en présence notamment du dirigeant autonomiste de l'exécutif corse Gilles Simeoni. (L'oeuvre "1 homme, 1 place" érigée à la mémoire du préfet Claude Erignac est réalisée par Emmanuel Saulnier et de Sébastien Gschwind).
À Ajaccio, Emmanuel Macron inaugure la place Claude Érignac aux côtés de la famille du préfet assassiné. (L'oeuvre "1 homme, 1 place" érigée à la mémoire du préfet Claude Erignac est réalisée par Emmanuel Saulnier et de Sébastien Gschwind).
À Ajaccio, Emmanuel Macron observe une minute de silence en hommage au préfet Érignac, 20 ans après son assassinat. (L'oeuvre "1 homme, 1 place" érigée à la mémoire du préfet Claude Erignac est réalisée par Emmanuel Saulnier et de Sébastien Gschwind).
Dominique Érignac revient pour la première fois sur les lieux de l'assassinat de son mari, à l'occasion de l'hommage rendu au préfet ce mardi 20 ans après sa mort.
Guillaume Peltier estime que la justice sociale est la "faille" d'Emmanuel Macron et attaque l'exécutif sur la question sensible du pouvoir d'achat.
Les Républicains pourraient vendre leur siège de la rue de Vaugirard pour éponger leurs dettes.
Le vice-président des Républicains est revenu ce mardi sur les victoires à Belfort et dans le Val-d'Oise des députés LR aux législatives partielles. "Nous avons montré que nous étions la première force d'opposition à la politique d'Emmanuel Macron", a-t-il affirmé sur BFMTV et RMC.
Jean-Jacques Bourdin reçoit Guillaume Peltier, député de Loir-et-Cher & vice-président du groupe Les Républicains.
C’était le 6 février 1998, il y a 20 ans. Claude Erignac, préfet de Corse, était assassiné à Ajaccio. Peu avant 21h, le préfet accompagne son épouse au théâtre du Kalliste. Claude Érignac gare sa voiture et rejoint le théâtre à pied. À 21h05, deux hommes surgissent et l'abattent de trois balles, avant de s’enfuir. L’enquête se concentrera vite sur un réseau indépendantiste corse et débouchera sur plusieurs procès, dont celui d’Yvan Colonna, un berger corse condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.
Christophe Barbier a réagi ce mardi matin aux propos de Sylvain Maillard, député LaREM, sur le fait que certains sans-abri dormaient dehors "par choix". "C'est choquant d'entendre ça", a estimé l'éditorialiste politique de BFMTV.
Emmanuel Macron est attendu en Corse ce mardi. Hier, des lycéens ont bloqué leurs établissements, certains ont même manifesté dans les rues d’Ajaccio pour demander plus d’autonomie. Pourtant, en juin 2017, peu de jeunes ont voté aux élections législatives et la majorité se disent non-politisés. Mais les étudiants corses soutiennent les mesures d’autonomie, comme la co-officialité de la langue. Interrogés par BFMTV, ils sont nombreux à envisager un avenir en Corse uniquement.
Il y a 20 ans jour pour jour, Claude Érignac était assassiné par un commando de nationalistes corses. Ce mardi, Emmanuel Macron rend hommage au préfet à Ajaccio.
