Sébastien C. est jugé à partir de ce vendredi par la cour d'assises de Rennes pour avoir violé et agressé sexuellement 27 enfants âgés entre 3 et 12 ans. L'accusé a reconnu les faits lors de l'instruction.
La conductrice du car jugée depuis lundi pour "homicide involontaire" a été hospitalisée en service de cardiologie. jeudi, elle a réaffirmé que les barrières étaient fermées lorsqu'elle s'est engagé sur le passage à niveau.
Sur les 2000 parties civiles constituées, 300 ont exprimé le souhait de s'exprimer à la barre. Cinq semaines vont être consacrées à leurs récits.
Au premier jour de son procès, la conductrice du car qui a été percuté par un train à hauteur d'un passage à niveau à Millas en décembre 2017 a nié avoir forcé la barrière de sécurité.
Au premier jour du procès de la collision de Millas, la conductrice du car a assuré n'avoir commis aucune imprudence. Six collégiens sont morts lors de l'accident.
15 enfants et adolescents ont été tués lors de l'attentat de Nice le 14 juillet 2016. Des centaines d'autres ont été victimes ou témoins de l'attaque. Nombreux d'entre eux souffrent de stress post-traumatique.
Ce mercredi, la cour s'est penchée sur la délicate question des autopsies et des prélèvements d'organes pratiqués sur certaines victimes.
La diffusion de ces images a été décidée ce mercredi par le président de la cour d'assises spéciale Laurent Raviot.
Le policier de la sous-direction antiterroriste chargé d'exploiter les images des caméras de vidéosurveillance prises le soir du 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais, était appelé à la barre vendredi pour livrer son témoignage.
La diffusion des quatre minutes qui montre la course meurtrière de Mohamed Lahaoueij-Bouhlel est prévue vendredi.
La question de la recevabilité de la consitution des parties civiles a été soulevée à l'ouverture du procès de l'attentat de Nice. Des victimes avaient été écartées de la procédure, l'instruction ne considérant pas qu'elles ont subi un dommage direct ou indirect causé par l'attaque.
Sept hommes et une femme sont jugés à partir de ce lundi par la cour d'assises spéciale. Ils sont accusés d'avoir apporté une aide au terroriste qui a tué 86 personnes le 14 juillet 2016 à Nice.
Le procès de huit personnes soupçonnées d'avoir apporté une aide au terroriste qui a tué 86 personnes le 14 juillet 2016 à Nice s'ouvre ce lundi. Mais l'enquête n'a pas pu formellement démontrer qu'elles avaient connaissance du projet d'attentat.
Le 14 juillet 2016, Mohamed Lahouaiej Bouhlel fonçait sur la foule réunie sur la promenade des Anglais à Nice au volant d'un camion de 19 tonnes loué quelques jours auparavant. Un attentat commis par un homme fasciné par la violence qui s'est radicalisé en quelques mois.
