Manon Aubry, eurodéputée LFI-Nupes, est l'invitée du Live ce mardi.
L'avocat d'Hedi, ce jeune homme qui accuse des policiers marseillais de l'avoir passé à tabac début juillet, s'indigne lui-aussi des propos du patron de la police.
Éric Dupond-Moretti, le ministre de la Justice, s'exprime suite aux propos du directeur général de la police nationale Frédéric Veaux. Il avait déclenché une polémique en déclarant dimanche "qu'avant un éventuel procès, un policier n'a pas sa place en prison".
Nelly Bertrand, Secrétaire générale du Syndicat de la Magistrature, est l'invité du Live ce mardi pour réagir aux propos de Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale. Il avait déclaré dimanche dans les colonnes du Parisien "qu'avant un éventuel procès, un policier n'a pas sa place en prison".
En marge des émeutes au début du mois de juillet, un homme de 22 ans, Hedy, accuse plusieurs policiers de l'avoir roué de coups et de l'avoir visé au flashball. Son avocat, Me Jacques Preziosi, s'exprime sur BFMTV.
Jacques Preziosi, l'avocat du jeune Hedi blessé à Marseille lors des émeutes urbaines, s'exprime sur BFMTV ce mardi. Quatre policiers sont mis en examen dans cette affaire.
À Marseille, en marge des émeutes, un jeune homme accuse plusieurs policiers de l'avoir visé au flashball et de l'avoir roué de coups. Son avocat, Me Jacques Prezosi, affirme que "ce n'est pas le rôle des policiers d'applaudir quelqu'un qui rentre en prison".
Quatre policiers ont été mis en examen pour avoir violemment frappé Hedi, un jeune homme de 21 ans à Marseille lors des émeutes urbaines. Jacques Preziosi, l'avocat du jeune Hedi donne des nouvelles de son client. Il avait été hospitalisé dans la nuit du 1er au 2 juillet, notamment après avoir reçu un tir de LBD dans la tempe.
Maître Jacques Preziosi, avocat d'Hedi, jeune homme accusant des policiers de l'avoir passé à tabac lors des émeutes à Marseille, était en direct sur BFMTV ce mardi matin.
Après des semaines de procès, durant lesquelles l'acteur a nié les accusations de quatre hommes, le jury s'est retiré pour délibérer.
La fronde des policiers continue et s'étend. Les fonctionnaires protestent contre la détention d'un policier marseillais accusé de violences sur un homme lors des émeutes. Beaucoup se mettent en arrêt maladie pour faire entendre leur colère.
Après l'incarcération d'un policier de la BAC de Marseille suite à sa mise en examen pour des violences commises lors des émeutes urbaines, des policiers se sont mis en arrêt maladie dans des commissariats marseillais pour exprimer leur opposition à cette décision de justice.
Après Marseille, Nice. La fronde des policiers s'étend. Les fonctionnaires protestent contre la détention d'un policier marseillais accusé de violences sur un homme lors des émeutes. Beaucoup se mettent en arrêt maladie pour faire entendre leur colère.
Au lendemain du soutien apporté par le directeur général de la police nationale à l'agent de police placé en détention provisoire pour des faits remontant aux émeutes du début du mois à Marseille, de plus en plus de commissariats fonctionnent au ralenti.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Soupçonnés d'avoir roué de coups un jeune homme en marge des émeutes début juillet dans la deuxième ville de France, quatre fonctionnaires de la brigade anticriminalité ont été mis en examen dans la nuit de jeudi à vendredi. L'un d'eux a été placé en détention provisoire, une décision qui a suscité la colère des syndicats et un mouvement de protestation au sein des commissariats marseillais notamment. Le directeur de la police nationale a déclaré, ce lundi, dans le Parisien, qu'un policier n'avait "pas sa place en prison avant un éventuel procès".
Au lendemain du soutien apporté par le directeur général de la police nationale à l'agent de police placé en détention provisoire pour des faits remontant aux émeutes du début du mois à Marseille, des vagues de solidarité confraternelle et d'indignation des mondes politique et judiciaire se mêlent ce lundi sur fond de séparation des pouvoirs.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Soupçonnés d'avoir roué de coups un jeune homme en marge des émeutes début juillet dans la deuxième ville de France, quatre fonctionnaires de la brigade anticriminalité ont été mis en examen dans la nuit de jeudi à vendredi. L'un d'eux a été placé en détention provisoire, une décision qui a suscité la colère des syndicats et un mouvement de protestation au sein des commissariats marseillais notamment. Le directeur de la police nationale a déclaré, ce lundi, dans le Parisien, qu'un policier n'avait "pas sa place en prison avant un éventuel procès".
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Dans un communiqué de presse adressé ce lundi, l'organe indépendant a commenté la polémique lancée par le directeur général de la police nationale.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Au nom du groupe Nupes-La France Insoumise, la députée a annoncé saisir la procureure de la République, sur la base de l'article 40 du Code de procédure pénale.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le monde judiciaire a réagi avec inquiétude aux propos du directeur général de la police nationale dénonçant le placement en détention provisoire d'un policier marseillais soupçonné de violences. Magistrats et avocats dénoncent une nouvelle atteinte à l'indépendance de la justice.
Soupçonnés d'avoir roué de coups un jeune homme en marge des émeutes début juillet dans la deuxième ville de France, quatre fonctionnaires de la brigade anticriminalité ont été mis en examen dans la nuit de jeudi à vendredi. L'un d'eux a été placé en détention provisoire, une décision qui a suscité la colère des syndicats et un mouvement de protestation au sein des commissariats marseillais notamment. Le directeur de la police nationale a déclaré, ce lundi, dans le Parisien, qu'un policier n'avait "pas sa place en prison avant un éventuel procès".
Un policier de la Bac a été mis en détention provisoire pour "violences en réunion" en marge des émeutes à Marseille. Il est accusé d'avoir touché au flashball la tempe d'un homme de 22 ans et de l'avoir roué de coups.
En soutien au placement en détention provisoire d'un de leurs collègues à Marseille, des policiers ralentissent leurs actions. Dépôt de plainte, urgence... Voici les services assurés, ou non, par la police.
Dans un mouvement difficile à chiffrer, des policiers marseillais sont en arrêt maladie à la suite du placement en détention provisoire de l'un de leur collègue de la BAC. Une manière d'exprimer leur ras-le-bol, dans une profession qui n'a pas le droit de grève.
L'entourage de Gérald Darmanin a affirmé la confiance du ministre en Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale. Le patron des forces de l'ordre a dit soutenir le policier marseillais en détention provisoire mis en examen pour des faits de violence en réunion.
Un policier à Marseille a été mis en détention provisoire. Il est suspecté de "violences en réunion" sur un jeune homme de 22 ans en marge des émeutes début juillet. Pour Arthur Delaporte, député PS, "il ne défend pas un police républicaine qui bénéficie d'un régime d'impunité".
Un policier de la Bac a été mis en détention provisoire pour "violences en réunion" en marge des émeutes à Marseille. Il est accusé d'avoir touché au flashball la tempe d'un homme de 22 ans et de l'avoir roué de coups. Le chef de la police a apporté son soutien au policier et pour David Le Bars (syndicat des commissaires de police), la police "devrait avoir un soutien global de la classe politique".
Un officier de la Bac a été mis en détention provisoire après avoir été accusé de "violences en réunion". Le chef de la police a également apporté son soutien au policier, ce qui a provoqué un tollé auprès de la classe politique. Plusieurs policiers ont également soutenu leur collègue en déposant un arrête maladie. Pour Bruno Bartoccetti (SGP Police), si autant d'arrêts maladies sont posés, c'est parce que "les policiers sont fatigués physiquement et moralement".
Le chef de la police, Frédéric Veaux, a apporté son soutien au policier de Marseille soupçonné de violences sur un jeune de 22 ans en marge des émeutes. Ces propos ont suscité un tollé auprès de la classe politique et pour Me Arié Alimi, avocat au barreau de Paris, les mots de chef de la police sont "choquants" d'un point de vue juridique et institutionnel.
En marge des émeutes à Marseille, plusieurs plaintes ont été déposées contre des policiers de la Bac. Un homme de 22 ans, Eddy, a accusé plusieurs policiers de lui avoir tiré un flashball au niveau de la tempe et de l'avoir roué de coups lorsqu'il était à terre. Un des six policiers a été placé en détention provisoire. Le chef de la police, Frédéric Veaux, apporte leur soutien au policier, ainsi que se collègues, avec quelques 800 arrêts maladies déposés.
Un soutien qui ne passe pas inaperçu. Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, dit ce dimanche soir "partager" les propos du Directeur général de la police nationale (DGPN) qui, dans Le Parisien, estime qu'"avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison".
Le préfet de police de Paris dit sur Twitter partager les propos de Frédéric Veaux. Dans "Le Parisien", le patron de la police estime qu'un policier ne doit pas être placé en prison avant d'être jugé, "même s'il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail."
Le préfet de police de Paris dit sur Twitter partager les propos de Frédéric Veaux. Dans "Le Parisien", le patron de la police estime qu'un policier ne doit pas être placé en prison avant d'être jugé, "même s'il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail."
Karim Bentahar de l'association Conscience, à Marseille, réagit aux propos du chef de la Police en soutien au policier placé en détention provisoire à Marseille.
Eddy Sid, porte-parole du syndicat Unité SGP Police-FO, salue les propos du chef de la Police en soutien au policier placé en détention provisoire à Marseille.
Un des quatre policiers, mis en cause dans le passage à tabac d'un jeune homme à Marseille lors d'une nuit d'émeutes, a été placé en détention provisoire.
Le corps sans vie d'une femme a été retrouvé samedi dans le congélateur d'un appartement de Grigny (Essonne).
Une information judiciaire a été ouverte ce dimanche, notamment pour tentative d'assassinat, à la suite de l'attaque du domicile du maire de L'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne), au début du mois de juillet, a appris l'AFP auprès du parquet de Créteil.
Amine Kessaci, président de l'association Conscience Marseille, était l'invité de BFMTV ce dimanche soir pour réagir à la vague d'arrêts maladie des policiers de la cité phocéenne, en signe de soutien à leur collègue placé en détention provisoire dans l'affaire du passage à tabac d'un jeune homme.
En raison des nombreux policiers en arrêt maladie pour protester contre le placement en détention provisoire de l'un de leur collègue mis en cause dans le passage à tabac d'un jeune homme, seules les plaintes "les plus urgentes" sont acceptées dans les commissariats marseillais.
