Les deux femmes ont été découvertes ce mardi dans leurs chambres, décédées des suites de blessures à l'arme blanche.
Le père Olivier Maire a été tué lundi dans une communauté religieuse de Vendée par un homme qui y était hébergé et qui s'est lui-même rendu ensuite à la gendarmerie pour se dénoncer. Les résultats de l'autopsie de la victime ne permettent pas de déterminer la nature de l'arme du crime.
Le frère du père Olivier Maire, le prêtre retrouvé tué lundi dans les locaux de la congrégation dont il avait la responsabilité à Saint-Laurent-sur-Sèvre, en Vendée, s'est confié ce mardi à BFMTV. Il a relayé et martelé le message de fraternité qui soutenait la vocation de la victime.
Au lendemain de sa mort et des aveux de son meurtrier présumé, les hommages au prêtre Olivier Maire se multiplient ce mardi. Le père Hugues de Woillemont, secrétaire général de la Conférence des évêques de France, était l’invité de BFMTV.
Jérôme, le frère du Père Olivier Maire, témoigne auprès de BFMTV après la mort du prêtre à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée). Il confie "le choc" de cette nouvelle mais explique que sa famille "n’a pas de haine" envers le meurtrier présumé.
L'homme avait pris la fuite pendant son procès, en 2017, à l'issue duquel il avait été condamné à 13 ans de prison.
L'association représentant la famille d'une Britannique disparue en novembre dernier lors d'un séjour en France a annoncé ce mardi que le corps et les équipements de celle-ci avaient été retrouvés lundi. Les recherches de son compagnon ont été cruciales.
L'enseignante, interpellée lundi pour avoir brandi une pancarte antisémite dans une manifestation anti-pass sanitaire à Metz, sera jugée pour "provocation publique à la haine raciale" début septembre. La qualification "antisémite" a été retenue.
L'enseignante, interpellée lundi pour avoir brandi une pancarte antisémite dans une manifestation anti-pass sanitaire à Metz, sera jugée pour "provocation publique à la haine raciale" début septembre. La qualification "antisémite" a été retenue.
L'homme, suivi en psychiatrie, a menacé d'un couteau les policiers qui intervenaient à son domicile dans la nuit de lundi à mardi. Une enquête a été confiée à l'IGPN. Lors d'une conférence de presse, le parquet a détaillé le déroulement des faits.
Des tags ont été inscrits sur les locaux de l'ARS de Saint-Barthélémy et un véhicule a été dégradé.
INFO BFMTV - La politique sanitaire de l'exécutif laisse une part des Français sceptique, voire hostile. Certains adoptent même une attitude violente. Selon nos informations recueillies auprès du ministère de l'Intérieur, une vingtaine de centres de dépistage ou de vaccination ont fait l'objet de dégradations depuis la mi-juillet.
Sa garde à vue peut durer jusqu'à 48 heures.
La garde à vue de l'homme qui s'est accusé du meurtre d'un prêtre ce lundi en Vendée a été levée. L'interrogatoire était incompatible avec son état de santé, il a donc été hospitalisé en psychiatrie. Il est également suspecté d'avoir mis le feu à la cathédrale de Nantes en juillet 2020. Selon le procureur, son profil n'est pas celui d'un terroriste. Son ancien avocat, Quentin Chabert, était en direct sur BFMTV.
Éric Couderc, maire de Saint-Laurent-sur-Sèvres en Vendée était au micro de BFMTV. Il réagissait à l'assassinat du prêtre Olivier Maire survenu ce lundi.
Éric Couderc, maire de Saint-Laurent-sur-Sèvres en Vendée était au micro de BFMTV. Il réagissait à l'assassinat du prêtre Olivier Maire survenu ce lundi.
Emmanuel Abayisenga, 40 ans, s'est accusé d'avoir tué le prêtre Olivier Maire en Vendée. Il est aussi le principal suspect de l'incendie de la cathédrale de Nantes, en juillet 2020.
La garde à vue de l'homme qui s'est accusé du meurtre d'un prêtre ce lundi en Vendée a été levée. L'interrogatoire était incompatible avec son état de santé, il a donc été hospitalisé. Il est également suspecté d'avoir mis le feu à la cathédrale de Nantes en juillet 2020. Selon le procureur, son profil n'est pas celui d'un terroriste. Il souffre de graves troubles psychologiques.
La garde à vue de l'homme qui s'est accusé du meurtre d'un prêtre ce lundi en Vendée a été levée. L'interrogatoire était incompatible avec son état de santé, il a donc été hospitalisé. Selon le procureur, son profil n'est pas celui d'un terroriste mais il souffre de graves troubles psychologiques. S'il était visé par une obligation de quitter le territoire, le contrôle judiciaire en cours pour son implication dans l'incendie de la cathédrale de Nantes a empêché son expulsion.
La garde à vue de l'homme qui s'est accusé du meurtre d'un prêtre ce lundi en Vendée a été levée. L'interrogatoire était incompatible avec son état de santé, il a donc été hospitalisé. Il est également suspecté d'avoir mis le feu à la cathédrale de Nantes en juillet 2020. Selon le procureur, son profil n'est pas celui d'un terroriste. Il souffre de graves troubles psychologiques.
Deux jours après qu'une pancarte antisémite a été brandie samedi lors d'une manifestation contre le pass sanitaire à Metz, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a annoncé ce lundi sur Twitter l'interpellation de la femme qui la détenait. Elle a été placée en garde à vue.
La première journée d'extension du pass sanitaire s'est déroulée sans accroc. Une tolérance est appliquée pendant une semaine mais les forces de l'ordre ont malgré tout procédé à des contrôles.
Depuis hier, dans la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre, c'est la sidération qui règne. Le père Olivier Maire avait 60 ans. Il a été tué par un homme qui était hébergé par la communauté religieuse.
Après avoir assassiné le père Olivier Maire lundi matin, le suspect s’est rendu de lui-même à la gendarmerie pour se dénoncer. L'homme de nationalité rwandaise a été placé en garde à vue, avant d'être hospitalisé en psychiatrie quelques heures plus tard.
Le père Olivier Maire a été tué ce lundi dans une communauté religieuse de Vendée par un homme qui y était hébergé et qui s'est lui-même rendu ensuite à la gendarmerie pour se dénoncer.
Olivier Maire, père supérieur au sein de la confrérie des missionnaires montfortains à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée), a été tué ce lundi matin. Une enquête a été ouverte pour "homicide volontaire".
L'homme suspecté d'avoir assassiné le père Olivier Maire, lundi matin en Vendée, avait été placé en garde à vue après s'être rendu à la gendarmerie. Quelques heures après, il a été placé en psychiatrie.
La personne suspectée d'avoir tué un prêtre en Vendée était en garde à vue depuis ce lundi matin. Cette dernière a été levée après qu'il ait été hospitalisé en psychiatrie.
Le ministre de l'Intérieur s'est rendu à Saint-Laurent-sur-Sèvre après le meurtre du père Olivier Maire. Il a déploré l'"acte odieux" du principal suspect actuellement garde à vue.
François Jacolin, évêque de Luçon, en Vendée, côtoyait le père Olivier Maire depuis quelques années. Très ému, il décrit ce dernier comme "un homme de cœur, un homme très généreux, (...) très bienveillant".
Vincent Neymon, porte-parole de la Conférence des Évêques de France, s'est exprimé au sujet de l'assassinat du père Olivier Maire, en Vendée, ce lundi matin. "Nous avons une immense tristesse, pour nous l'heure est à la sidération", a-t-il déclaré.
Éric Ciotti, député Les Républicains des Alpes-Maritimes, s'est exprimé sur l'assassinat du père Olivier Maire. Le suspect, placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020, avait reçu l'obligation de quitter le territoire. Il doit avant cela attendre son procès.
Une enquête du chef d'"homicide involontaire" a été ouverte après le meurtre, ce lundi, d'un prêtre en Vendée. Elle a été confiée à la section de recherches de Nantes et à la brigade de recherche de la gendarmerie de La-Roche-sur-Yon.
L'enquête a été confiée à la section de recherches de Nantes ainsi qu'à la brigade de recherches de la gendarmerie de La Roche-sur-Yon.
Le vice-procureur de La Roche-sur-Yon a donné une conférence de presse suite à l'assassinat du père Olivier Maire, ce lundi matin en Vendée. Il confirme que la piste terroriste n'est pour le moment pas privilégiée.
L'homme qui s'est rendu ce lundi matin aux gendarmes en affirmant avoir tué un prêtre à Saint-Laurent-Sur-Sèvre (Vendée) est celui soupçonné d'avoir incendié la cathédrale de Nantes en juillet 2020.
Une enquête a été ouverte pour homicide volontaire après le meurtre du prêtre Olivier Maire. Elle a été confiée par le Parquet de La Roche-sur-Yon à la section de recherches de Nantes ainsi qu'à la brigade de recherches de la gendarmerie de La Roche-sur-Yon.
L'accident s'est déroulé dimanche 1er août à Vélizy. La police tente de retrouver le conducteur de la camionnette qui a quitté les lieux sans s'identifier.
Nombreuses sont les personnalités de la droite et de l'extrême droite à dénoncer ce lundi la situation judiciaire de l'homme suspecté d'avoir tué un prêtre qui l'hébergeait en Vendée.
Le Rwandais qui a avoué le meurtre d'un prêtre ce lundi était visé par une obligation de quitter le territoire. Mais la procédure judiciaire dans laquelle il était déjà impliqué pour un incendie empêchait temporairement son expulsion.
Le corps de l'homme a été retrouvé dimanche par les usagers de la gare SNCF des Arcs-Draguignan, sur la commune des Arcs, dans le Var.
Une femme de 33 ans a été retrouvée morte à son domicile en Picardie. Son compagnon a été placé en garde à vue. Des vérifications sont en cours pour déterminer les causes du décès.
L'homme qui s'accuse du meurtre d'un prêtre, ce lundi à Saint-Laurent-sur-Sèvre en Vendée, est impliqué dans une autre affaire criminelle. En juillet 2020, il a avoué avoir incendié la cathédrale de Nantes. A cette époque, il opérait en tant que bénévole dans le diocèse et était chargé de fermer le bâtiment le soir.
Dans la nuit de samedi à dimanche, un homme a foncé sur les clients d'une boîte de nuit, faisant un blessé léger. Ses motivations sont encore inconnues.
Père Santino Brembilla, supérieur général des Pères montfortains, exprime son émotion après l'assassinat d'un prêtre en Vendée, qui était son supérieur provincial et ami.
L'homme qui s'est rendu au commissariat pour déclarer avoir commis le meurtre d'un prêtre en Vendée ce lundi matin était placé sous contrôle judiciaire. En juillet 2020, il avait avoué avoir mis le feu à la cathédrale de Nantes et est aujourd'hui dans l'attente de son procès.
La veuve de la victime avait dénoncé les faits en février 2019 au parquet de Paris, qui avait ouvert une enquête.
En juillet 2020, ce sacristain bénévole avait avoué avoir incendié la cathédrale nantaise. Depuis, il était sous contrôle judiciaire et hébergé par la communauté des Montfortains, présidée par le prêtre assassiné ce lundi.
Le parquet de Metz a annoncé dimanche l'ouverture d'une enquête après le brandissement d'une pancarte antisémite lors d'une manifestation anti-pass sanitaire. Plusieurs associations ont porté plainte, tandis que la manifestante a été interpellée.
L'homme qui s'est accusé d'avoir assassiné un prêtre est suspecté d'être l'auteur de l'incendie de la cathédrale de Nantes, le 18 juillet 2020. Il avait à l'époque été interpellé, mis en examen, incarcéré plusieurs mois puis remis en liberté sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès.
