L'avocat des grands-parents paternels de Mia, maître Guillaume Fort, était ce dimanche invité d'Affaire suivante sur BFMTV, après que la petite fille a été retrouvée dans la matinée dans un squat à Sainte-Croix en Suisse. Il a fait part du "soulagement" de ses clients. "La découverte de Mia met fin pour eux à des jours et des nuits d'angoisse et de crainte pour la vie de l'enfant", a-t-il déclaré.
La petite Mia a été retrouvée ce dimanche matin en Suisse, et sa mère interpellée lors d'une opération de police menée dans une usine désaffectée. Le maire de la commune des Poulières, d'où est originaire Mia, s'est dit "heureux d'avoir appris la nouvelle".
L'homme de 19 ans avait été condamné à une peine de prison de 4 mois fermes par le tribunal correctionnel de Strasbourg pour discrimination fondée sur la religion.
Le ministre de la Justice félicite les forces de l'ordre françaises et les services mobilisés en Suisse, où Mia a été retrouvée avec sa mère ce dimanche matin.
La petite Mia a été retrouvée ce dimanche matin, en Suisse, et sa mère a été interpellée par la police suisse. Des témoins, habitant à proximité de l'usine désaffectée où étaient cachées l'enfant et sa mère, ont raconté ce qu'ils ont vu et entendu.
La jeune Mia, qui avait été enlevée par sa mère, a été retrouvée ce dimanche en Suisse, aux alentours de 10h45. Elle était avec sa mère dans une usine désaffectée transformée en squat à Sainte-Croix, non loin de la frontière avec la France. La petite fille va être remise à sa grand-mère.
La jeune Mia, qui avait été enlevée par sa mère, a été retrouvée ce dimanche en Suisse. Elle était avec sa mère dans un squat, à Sainte-Croix, non loin de la frontière avec la France. La petite fille va être remise à sa grand-mère.
Le procureur de la République de Nancy a souligné ce dimanche que la mère de famille de 28 ans avait été placée en garde à vue par les autorités suisses.
La cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel dans la nuit de samedi à dimanche cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion pour la violente agression de policiers à Viry-Châtillon, dans l'Essonne, en 2016, et en a acquitté huit autres.
Maître Laurent-Franck Lienard, avocat de deux des quatre policiers violemment agressés à Viry-Châtillon en 2016, a réagi ce dimanche sur BFMTV au verdict rendu samedi soir par la cour d'assises des mineurs de Paris.
Le maire centriste de Viry-Châtillon a réagi ce dimanche sur BFMTV au verdict rendu samedi soir par la cour d'assises des mineurs de Paris sur l'affaire des policiers brûlés en 2016 dans l'Essonne.
Toutes deux ont été retrouvées dans un squat dans la commune de Sainte-Croix, dans le canton de Vaud.
Quatre hommes et une femme ont été déférés au parquet en vue de l'ouverture d'une information judiciaire pour homicide volontaire.
Une enquête a été confiée à la police judiciaire.
Envoyées sur le terrain pour stopper des individus en train de caillasser des véhicules sur la voie publique, les forces de l'ordre ont été prises à partie par une trentaine de jeunes.
La cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion pour la violente agression de policiers à Viry-Châtillon en 2016, et en a acquitté huit autres.
Au total, cinq personnes seront présentées ce dimanche à un juge d'instruction de Nancy.
Après six longues et éprouvantes semaines d'audience à huis clos, le verdict dans le procès en appel des 13 jeunes accusés d'avoir attaqué et brûlé avec des cocktails Molotov des policiers à Viry-Châtillon en 2016 a été rendu samedi soir à Paris.
Jean-Bernard Fourtillan, qui est intervenu dans le documentaire controversé "Hold-Up", avait été interpellé ce jeudi dans le cadre d’une enquête sur des essais cliniques illégaux.
Cette nouvelle saisine vise le vice-procureur Patrice Amar, "sous les qualifications de manquements aux obligations déontologiques de loyauté, de prudence, de délicatesse et d'impartialité".
Devant notre caméra, Claude Montemaggi a une nouvelle fois apporté clairement son soutien à sa fille Lola Montemaggi. Cette dernière est à l'origine de l'enlèvement de la petite Mia, sa propre enfant.
"Mia est bien avec sa mère. Mia aime sa mère et sa mère aime Mia", témoignage pour BFMTV de Claude Montemaggi, grand-père maternel de la fillette. Il a aussi tenu à apporter son soutien aux quatre gardés à vue dans l'affaire : "Je suis tout à fait solidaires avec ces gens qui ont aidé ma fille." Pour l'heure, l'enfant et sa mère sont toujours introuvables.
"Il résulte des premiers résultats de l'enquête que les gendarmes étaient susceptibles d'être en situation de légitime défense" a expliqué le procureur de la République de Nancy, François Pérain.
Samedi, un violent incendie a ravagé l'église du village de Romilly-la-Puthenaye (Eure). L'enquête est en cours mais s'oriente "vers une origine accidentelle", a indiqué la gendarmerie du département.
Des inscriptions antisémites ont également été retrouvées dans une rue du centre-ville.
La fillette et sa mère sont toujours recherchées par les autorités, tandis que quatre suspects arrivent bientôt au terme de leurs gardes à vue.
Cet étudiant, scolarisé à l'université de Lille, est mort dans l'enceinte d'une résidence universitaire sur le campus Pont-de-Bois.
Se faisant le relais d'une vidéo virale sur les réseaux sociaux, Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, assure avoir signalé la séquence à la police afin que "l'auteur soit identifié et interpellé".
Le leader de la France insoumise, et candidat au prochain scrutin national de 2022, entend contester cette décision en appel.
Lundi 19 avril à 21h dans Ligne Rouge, BFMTV diffuse une nouvelle série documentaire Dupont de Ligonnès, et s’il était en vie ? Une série exceptionnelle en trois épisodes, produits par la rédaction de BFMTV, pour permettre aux téléspectateurs de se faire leur opinion sur l’une des deux pistes: Xavier Dupont de Lignonnès s’est-il suicidé ou est-il toujours en cavale ? Dans cet extrait, des voisins du père de famille, toujours introuvable, le décrivent comme un "homme-caméléon", changeant régulièrement d'apparence.
L'incendie s'est déclaré dans la nuit de vendredi à samedi dans un appartement, au premier étage d'un immeuble.
Le syndicat Unité SGP Police 93 évoque des "tirs de mortiers" et dénonce "une nouvelle nuit de violences urbaines".
Une maison familiale est occupée depuis sept mois malgré une décision de justice qui avait ordonné l'expulsion des squatteurs.
Dans une interview à Vosges FM, le grand-père de Mia, enlevée depuis mardi, apporte son soutien à sa fille, responsable présumée du rapt de la fillette. Il renvoie la responsabilité aux services sociaux.
Les corps de trois victimes tuées par balle avaient été retrouvés calcinés dans deux voitures.
Le suspect est un voisin des deux victimes, âgées de 74 et 70 ans. Son état de santé n'était pas compatible avec une garde à vue, a fait savoir le procureur d'Auch.
Trois des quatre gardés à vue dans l'affaire de l'enlèvement de Mia assument leurs actes face aux enquêteurs. "De toutes ma vie, je n'ai jamais fait de plus belle chose, peu importe de faire de la prison pour ça", a déclaré l'un d'eux. Mais ils n'ont donné aucune information permettant la localisation de la fillette ou de la mère. Ces propos sont rapportés par Antoine Delcourt, envoyé spécial de BFMTV à Nancy.
Un homme de 56 ans, qui logeait dans un camp de gens du voyage près de Nancy, est mort ce vendredi dans des échanges de tirs avec les gendarmes du GIGN, lors d'une interpellation dans une procédure pour "violences aggravées".
Le grand-père maternel de Mia, interviewé par Vosges FM, a apporté son soutien à sa fille : "J'aimerais dire à ma fille que ce qu'elle a fait est bien, qu'elle a protégé Mia." L'enfant est toujours introuvable à l'heure actuelle.
Selon une information de BFMTV, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait eu vent d'un projet d'enlèvement sans connaître l'identité précise de l'enfant. À ce jour, la petite Mia reste introuvable.
Selon des informations de BFMTV, la DGSI avait été informée de projets d'enlèvements d'enfants dans la région d'Epinal (Vosges).
Trois jours après l'enlèvement de la jeune Mia, un quatrième homme a été mis en garde à vue. Commes les trois autres supects, ce pianiste de 58 ans est proche de la mouvance survivaliste. Il était connu des services de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Les quatre hommes font l'objet d'une enquête préliminaire pour "association de malfaiteurs terroristes".
Sensible aux thèses complotistes, Lola Montemaggi a tenté de déscolariser sa fille l'année dernière, ce qui avait suscité l'inquiétude de ses proches. Depuis janvier, elle ne répondait plus aux services sociaux.
Info BFMTV - Adhérents à une mouvance complotiste, les quatre hommes sont suspectés d'avoir envisagé des actions violentes, notamment contre des centres de vaccination.
Les suspects placés en garde à vue affirment qu'ils ont agi à la demande de la mère de l'enfant qui voulait récupérer sa fille de 8 ans dont elle n'avait plus la garde depuis janvier.
Réclamée par Jean Castex, cette enquête devait viser à établir d'éventuels manquements déontologiques de la part de Patrice Amar.
Mia a disparu depuis le 13 mars. Les autorités, qui soupçonnent sa mère d'avoir organisé l'enlèvement, n'ont toujours pas retrouvé sa trace. Selon le procureur de la République, un départ à l'étranger "n'est pas exclu".
La mère de Mia a contacté des hommes par Internet pour leur demander d'organiser l'enlèvement de sa fille, placée chez sa grand-mère maternelle.
Le procureur d'Épinal, Nicolas Heitz, s'est exprimé ce vendredi sur l'enlèvement de la jeune Mia, 8 ans, disparue depuis mardi.
Le procureur d'Épinal, Nicolas Heitz, s'est exprimé ce vendredi sur l'enlèvement de la jeune Mia, 8 ans, disparue depuis mardi.
