Dans la nuit de samedi à dimanche, la cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel 5 jeunes et acquitté 8 autres pour la violente agression de policiers à Viry-Châtillon, dans l'Essonne, en 2016.
La colère des policiers continue. Ils ont manifesté ce mardi devant des tribunaux après le verdict rendu dans le procès de l'agression de policiers à Viry-Châtillon. Un verdict trop clément, selon eux.
Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu a été interrogé par les enquêteurs dans le cadre d'une enquête menée pour des soupçons de "prise illégale d'intérêts".
"Des clients sont venus à lui sans qu'il les ait prospectés et il a reconnu avoir pris la mauvaise décision" a déclaré son avocate, qui a plaidé la relaxe pour la mise en danger de la vie d'autrui.
Une enquête a été ouverte pour "violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique", et confiée au service de déontologie de la préfecture de police.
L'avocat des grands-parents paternels de Mia, 8 ans, a raconté sur BFMTV l'enfance compliquée de la fillette, dont ses parents n'ont pas souhaité s'occuper de sa naissance à des 5 ans.
Laurent Esquenet, délégué départemental du MoDem 31 était en visioconférence sur BFMTV. Il revenait sur le parcours de Rémy Daillet-Wiedemann, soupçonné d'être lié aux ravisseurs de Mia et ancien membre du MoDem.
La grande majorité de ces places n'a pas encore été construites mais leur futur emplacement a déjà été communiqué par le ministère de la Justice. BFMTV.com fait le point.
Me Guillaume Fort, avocat des grands-parents paternels de Mia étaient en visioconférence sur BFMTV.
Dans plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, l'ancien cadre du MoDem appelle à la révolution contre "le système" en place en France et reprend largement les théories promues par le mouvement QAnon.
L'individu, figure de la mouvance complotiste d'extrême droite, est visé par un mandat d'arrêt international et aurait "joué un rôle dans l'organisation de l'enlèvement" de la petite fille.
La cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel dans la nuit de samedi à dimanche cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion pour la violente agression de policiers à Viry-Châtillon en Essonne en 2016, et en a acquitté huit autres, provoquant la colère des avocats des victimes.
Rémy Daillet-Wiedemann, figure complotiste qui serait impliquée dans l'enlèvement de Mia, appartiendrait à une des mouvances les "plus extrémistes", selon Raphaël Grably, journaliste numérique à BFM Business. Exilé en Malaisie, le gourou est visé par un mandat d'arrêt international dans l'affaire Mia.
Quatre plaintes ont été déposées par des lycéennes âgées de 16 à 18 ans. Poursuivi pour corruption de mineurs, le professeur incriminé sera jugé au mois de novembre.
Cet ancien président du MoDem en Haute-Garonne, résidant désormais en Malaisie, est soupçonné d'avoir aidé à organiser l'enlèvement de Mia, 8 ans.
Rémy Daillet, ancien président du MoDem en Haute-Garonne, aujourd'hui exilé en malaise, est soupçonné d'avoir influencé les ravisseurs de la petite Mia et d'avoir aidé à financer l'enlèvement.
Pour la présidente de la région Ile-de-France, il aurait fallu "prononcer des peines exemplaires" à l'encontre des prévenus accusés d'avoir brûlé des policiers à Viry-Châtillon. Samedi, huit des treize accusés ont été acquittés en appel.
Le tribunal correctionnel d'Amiens a relaxé ce mardi un étudiant de 19 ans qui avait décroché le portrait d'Emmanuel Macron au sein de la mairie de la ville et qui était jugé pour "vol", estimant que le motif invoqué était disproportionné compte tenu de l'action qu'il avait menée.
Interrogé par BFMTV, William Attal, le frère de Sarah Halimi assassinée en avril 2017 estime que "la responsabilité et la faute de (son) assassin sont incontestables."
Soupçonné d'avoir organisé et financé le rapt de la fillette de 8 ans, cet homme, désormais installé en Asie, réfute le terme "d'enlèvement". Un mandat d'arrêt international a été émis à son encontre.
William Attal, le frère de Sarah Halimi, témoigne de sa colère sur BFMTV. Sarah Halimi, sexagénaire, a été tuée le 4 avril 2017 à son domicile dans le quartier de Belleville à Paris. Le meurtrier a été déclaré irresponsable pénalement par la Cour de cassation la semaine dernière. Le caractère antisémite du meurtre a été retenu.
Le gourou complotiste français résidant en Malaisie est soupçonné d'avoir influencé les accusés et d'avoir financé l'enlèvement de la jeune fille.
Rémy Daillet-Wiedemann est soupçonné d'être "l'animateur" de la mouvance des ravisseurs de la petite Mia dans les Vosges mardi dernier.
INFO BFMTV. La mère de Mia, actuellement détenue en Suisse, est soupçonnée d'avoir organisé l'enlèvement de sa fille de 8 ans en début de semaine dernière dans les Vosges.
Dans des quartiers sensibles de la ville limitrophe de la Belgique, les forces de l'ordre ont essuyé des tirs de mortier. La conséquence d'une intensification de la lutte contre le trafic de drogue.
Un mandat d’arrêt international a été lancé dimanche contre Rémy Daillet-Wiedemann, figure de la sphère complotiste, réfugié en Malaisie. Le quinquagénaire, ex-homme politique encarté au Modem, est soupçonné d’avoir influencé les ravisseurs de la fillette et apparaît dans d’autres enquêtes judiciaires. Mia, la fillette de 8 ans enlevée la semaine passée dans les Vosges et retrouvée saine et sauve dimanche en Suisse, a été remise lundi à sa grand-mère qui en a la garde. La petite fille "a retrouvé sa grand-mère aujourd'hui" dans un endroit qui a été tenu secret, a précisé le patron de la gendarmerie des Vosges. La fillette avait été enlevée mardi dernier à la demande de sa mère par plusieurs hommes alors que l'enfant était hébergée chez sa grand-mère maternelle aux Poulières, un village vosgien situé à une trentaine de kilomètres d'Epinal.
Un sapeur-pompier a été violemment frappé au visage, ce lundi, dans sa caserne à Nîmes. Il souffre de plusieurs blessures et une plainte a été déposée par la caserne.
Un Français de 55 ans, exilé en Malaisie, est soupçonné d'avoir planifié et financé l'enlèvement de la petite Mia à hauteur de 3000 euros, ont fait savoir certains suspects aux enquêteurs.
De fausses pistes en fausse arrestation, la "tuerie de Nantes" reste un mystère, dix ans après la découverte des cadavres des quatre enfants et de l'épouse de Xavier Dupont de Ligonnès. Lui, demeure introuvable.
Rémy Daillet-Wiedemann, exilé en Malaisie, est soupçonné d'avoir planifié et financé l'enlèvement de la petite Mia à hauteur de 3000 euros, ont fait savoir certains suspects aux enquêteurs.
Ce dimanche, près de Toulouse, un corps a été découvert par des gendarmes dans un véhicule calciné, alors qu'ils tentaient de maîtriser les flammes qui s'en échappaient.
La petite fille "a retrouvé sa grand-mère aujourd'hui" dans un endroit qui a été tenu secret, a précisé le patron de la gendarmerie des Vosges.
Son pronostic vital est engagé. Le vice-procureur de la République de Montpellier a confirmé l'ouverture d'une enquête pour "tentative de meurtre".
Emmanuel Macron a affirmé dimanche vouloir une évolution de la loi sur l'irresponsabilité pénale. BFMTV.com revient sur l'affaire ultra-sensible à l'origine de cette annonce: le meurtre de Sarah Halimi.
Jugés vendredi pour violences aggravées sur une fonctionnaire de police, deux d'entre eux ont été condamnés à deux ans d'emprisonnement dont un an avec sursis et le troisième à 18 mois de prison dont 15 mois avec sursis.
Samedi et dimanche soir, des violences urbaines ont éclaté dans le quartier de la Croix Rouge à Tourcoing. Les forces de l'ordre ont notamment été la cible de jets de projectiles.
Les forces de l'ordre ont à nouveau été la cible de jets de projectiles dimanche soir, après une soirée déjà agitée la veille dans le quartier Croix Rouge.
Depuis qu'elle a été retrouvée dans une usine désaffectée de la commune de Sainte-Croix, située dans le canton de Vaud en Suisse, la mère de Mia, Lola, est retenue par la police Suisse. Quant à la petite Mia, la gendarmerie française est chargée de la ramener en France auprès de sa grand-mère.
Les cinq hommes qui ont aidé la mère de Mia à enlever la petite fille vont être poursuivis pour enlèvement en bande organisée. Quatre d'entre eux ont été incarcérés. D'après les enquêteurs, la mère de Mia baignait dans la mouvance complotiste et conspirationniste.
"Incompréhensible", "choquant" et "inquiétant": le verdict, plus clément qu'en première instance et rendu sous haute tension, dans le procès en appel de la violente agression de policiers à Viry-Châtillon en Essonne en 2016 a suscité dimanche l'indignation de plusieurs syndicats de policiers. "Je recevrai personnellement la semaine prochaine les policiers victimes", a tweeté le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, ajoutant que "l'émotion suscitée" par l'attaque "est encore intacte". Dans la nuit de samedi à dimanche, la cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion criminelle et en a acquitté huit autres. La lecture du verdict a été interrompue par une bagarre générale dans le box des accusés, nécessitant l'intervention d'une trentaine de policiers et gendarmes. Les heurts se sont ensuite étendus dans la salle d'audience, où étaient présentes les familles des accusés.
Après cinq jours de recherches, la petite Mia, enlevée mardi dans les Vosges, et sa maman, ont été retrouvées dimanche dans un squat en Suisse. Cinq hommes vont être poursuivis pour enlèvement en bande organisée et quatre d'entre eux ont été incarcérés.
Au total, cinq personnes ont été présentées ce dimanche à un juge d'instruction de Nancy.
Lola Montemaggi, qui a commandité l'enlèvement de sa fille, a été arrêtée en Suisse. Elle va faire l'objet d'une procédure d'extradition avec un de ses complices.
Samedi soir, cinq jeunes ont été condamnés en appel à des peines allant de 6 à 18 ans de prison, dans le cadre de l'affaire des "policiers brûlés" à Viry-Châtilon en 2016. Le maire de la ville Jean-Marie Vilan s'est dit "en colère" après le verdict, et a dénoncé une justice sans vitesse.
Les forces de l'ordre ont été "victimes de jets de bouteilles et d'un jet de cocktail Molotov" par les fêtards à leur arrivée sur place.
Le procureur de la République de Nancy, François Pérain, a décrit ce dimanche la façon dont les ravisseurs présumés de Mia ont organisé le rapt de la petite fille, retrouvée saine et sauve avec sa mère ce dimanche matin en Suisse.
Le procureur de la République de Nancy François Pérain a tenu ce dimanche une conférence de presse, quelques heures après que la petite Mia a été retrouvée. Il a assuré qu'"un mandat d'arrêt européen sera délivré à l'encontre de la mère" en vue de sa mise en examen.
Le procureur de la République de Nancy François Pérain a tenu ce dimanche une conférence de presse, quelques heures après que la petite Mia a été retrouvée. Il a détaillé les événements, et a affirmé que les ravisseurs de la petite fille "ont passé une première nuit en camping sauvage dans les Vosges"
Le procureur de la République de Nancy François Pérain a tenu ce dimanche une conférence de presse, quelques heures après que la petite Mia a été retrouvée. Il a déclaré que plusieurs suspects ont été interpellés, des personnes "inconnues de la justice". "Ils se sont rencontrés via les réseaux sociaux", a-t-il ajouté.
La petite Mia et sa mère ont été retrouvées ce dimanche matin, à 10h45, dans une usine désaffectée transformée en squat de Sainte-Croix, à la frontière suisse. La petite fille sera remise à sa grand-mère. Sa mère a elle été interpellée.
