Syrie: 17 civils tués dans des bombardements du régime au sud de Damas
Le régime syrien pilonne le sud de Damas depuis plusieurs jours pour venir à bout des dernières poches rebelles.
Le régime syrien pilonne le sud de Damas depuis plusieurs jours pour venir à bout des dernières poches rebelles.
Macron aux étudiants américains: "Nous souhaitons clairement interdire les armes chimiques" en Syrie
"Il nous faut gagner la paix", a déclaré ce mardi le président de la République française, Emmanuel Macron après son entretien avec Donald Trump.
Bachar al-Assad a devancé la volonté française de lui retirer sa Légion d'honneur. La distinction a été rendue.
"Le résultat est parfait", a déclaré ce jeudi sur BFMTV à Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, après les frappes françaises en Syrie du 14 avril.
Dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 avril, une coalition rassemblant la France, le Royaume-Uni et les États-Unis ont frappé la Syrie. L'objectif était de réagir aux attaques chimiques présumées, lancées par le gouvernement syrien, contre les civils de la Ghoutta orientale. Les frappes visaient les sites stratégiques en Syrie de production d'arme chimique.
Aux commandes de son Rafale, il est intervenu samedi en Syrie dans le cadre de l'opération Hamilton, pour détruire des objectifs du régime de Bachar al-Assad. BFMTV a pu rencontrer un pilote français qui a participé aux frappes menées conjointement par la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni.
Critiqué pour avoir contribué avec les Américains et les Britanniques aux frappes en Syrie, Emmanuel Macron a laissé éclater sa colère ce mardi matin au Parlement européen. "Les mêmes, les mêmes qui à chaque fois s'indignent devant les images que nous avons vu, d'enfants, de femmes, morts d'attaques de chlore, les mêmes, restons-nous assis? Défendons nous des droits en disant 'les droits c'est pour nous, les principes c'est pour nous, la réalité c'est pour les autres'? Non, non!", a-t-il tranché.
Israël, comme les Etats-Unis avaient démenti avoir lancé des missiles contre la base d'Al-Chaayrate. Après avoir annoncé de telles frappes, les médias officiels syriens évoquent une "fausse alerte".
Après les frappes militaires déclenchées en Syrie par les alliés occidentaux, il y a un autre moyen - plus symbolique - de punir Bachar al-Assad: lui retirer sa Légion d'honneur. Le président syrien est plus précisément grand-croix, soit la plus haute distinction possible de cet ordre créé par Napoléon. Cette décoration lui avait été remise en 2001 des mains de Jacques Chirac, alors président de la République, qui pensait alors que le fils serait plus ouvert aux idées démocratiques que son père Hafez. L’Elysée a confirmé ce lundi soir qu’une procédure était en cours pour retirer la Légion d’honneur au président syrien.
Le Premier ministre a régit face au Parlement aux frappes en Syrie qui sont intervenues dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 avril à l'initiative conjointe de la France, du Royaume-Uni et des Etats-Unis. Les frappes ont été conduites en riposte des attaques chimiques menées par le pouvoir syrien de Bachar al-Assad contre les civils de la ghouta orientale au début du mois.
Dans la nuit du vendredii 13 au samedi 14 avril, une coalition réunissant la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis a frappé la Syrie en réponse aux attaques chimiques qui auraient été menées par le régime de Bachar al-Assad contre les civils de la Ghouta orientale. Alors que les parlementaires débattent depuis ce lundi 16 avril, le Président justifie des frappes qu'il juge "légitimes".
Les enquêteurs de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques doivent arriver ce dimanche dans l'ex-ville rebelle de Douma, près de Damas, pour enquêter sur l'attaque chimique présumée qui a déclenché des frappes occidentales contre le régime.
Geoffroy Didier, secrétaire national délégué des Républicains, est l'invité de BFMTV. Il s'est exprimé sur la situation en Syrie et les frappes de la coalition.
Quatre heures après leurs frappes aériennes en Syrie, la France, les États-Unis et le Royaume-Uni ont remis à leurs douze partenaires du Conseil de sécurité un projet de résolution sur la Syrie à plusieurs facettes - chimique, humanitaire et politique. Il prévoit notamment d’instaurer un mécanisme d’enquête sur l’emploi d’armes chimiques et réclame l’instauration durable d’un cessez-le-feu. Les négociations sur le texte, rédigé par Paris, doivent débuter dès lundi.
Un projet de résolution sur la Syrie a été remis par la France, les États-Unis et le Royaume-Uni samedi. Ce dernier prévoit de créer un mécanisme indépendant" d'enquête et d'attribution des responsabilités "basé sur des principes d'impartialité et de professionnalisme".
La ministre des Armées Florence Parly s’est exprimée ce samedi à l’issue du conseil de défense, après les frappes occidentales en Syrie, aux côtés du chef d’état-major des armées François Lecointre. “Une opération militaire conjointe avec nos alliés américain et britannique a visé un centre de recherche et des sites de production et de stockage du programme chimique clandestin du régime syrien, a-t-elle déclaré. L’opération s'est terminée ce matin. Tous les avions se sont posés.” Et de conclure: “Compte tenu des informations dont nous disposons, je peux affirmer que la mission est un succès”.
Dans le ciel de Damas, la défense anti-aérienne syrienne est en action pour contrer les frappes occidentales. Car après plusieurs jours d’atermoiement, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont décidé de faire usage de la force sur le régime de Bachar al-Assad. Ces frappes d’une heure visaient principalement trois cibles selon le Pentagone, toutes liées au programme d’armement chimique du régime syrien. Ce raid aérien est une réponse directe à l’attaque chimique présumée menée en Ghouta orientale la semaine dernière.
Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon s’est exprimé ce samedi au micro de BFMTV sur les frappes occidentales en Syrie. “Je préfère croire qu’il s’agit d’une gesticulation convenue avec les Russes que de penser qu’on a pu déclencher, à trois pays, une offensive aussi dangereuse, qui contient une telle menace d’escalade, sans aucun mandat de l’ONU et contre les appels qu’a lancé son secrétaire général”, a-t-il déclaré.
Le vice-président du Front national Nicolas Bay s’est exprimé ce samedi au micro de BFMTV sur les frappes occidentales en Syrie.
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’est exprimé ce samedi au micro de BFMTV sur les frappes occidentales en Syrie.
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’est exprimé ce samedi au micro de BFMTV sur les frappes occidentales en Syrie.
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’est exprimé ce samedi au micro de BFMTV sur les frappes occidentales en Syrie. “Les objectifs fixés ont été atteints. Des cibles ont été identifiées, circonscrites. Elles ont été touchées.”
Hervé Morin, président de la région Normandie et ancien ministre de la Défense, s’est exprimé ce samedi au micro de BFMTV après le lancement des frappes occidentales en Syrie. Tout en restant prudent, il a globalement salué l’opération.
La Première Ministre britannique Theresa May s’est exprimée ce samedi après le lancement des frappes occidentales en Syrie, menées conjointement par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni contre le régime dictatorial de Bachar al-Assad.
Le président des États-Unis Donald Trump s’est exprimé ce samedi depuis la Maison-Blanche après le lancement des frappes occidentales en Syrie, menées conjointement par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni contre le régime dictatorial de Bachar al-Assad. “Je viens de demander aux forces armées des États-Unis de lancer des frappes ciblées sur les installations où sont détenues les armes chimiques du dictateur syrien Bachar al-Assad, a-t-il déclaré. Une opération conjointe avec la France et le Royaume-Uni est désormais lancée. Nous les remercions.”
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’est exprimé ce samedi depuis l’Élysée après les frappes occidentales en Syrie, aux côtés de la ministre des Armées Florence Parly. “L’escalade chimique en Syrie n’est pas acceptable, a-t-il déclaré, parce que le régime syrien avait pris l’engagement de démanteler intégralement son arsenal chimique”.
Dans la nuit de vendredi à samedi, Donald Trump a annoncé que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni avaient bombardé des cibles du régime syrien.
Dans la nuit de vendredi à samedi, Donald Trump a annoncé que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni avaient bombardé des cibles du régime syrien.
La porte-parole du Département d'État a expliqué qu'"il n'y a que certains pays comme la Syrie qui ont les moyens adéquats et ce type d'armes".
Alors que Donald Trump twittait mercredi que "les missiles arrivent", la nuit a été calme en Syrie, où aucune frappe aérienne n'a été observée. Mais elles devraient tout de même avoir lieu, et viser des lieux en lien avec les armes chimiques, comme des zones de stockage. Au niveau du timing, l'action devrait être rapide, mais moins que ne le souhaitait le président américain, qui doit se plier au temps de la concertation.
Frapper en Syrie, mais sans risquer l’escalade. C’est toute la difficulté rencontrée par les forces françaises. Depuis 2013, son alliée russe s’est fortement implantée sur le territoire. Et Moscou fait preuve d’une volonté farouche de sanctuariser le ciel syrien. Donald Trump, quant à lui, s'affiche très déterminé à agir.
Frapper en Syrie, mais sans risquer l’escalade. C’est toute la difficulté rencontrée par les forces françaises. Depuis 2013, son alliée russe s’est fortement implantée sur le territoire. Et Moscou fait preuve d’une volonté farouche de sanctuariser le ciel syrien. Donald Trump, quant à lui, s'affiche très déterminé à agir.
Donald Trump a prévenu ce mercredi la Russie que des missiles seraient lancés en Syrie, alors que la France et les États-Unis ont menacé de représailles après l'attaque chimique présumée en Ghouta oriantale qu'ils imputent au régime syrien.
L'Organisation chargée de la sécurité de la navigation aérienne appelle les avions civils survolant la Méditerranée orientale à être vigilants, alors que la France et les États-Unis pourraient frapper la Syrie en réponse à l'attaque chimique présumée en Ghouta orientale.
Quelques jours après une attaque chimique présumée dans la Ghouta orientale, imputée par les Occidentaux au régime syrien, une réponse militaire reste complexe pour la France et les Etats-Unis.
Après les attaques chimiques en Syrie, la France s’est à nouveau dite prête ce mardi à une "riposte" si la "ligne rouge" avait été franchie par le régime de Damas. Plusieurs options militaires se présentent. Mais qu’une seule peut véritablement aboutir pour le général Dominique Trinquand: une action commune avec les États-Unis. Quant aux frappes, elles se feraient uniquement par missiles. Aucun avion ne survolerait l’espace aérien syrien.
Samedi, plusieurs frappes contre les rebelles ont eu lieu sur la ville de Douma, en Syrie. Mardi soir, Emmanuel Macron a affirmé qu'il y avait bien eu utilisation d'armes chimiques, et a menacé le régime syrien. Depuis dimanche, le chef de l'Etat et Donald Trump, favorable à une frappe en Syrie, se sont entretenus à plusieurs reprises. Mardi à l'ONU, les Etats-Unis ont proposé de créer un groupe indépendant d'enquête sur le recours d'armes chimiques en Syrie, empêché par le veto de la Russie, qui a elle-même menacé de graves répercussions si la Syrie est attaquée.
La ministre chargée des Affaires européennes s'exprime à l'Assemblée après l'utilisation présumée d'armes chimiques en Syrie.
Une attaque chimique présumée du régime syrien ayant fait au moins 48 morts dans une zone rebelle près de Damas a soulevé un tollé international ce dimanche. Selon Siraj Mahmoud, porte-parole de la Défense civile syrienne, “des bombes barils contenant des substances toxiques ont été larguées par hélicoptère” sur la Ghouta orientale. 500 personnes au moins souffriraient de difficultés respiratoires et dégageraient une odeur semblable à celle du chlore. À la suite de cette attaque, la Turquie - alliée des rebelles syriens - a appelé l’Occident à réagir. À la demande de neuf pays, le conseil de sécurité de l’ONU se réunira ce lundi. Donald Trump a averti sur Twitter Bachar al-Assad et ses alliés qu'il faudrait “payer le prix fort” pour ce bombardement. Le président américain s’est entretenu au téléphone avec Emmanuel Macron. Selon la Maison-Blanche, les deux chefs d’État se sont prononcés “pour une réponse forte et commune”.
Neuf pays ont demandé une réunion en urgence lundi soir après une attaque chimique présumée perpétrée près de Damas, en Syrie.
Après les bombardements à Douma, en Ghouta orientale, le président américain a pointé la responsabilité de la Russie et a prévenu qu'il faudra "payer le prix fort".
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a fait état de dizaines de cas de suffocation, dont certains mortels, après un bombardement dans la Ghouta orientale. Les États-Unis soupçonnent une attaque chimique et accusent la Russie d'être en partie responsable.
Le pape François a réclamé ce dimanche la fin de "l'extermination en cours" en Syrie et le respect du "droit humanitaire", lors de son message de Pâques avant la traditionnelle bénédiction Urbi et Orbi.