Karim, rendu borgne lors d'un raid sur un marché, est au cœur d'une campagne de solidarité sur les réseaux sociaux. Plusieurs enfants sont devenus, malgré eux, des symboles durant les près de sept ans de conflit en Syrie.
Bachar al-Assad a vivement critiqué lundi l'action de la France en Syrie, l'accusant d'être un "soutien au terrorisme". Des propos "inacceptables" pour Emmanuel Macron, provenant de quelqu'un qui "a passé son temps à massacrer son peuple", rappelle Jean-Yves Le Drian.
Emmanuel Macron a qualifié mardi d'"inacceptables" les vives critiques prononcées la veille par le président syrien Bachar al-Assad, qui a accusé la France de "soutien au terrorisme". "Nous avons été cohérents depuis le début", en luttant contre un seul ennemi, "Daech", en Syrie, a-t-il déclaré devant la presse après avoir reçu le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg.
"Les Français ont les mains tachés du sang des Syriens", a affirmé Bachar el-Assad ce lundi. Cette déclaration intervient au lendemain de l'interview d'Emmanuel Macron où il a assuré que le président syrien "devra répondre de ses crimes". La France l'a également accusé d'avoir fait "obstruction" aux dernières négociations à Genève sur le conflit syrien .
Une enquête menée par le JDD révèle comment du sorbitol produit en France s'est retrouvé à être utilisé dans des ateliers de Daesh en Irak pour fabriquer du carburant destiné à propulser des roquettes, au terme d'un vaste cheminement international.
Quatre ans après avoir été évincé, l'organisation terroriste a repris le contrôle du village de Bachkoun.
Avant d'être des "réfugiés", des "migrants, nous sommes des "gens normaux" a plaidé Mohamad Al Jounde qui a reçu le prix international de la Paix des Enfants.
