"Aveux" de deux Français en Iran: le Quai d'Orsay dénonce une "mise en scène indigne"
La télévision iranienne a diffusé ce jeudi ce qu'elle présente comme des "aveux" d'espionnage de deux Français arrêtés en mai en Iran.
La télévision iranienne a diffusé ce jeudi ce qu'elle présente comme des "aveux" d'espionnage de deux Français arrêtés en mai en Iran.
Sur cette vidéo diffusée par l'agence de presse du pouvoir iranien et présentée comme des "aveux", on peut notamment voir une femme dire en français qu'elle est "un agent" des services de renseignement français.
Le plus pérenne des chefs de gouvernement de l'histoire du pays, qui avait quitté le pouvoir au printemps 2021, a été hospitalisé après une "douleur à la poitrine" alors qu'il est candidat aux élections législatives qui auront lieu en novembre.
Abir Al-Sahlani, députée suédoise au Parlement européen, se coupe les cheveux lors d'un discours à Strasbourg en signe de solidarité avec les manifestants en Iran, mobilisés depuis que Mahsa Amini, une Kurde de 22 ans, est décédée le 16 septembre dernier suite à son arrestation par la police des mœurs à Téhéran, pour n'avoir prétendument pas respecté le code vestimentaire strict imposé aux femmes de la république islamique. "Tant que l'Iran ne sera pas libre, notre fureur sera plus grande que celle des oppresseurs", déclare la députée.
Les conditions d'organisation de la Coupe du monde de football, le marasme humain et écologique que la compétition représente, le non-respect des droits de l'Homme et des minorités: le mondial qatarien est sous le feu des critiques du monde entier.
Le guide suprême Ali Khamenei, le chef religieux de la République islamique d'Iran, a réagi publiquement au mouvement de protestation qui secoue son pays depuis la mort de Mahsa Amini.
Le guide suprême de la République islamique, l'ayatollah Ali Khamenei, accuse les Etats-Unis, Israël et leurs "agents" d'avoir fomenté le mouvement de contestation antigouvernemental déclenché par la mort le 16 septembre de Mahsa Amini à Téhéran.
Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent les forces de sécurité en train de tirer des gaz lacrymogènes sur des étudiants manifestant contre le régime, les encerclant alors dans l'enceinte de l'université.