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"Ce n’est pas la France qui décrète qu’il faut lutter contre les mariages forcés", dit Macron au Niger

"Ce n’est pas la France qui décrète qu’il faut lutter contre les mariages forcés", dit Macron au Niger

"Si vous m’avez suivi, vous aurez constaté que ce n’est pas la France qui décrète qu’il faut lutter contre les mariages forcés, c’est parce qu’il y a une politique ici conduite par le président du Niger qui s’engage pour l’émancipation des femmes dans son pays", a déclaré ce samedi le président de la République Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse organisée à Niamey aux côtés du président du Niger, Mahamadou Issoufou. 

"Iyad Ag Ghali est un terroriste et un criminel, il n’y a qu’à mener la guerre contre lui", déclare Macron au Niger

"Iyad Ag Ghali est un terroriste et un criminel, il n’y a qu’à mener la guerre contre lui", déclare Macron au Niger

"Il n’y a aucune négociation sur la personne que vous avez évoqué, c’est un terroriste et un criminel, il n’y a qu’à mener la guerre contre lui de manière claire", a déclaré le président de la République Emmanuel Macron faisant référence à Iyad Ag Ghali, rebelle touareg, lors d’une conférence de presse organisée à Niamey aux côtés du président du Niger, Mahamadou Issoufou. 

Victoire des indépendantistes en Catalogne: qu'en pensent les Barcelonais?

Victoire des indépendantistes en Catalogne: qu'en pensent les Barcelonais?

Malgré la victoire des indépendantistes lors des élections régionales en Catalogne jeudi, la fracture reste ouverte dans la région. Le bloc indépendantiste est divisé mais l'emporte de quelques sièges au parlement. Les catalans ignorent toujours comment la région va sortir de l’impasse : "D'après les résultats, c'est le gouvernement catalan qui l'emporte, mais il est en Belgique !", estime un Barcelonais. Cette division est problématique pour l'avenir du gouvernement catalan. Si aucun gouvernement n'est formé à Barcelone avant la fin mars, de nouvelles élections devront être convoquées dans les deux mois qui suivront.

Reconnaissance de l’Etat palestinien : "Je ne crois pas que ce serait efficace", selon Emmanuel Macron

Reconnaissance de l’Etat palestinien : "Je ne crois pas que ce serait efficace", selon Emmanuel Macron

Reçu par Emmanuel Macron à Paris vendredi, Mahmoud Abbas, le chef de l’autorité palestinienne a de nouveau réclamé la reconnaissance de son Etat, après la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Pour Emmanuel Macron, décider cela serait "une réaction à une autre décision unilatérale qui a créé le trouble dans la région". Le Président de la République a assuré que la France commettrait "une faute profonde", internationalisant ainsi une situation "que nous n’arrivons pas à régler sur le terrain".\t

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