Le gestionnaire d'actifs en cryptomonnaies Grayscale poursuit le régulateur boursier américain
La raison? La société s'est vu refuser le droit de coter en Bourse un fonds indiciel en bitcoin, c'est-à-dire qui réplique le cours de l'actif.
La raison? La société s'est vu refuser le droit de coter en Bourse un fonds indiciel en bitcoin, c'est-à-dire qui réplique le cours de l'actif.
Et ce, alors que l'Europe est parvenue mercredi à un accord provisoire sur l'encadrement des transferts de cryptomonnaies.
Le Parlement européen et le Conseil sont parvenus à un accord provisoire obligeant les acteurs cryptos à fournir des informations d'identification sur les transactions en cryptomonnaies.
Lors d'une audition ce lundi à Bruxelles, Christine Lagarde a évoqué la volonté d'aller vers une nouvelle règlementation des cryptomonnaies, appelée Mica 2.
La plateforme, qui compte 90 millions d'utilisateurs, fait face à deux enquêtes: l'une du gendarme boursier américain, l'autre de l'agence de presse Reuters.
Un régulateur américain a accusé la société fondée par les frères jumeaux Winklevoss de lui avoir menti lors du processus d'autorisation d'un produit financier basé sur le bitcoin.
L'autorité a modifié mercredi quelques points de sa doctrine sur le statut de prestataires de service sur actifs numériques.
Dans une lettre, 26 chercheurs américains appellent les législateurs américains à résister aux pressions du lobby des cryptomonnaies face aux volontés de régulation du secteur.