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Emmanuel Macron en Alsace: le chef de l'État quitte Sélestat sous les huées des manifestants

Le président de la République est ce mercredi à Muttersholtz pour visiter l'entreprise Mathis, spécialisée dans les constructions en bois. Elle est chargée notamment de la conception de bâtiments pour les Jeux olympiques 2024.

L'ESSENTIEL

  • Emmanuel Macron reprend les déplacements, quelques jours après son allocution télévisée destinée à enclencher une nouvelle phase de son quinquennat. Le chef de l'État se déplace ainsi dans le Bas-Rhin ce mercredi pour visiter l'usine Mathis, située à Muttersholtz. Lire l'article
  • Une coupure d'électricité a eu lieu dans l'usine Mathis et dans tout le quartier, au moment de l'arrivée d'Emmanuel Macron à Muttersholtz. La CGT a reconnu être à l'origine de cette action. Lire la brève
  • Le député LFI Emmanuel Fernandes s'est bâillonné le visage avec un bandeau "49.3" devant le président de la République. Lire l'article
  • Le président de la République s'est rendu à Sélestat où il a été hué pendant son bain de foule. Des chants "Macron démission" ont retenti. Lire la brève

Ce live est désormais terminé

Merci d'avoir suivi notre direct sur BFMTV.com consacré à la venue d'Emmanuel Macron en Alsace pour son premier déplacement depuis la promulgation de la réforme des retraites.

"Un accueil difficile", reconnaît le maire de Sélestat Marcel Bauer

Au micro de BFMTV, le maire divers droite de Sélestat s'est félicité de la venue d'Emmanuel Macron dans sa commune, malgré un contexte particulier.

"Évidemment, il a évoqué l’accueil difficile mais il a dit que ça fait partie de sa mission. Il a dit qu’il comprenait la colère de certains habitants, puis il a expliqué qu’il faut que les uns et les autres acceptent les choix qui sont faits", rapporte Marcel Bauer.

D'après l'édile, le chef de l'État "l'a dit lui-même: si on plie devant les manifestations, on n'avancera jamais. Et je suis tout à fait d'accord avec lui."

Le maire de Muttersholtz revient sur le déplacement d'Emmanuel Macron

Patrick Barbier, maire de Muttersholtz, est revenu sur le déplacement du président de la République dans sa commune au micro de BFMTV. Selon lui, les manifestants présents ont exprimé "démocratiquement leur défiance", dans une ambiance bon enfant. "Il y avait plus de forces de l'ordre que de manifestants."

"Le président savait qu'en mettant sur le haut de l'agenda la réforme des retraites on n'allait pas être sur une séquence de Bisounours", résume-t-il.

Comme il l'avait déjà annoncé ce mardi à l'antenne de BFM Alsace, l'élu a profité de la venue du chef de l'État pour évoquer avec lui la question de la transition écologique. "Il a une Première ministre qui est plutôt une spécialiste de ces questions-là, ça serait bien qu'il l'utilise", regrette-t-il. "Il m'a écouté, je ne suis pas sûre qu'il m'a entendu."

Emmanuel Macron quitte Sélestat

Le déplacement du président de la République dans le Bas-Rhin touche à sa fin, alors qu'Emmanuel Macron quitte Sélestat sous les dernières huées des manifestants encore présents.

Le chef de l'État sort de la mairie de Sélestat et finit rapidement son bain de foule

Le chef de l'État est sorti de la mairie de Sélestat après deux heures sur place. Une nouvelle fois, il s'est dirigé vers les personnes présentes sur la place en face de l'hôtel de ville, au contact des Français. Les manifestants toujours présents continuent de scander des chants contre le président de la République et de le huer.

Emmanuel Macron a serré rapidement quelques mains avant de s'éloigner de la foule et de remercier les élus locaux pour leur accueil.

"Il est normal que cette colère s'exprime", Emmanuel Macron réagit à son bain de foule chahuté

Après plus d'une heure et demie d'entretien avec les élus locaux à l'hôtel de ville de Sélestat, Emmanuel Macron s'exprime à nouveau sur la colère des manifestants, toujours présents devant la mairie. "Ce n'est pas une surprise, mais ça ne doit pas être un obstacle", a-t-il précisé.

"Il y a une colère qui est là et il est normal que cette colère s'exprime. [...] Je ne m'attendais pas à autre chose, mais elle ne m'empêchera pas de me déplacer partout dans le pays. On doit continuer à se préparer."

Le chef de l'État répète qu'il veut continuer les grands chantiers du pays, parmi lesquels l'industrialisation, la sécheresse ou encore l'aide à l'emploi.

La CGT revendique la coupure d'électricité à Muttersholtz

La FNME-CGT a officiellement revendiqué la "mise en sobriété énergétique du discours du président" lors de son arrivée dans l'entreprise Mathis. "La FNME-CGT l’avait annoncé, les énergéticiens seront partout!"

"La colère est là, et on ne tourne pas la page", écrit Fabrice Coudour, secrétaire général de la FNME-CGT dans un communiqué.

Le syndicaliste en profite pour répondre à Emmanuel Macron qui a déclaré plus tôt dans la journée que "ce ne sont pas les casseroles qui feront avancer la France".

"Le roi Macron accumule les casseroles et méprise le mouvement social, la démocratie sociale les fera donc résonner et nous serons partout jusqu’à ce que la France soit libérée de cette réforme", conclut-il.

"Il n'entend pas", regrette une responsable UNSA après son échange avec le président

Un long échange a marqué le rapide bain de foule du président de la République, entre Emmanuel Macron et Chloé, responsable UNSA. "Je lui ai demandé de retirer cette réforme qui est injuste et brutale et d'envoyer des signes d'apaisement", explique-t-elle à BFMTV.

Une discussion qui selon elle, n'a abouti à rien. "Je n'ai pas le sentiment d'avoir été entendue", regrette-t-elle. "J'ai eu le sentiment qu'il donnait des éléments de langage, les mêmes que l'on a pu entendre lors de différentes interviews de sa part."

Chloé déplore un président qui fait la sourde oreille. "Il n'entend pas qu'il puisse y avoir d'autres éléments, j'ai rappelé qu'il y a eu des propositions faites. [...] Lui est resté campé sur ses positions."

Le président de la République continue son bain de foule malgré les chants de manifestants

"Je ne vais pas ne pas aller au contact parce qu'il y a des gens pas contents." Emmanuel Macron a continué à saluer la foule, malgré les chants des manifestants de plus en plus forts. "J'ai déjà eu pire, mais je ne suis pas naïf", a-t-il lancé.

"Il faut que tout le monde puisse s'exprimer librement, mais il faut aussi que le pays avance", a-t-il tranché avant de continuer à saluer les personnes présentes et de répondre à leurs interpellations pendant quelques minutes. Les chants "Macron démission" ne se sont pas arrêtés jusqu'au départ du chef de l'État à l'hôtel de ville.

Emmanuel Macron arrive à Sélestat sous les huées

Le président de la République est arrivé à Sélestat sous quelques applaudissements et beaucoup de huées. La foule présente scande notamment des chants "Macron démission".

Certains habitants ont également interpellé le chef de l'État, notamment lui demandant le retrait de la réforme et dénonçant une perte de démocratie en France.

Le président de la région Grand Est condamne la coupure de courant à l'usine Mathis

Le président de la région Grand Est a réagi à la brève coupure d'électricité survenue au moment de l'arrivée d'Emmanuel Macron à l'usine Mathis à Muttersholtz. Selon lui, cette action "ne sert personne, ni la République, ni la démocratie".

"Il y a pour moi une ligne rouge à ne jamais franchir", écrit-il sur Twitter, "c’est le respect de nos institutions républicaines et de la fonction de président de la République."

Le président de la République quitte l'usine Mathis pour aller à Sélestat

Emmanuel Macron a quitté Muttersholtz et l'usine Mathis. Il se dirige dès à présent vers Sélestat, à moins de 10 kilomètres de l'entreprise.

"Il n'y a pas de réel contact": Emmanuel Fernandes dénonce un déplacement fermé à la population

Emmanuel Fernandes, en plus de dénoncer un blocage démocratique de la majorité présidentielle, s'en prend également à l'organisation du déplacement du chef de l'État.

"Drôle d'organisation d'un déplacement d'un président au contact de la population, car on voit bien que tout le monde est repoussé très très loin du site. Nous-mêmes, élus, nous étions séparés du président par de grandes poutres de bois."

Cette première visite d'Emmanuel Macron après la promulgation de la réforme des retraites a pourtant pour but d'aller au contact des Français afin de renouveler sa confiance auprès de la population. "Dans le village tout est fermé, tout est bouclé, il n'y a pas de réel contact", se désolé l'élu.

Bâillon 49.3: Emmanuel Fernandes évoque "une action de visibilité tout à fait pacifiste"

Au micro de BFMTV, le député LFI du Bas-Rhin Emmanuel Fernandes est revenu sur son choix de se bâillonner avec un bandeau comprenant l'inscription 49.3 lors de l'échange du président avec les journalistes.

"C'était une action de visibilité, tout à fait calme, tout à fait pacifiste, j'ai levé mon bâillon quand j'ai vu que le président s'approchait enfin des journalistes", raconte-il.

Un député LFI s'est bâillonné le visage avec un bandeau "49.3" devant le président

Le député LFI du Bas-Rhin Emmanuel Fernandes s'est bâillonné avec un bandeau 49.3 derrière Emmanuel Macron alors que ce dernier discutait avec les journalistes.

Le député Emmanuel Fernandes du Bas-Rhin, bâillon 49.3 sur le visage, devant Emmanuel Macron à l'usine Mathis le mercredi 19 avril 2023.
Le député Emmanuel Fernandes du Bas-Rhin, bâillon 49.3 sur le visage, devant Emmanuel Macron à l'usine Mathis le mercredi 19 avril 2023. © BFMTV

"Emmanuel Macron est en Alsace pour la première étape de sa tentative de faire oublier aux Françaises et au Français son isolement et sa violence. Dans ce contexte, j’ai décidé de me bâillonner devant le président", a-t-il expliqué dans un communiqué de presse.

Un "geste symbolique", une image alors que le chef de l'État "empêche et bâillonne l’entièreté du peuple" avec l'utilisation de l'outil 49.3 pour faire passer la réforme des retraites.

"Il faut sans cesse continuer" de défendre la vie démocratique du pays

Face aux journalistes, le président de la République a parlé démocratie et s'est défendu de tout faire pour améliorer la vie démocratique du pays. "Il faut sans cesse continuer", a-t-il déclaré aux micros des médias.

Il s'est également exprimé sur le départ de Laurent Berger à la tête de la CFDT annoncé le 21 juin prochain "C'est un responsable qui, dans le cadre de démocratie sociale a sa responsabilité et la joue à plein, qui a pris des positions qui n'étaient pas celles du gouvernement."

Le chef de l'État a enfin renouvelé sa confiance envers Élisabeth Borne.

Emmanuel Macron: "ce n'est pas les casseroles qui feront avancer la France"

Lors d'un échange avec les journalistes à l'usine Mathis, le président de la République a réagit à la présence de manifestants munis de casseroles à Muttersholtz, en marge de de sa visite.

"Ce n'est pas les casseroles qui feront avancer la France (...) Moi ce qui m'intéresse c'est ce qui va permettre à nos compatriotes de mieux vivre. je n'ai pas le droit de m'arrêter", a-t-il indiqué.

"Si on est dans une société où on écoute que les gens qui veulent faire du bruit et qui assument de dire qu'ils font du bruit pour couvrir des paroles, on s'en sort pas", juge-t-il.

Le chef de l'État s'exprime devant l'entreprise Mathis

Le président de la République s'est exprimé à 14 heures devant l'usine Mathis durant moins de dix minutes avant d'aller à la rencontre des salariés et dirigeants de l'entreprise.

Lors de son discours, Emmanuel Macron a renouvelé sa volonté de parler d'industrie et de mettre en avant la "valeur travail": "un pays qui s'est désindustrialisé" est un pays "affaibli", a-t-il précisé. Le chef de l'État n'a pas une seule fois parlé de retraites, mais a déclaré qu'il fallait "travailler davantage".

Une coupure de courant dans l'usine Mathis au moment de l'arrivée d'Emmanuel Macron

Une action coup de poing. Une coupure d'électricité a eu lieu dans l'usine Mathis et dans tout le quartier, au moment de l'arrivée d'Emmanuel Macron à Muttersholtz.

La CGT locale laisse entendre auprès de confrères qu'elle était envisagée.

Les manifestants prennent la route de Sélestat

Présents à Muttersholtz, les manifestants ont cessé le concert de casseroles. Ils se dirigent vers Sélestat.

"L'objectif c'est d'aller faire du bruit à Sélestat", confie Fabienne, une manifestante, à BFMTV.

Selon elle, "beaucoup plus" de personnes sont attendues là-bas.

Emmanuel Macron est arrivé à Muttersholtz

Le président de la République est désormais arrivé au sein de l'usine Mathis où il a commencé à saluer des salariés.

Emmanuel Macron est arrivé en Alsace

L'avion du président de la République a atterri à Strasbourg peu avant 13h. Emmanuel Macron est désormais en route pour rejoindre Muttersholtz.

Il devrait arriver à 13h30 à l'usine Mathis où il est attendu aujourd'hui. Un échange avec des salariés et une prise de parole informelle sont prévus.

"Nous, on ne tourne pas la page", affirme le secrétaire général de la CGT du Bas-Rhin

"Le message est très clair. Nous, on ne tourne pas la page, on ne passe pas à autre chose, on reste sur la revendication du retrait de la réforme des retraites", affirme Laurent Feistauger, secrétaire général de la CGT du Bas-Rhin, à BFMTV.

Le syndicaliste assure que "le bon peuple" sera présent à chaque déplacement d'Emmanuel Macron pour protester contre la réforme des retraites.

Les manifestants se trouvent à quelques mètres de l'entreprise Mathis où est attendu le président. Un barrage de gendarmerie les empêche de se rapprocher de l'usine alsacienne.

Retour d'Emmanuel Macron sur le terrain: "échanger avec les Français, ce n'est jamais compliqué", assure Olivier Véran

"Échanger avec les Français, ce n'est jamais compliqué", avance Olivier Véran, avant l'arrivée d'Emmanuel Macron dans le Bas-Rhin.

Les déplacements des ministres ont été agitées ces derniers jours. Des manifestants ont par exemple perturbé le déplacement des ministres Geneviève Darrieussecq et Jean-Christophe Combe à la CAF de Paris.

Une centaine de manifestants ont d'ailleurs été repoussés par les gendarmes ce matin.

Avant l'arrivée de Macron en Alsace, Véran voit dans le président "le meilleur ambassadeur de la politique menée depuis 6 ans"

Des manifestants ont été repoussés par les gendarmes avant l’arrivée d’Emmanuel Macron en Alsace dans 2 heures.

Plusieurs de ses déplacements ont été pertubées par des opposants à la réforme des retraites ces dernières semaines, comme aux Pays-Bas.

"Le président est à l’evidence le meilleur ambassadeur de la politique menée depuis 6 ans", avance Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement à l'issue du Conseil des ministres.

Cornes de brume et casseroles pour accueillir Emmanuel Macron

Cornes de brume, casseroles et cloches résonnent dans le village de 2200 habitants de Muttersholtz.

Une centaine de manifestants sont déjà présents, plus de deux heures avant l'arrivée prévue du chef de l'État, pour protester contre la réforme des retraites. "Tes 100 jours, c'est sans nous", est-il écrit sur certaines pancartes, a constaté l'AFP.

Les manifestants ont rapidement été repoussés par les gendarmes et tenus à l'écart de l'entreprise Mathis.

Une centaine de manifestants repoussés par les gendarmes avant l'arrivée d'Emmanuel Macron

Selon l'AFP, les gendarmes repoussent les manifestants à Muttersholtz.

Une centaine de personnes, qui protestaient bruyamment, sont déjà présentes avant l'arrivée du président de la République.

"Dernière sommation: nous allons faire usage de la force", a averti un gendarme à l'aide d'un mégaphone à l'intention des manifestants massés devant la mairie, avant de les repousser près de 200 mètres plus loin, a constaté un journaliste de l'AFP.
Des manifestants protestent contre la réforme des retraites avant la venue d'Emmanuel Macron à Muttersholtz (Bas-Rhin) ce mercredi 19 avril 2023.
Des manifestants protestent contre la réforme des retraites avant la venue d'Emmanuel Macron à Muttersholtz (Bas-Rhin) ce mercredi 19 avril 2023. © LUDOVIC MARIN / AFP

"Un honneur pour l'entreprise Mathis", félicite le maire de Muttersholtz

Patrick Barbier, maire de Muttersholtz, félicite la venue d'Emmanuel Macron sur son territoire.

"Un honneur pour l'entreprise Mathis", a-t-il réagi hier soir, sur le plateau de BFM Alsace.

L'édile salue une entreprise "innovante" et "à la pointe de toutes les transitions écologiques". Patrick Barbier, dont la commune est réputée en matière d'écologie, espère d'ailleurs pouvoir interpeller le président sur des questions environnementales.

"On va lui faire un petit comité d'accueil", confirme un membre de l'union locale de la CGT

Les syndicats restent vent-debout contre la réforme des retraites et appellent au rassemblement en marge de la venue d'Emmanuel Macron cet après-midi.

"On va lui faire un petit comité d'accueil, on va faire ça de manière très pacifique avec un petit concert de casseroles comme on a déjà fait hier à Sélestat pour couvrir le bruit de son allocution", précise Bertrand Blindauer, membre de l'union locale CGT de Sélestat et ses environs.

Le syndicaliste le répète, ils veulent le retrait du texte. "Aujourd'hui, simplement nous dire 'je viens pour tourner la page', on ne l'accepte pas. Ce chantier-là, il n'y a que lui qui le considère terminé."

L'intersyndicale appelle à un rassemblement avec des casseroles

Les syndicats comptent donner le ton pour ce premier déplacement du chef de l'État depuis la promulgation de la réforme des retraites.

L'intersyndicale appelle notamment à un rassemblement dès midi, avec des casseroles pour montrer que la "page des retraites est loin d'être tournée"

"Nous appelons les salarié.e.s du secteur et du département à venir grossir nos rangs dès 12h30 avec des casseroles pour mieux nous faire entendre", a écrit l'intersyndicale dans un communiqué.

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Emmanuel Macron attendu en début d'après-midi à Muttersholtz

Le chef de l'État est attendu en début d'après-midi à Muttersholtz, pour un déplacement sur le thème du travail.

Emmanuel Macron doit se rendre dans l'usine Mathis, spécialisée dans la construction bois. L'entreprise alsacienne est chargée notamment de la conception de bâtiments pour les JO Paris 2024.

Cette visite intervient quelques jours après son allocution télévisée destinée à relancer son quinquennat, après trois mois de crise des retraites.

Bonjour à toutes et à tous

Bienvenue dans ce direct consacré à la visite d'Emmanuel Macron dans le Bas-Rhin, quelques jours après la promulgation de la réforme des retraites.

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