Le père d'Anne-Lorraine : « Je n’ai pas de haine »
Anne-Lorraine était étudiante en journalisme du Celsa à Paris et se destinait à faire du journalisme Radio. Elle avait 23 ans et était très engagée. Son père, Philippe Schmitt, revient sur ce drame. Pour lui, ce qu’il faut avant tout c’est « se redresser, se reconstruire et regarder vers l’avant ». Il explique ce qu’il va faire pour sa famille et la mémoire de sa fille ainée. Philippe Schmitt souhaite engager un combat contre la récidive des délinquants sexuels. Son discours est sans haine mais il rappelle : « J’en veux au système et j’en veux aux gens qui sont responsables de la mise en liberté de ce violeur. »
Voici son témoignage. (Sonore ci-contre)