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Le dalaï-lama à guichets fermés pour sa leçon de bonheur

Le dalaï-lama et son traducteur Mathieu Ricard. Environ 7.000 personnes ont assisté lundi au Zénith de Toulouse au dernier des trois enseignements donnés par le dalaï-lama lors de son unique déplacement de l'année en France, une conférence consacrée à "l'

Le dalaï-lama et son traducteur Mathieu Ricard. Environ 7.000 personnes ont assisté lundi au Zénith de Toulouse au dernier des trois enseignements donnés par le dalaï-lama lors de son unique déplacement de l'année en France, une conférence consacrée à "l' - -

TOULOUSE (Reuters) - Des milliers de personnes ont assisté lundi à Toulouse au dernier des trois enseignements donnés par le dalaï-lama lors de son...

TOULOUSE (Reuters) - Des milliers de personnes ont assisté lundi à Toulouse au dernier des trois enseignements donnés par le dalaï-lama lors de son unique déplacement de l'année en France.

Cette conférence consacrée à "l'art du bonheur" s'est déroulée comme les jours précédents au Zénith de Toulouse, où ont pu se réunir environ 7.000 fidèles.

Près de 2.000 personnes qui n'ont pu prendre place à l'intérieur de la salle ont assisté à la conférence sur le parking équipé d'écrans géants.

Le discours du dalaï-lama a été présenté par l'ancien diplomate Stéphane Hessel, auteur de l'essai "Indignez-vous", qui est devenu un phénomène d'édition.

Le chef spirituel des tibétains en exil, Tensin Gyatso, treizième successeur du premier dalaï-lama apparu au Tibet à la fin du XIVe siècle, a ensuite décliné en plusieurs langues, durant près de deux heures, "l'art du bonheur".

Dans la matinée de lundi, le dalaï-lama, qui n'a eu aucun contact officiel avec les autorités françaises, avait rencontré des élus de la région Midi-Pyrénées, dont une dizaine de maires.

Un groupe d'élus du groupe d'information parlementaire sur le Tibet a également été reçu par le chef spirituel du bouddhisme tibétain.

Au cours de cette entrevue, ce dernier a remis symboliquement à chacun des parlementaires l'écharpe blanche de la paix. Il doit quitter la France mardi matin.

Nicolas Fichot, édité par Gérard Bon