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Les universités françaises stagnent dans un classement mondial

Les universités françaises stagnent dans le classement de "Shanghai", qui évalue les performances des meilleurs établissements de la planète, selon le site internet des Echos. Seules trois universités françaises - Paris, l'Ecole normale supérieure et Pari

Les universités françaises stagnent dans le classement de "Shanghai", qui évalue les performances des meilleurs établissements de la planète, selon le site internet des Echos. Seules trois universités françaises - Paris, l'Ecole normale supérieure et Pari - -

PARIS (Reuters) - Les universités françaises stagnent dans le classement de "Shanghai", qui évalue les performances des meilleurs établissements de...

PARIS (Reuters) - Les universités françaises stagnent dans le classement de "Shanghai", qui évalue les performances des meilleurs établissements de la planète, indique jeudi le site internet des Echos.

Seules trois universités françaises figurent parmi les 100 premières, les mêmes que l'année dernière, précise-t-il.

Paris XI et l'Ecole normale supérieure perdent même des places, la première passant de la 43e à la 45e place et la seconde décroche d'un cran au 71e rang.

En revanche, la première université française du classement, Paris VI (Pierre et Marie Curie) gagne une place et se situe désormais en 39e position.

Le Classement académique des universités mondiales ou classement de Shanghai est un classement des principales universités mondiales, établi par des chercheurs de l'université Jiao-Tong de Shanghai en Chine.

Les institutions sont classées selon six critères, comme le nombre de publications dans des revues scientifiques et le nombre de prix Nobel attribués aux élèves et aux équipes pédagogiques.

Sur la totalité du classement, qui compte 500 universités, on ne trouve que 22 établissements français.

Le top trois reste américain : l'or pour Harvard, l'argent pour Berkeley, qui passe cette année devant Stanford, soulignent les Echos.

Lors d'une visite officielle en Chine, en juillet, la ministre française de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse avait rencontré les concepteurs du classement, insistant sur les effets attendus de la réforme de l'université en cours dans l'Hexagone.

Gérard Bon, édité par Yann Le Guernigou