Pilules : panique chez les gynécos
Les pilules de troisième et quatrième génération cristallisent toutes les peurs. En septembre, la Haute autorité de santé a souligné le risque de thrombose veineuse deux fois plus élevé de ces pilules par rapport à celles de deuxième génération, puis elles ont été déremboursées par la Sécurité sociale et les plaintes de patientes se sont accumuléés.
Une situation suffisamment alarmant pour créer le trouble dans les cabinets des gynécologues où les questions sur ces contraceptifs sont désormais quotidiennes.
Dans les cabinets de gynécologie, le constat est sans appel, la pilule le contraceptif préféré des Françaises semble avoir perdu de son succès et les demandes de stérilets augmentent depuis quelques semaines.