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La pépite - Page 5

Forcés d'écouter en boucle "Baby Shark", des détenus poursuivent des gardiens de prison aux États-Unis

Forcés d'écouter en boucle "Baby Shark", des détenus poursuivent des gardiens de prison aux États-Unis

La célèbre et entêtante chanson "Baby Shark" en a fait craquer plus d’un. Selon Insider, cette dernière a même été utilisée pour torturer des prisonniers dans la prison du comté d’Oklahoma, aux États-Unis. Trois détenus – Daniel Hedrick, Joseph "Joey" Mitchell et John Basco – ont ainsi déposé une plainte contre l’ancienne administration de la prison, le 2 novembre dernier. Ils réclament 75.000 dollars de dommages et intérêts. En 2019, les trois détenus ont été menottés et forcés à rester debout contre un mur tandis que "Baby Shark" était jouée en boucle et à un volume très élevé. Il y aura bien un procès en février 2022.

Le sorcier officiel de la Nouvelle-Zélande évincé après 30 ans de bons et loyaux services

Le sorcier officiel de la Nouvelle-Zélande évincé après 30 ans de bons et loyaux services

Après plus de trente ans de bons et loyaux services, le sorcier de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a été contraint par le conseil municipal de quitter ses fonctions. A 88 ans, Ian Brackenbury Channell, était une célébrité de la ville et les touristes venaient de loin pour le voir s'adresser à la foule dans sa robe noire, avec sa longue barbe, ses cheveux ébouriffés, un chapeau pointu sur la tête.

Au Danemark, un artiste qui devait exposer 72.000 euros de billets part avec le butin

Au Danemark, un artiste qui devait exposer 72.000 euros de billets part avec le butin

Un artiste danois, qui devait exposer l'équivalent de 72.000 euros de billets de banque collés sur une toile, a finalement décidé de présenter des cadres vides et de garder le magot. Le musée d'art moderne Kunsten, à Aalborg (Danemark), avait convenu de prêter une forte somme d'argent liquide à Jens Haaning, un artiste danois de 56 ans, pour qu'il reconstitue une de ses anciennes œuvres représentant un an de salaire au Danemark et en Autriche, en coupures danoises et en euros. À la place, l'artiste a expliqué qu'il enverrait d'autres œuvres "intitulées 'Prends l'argent et tire-toi'". En ouvrant les caisses, des employés du musée ont pu constater que c'était bien ce que le plasticien avait fait: l'argent n'y était pas et les toiles étaient restées blanches.