Patrice Hilligot : l’excellence d’un cabinet de chirurgie esthétique et plastique parisien

Situé rue Quentin-Bauchart à deux pas de l’avenue George V dans le 8 ème arrondissement de Paris, le cabinet du chirurgien Patrice Hilligot accueille tout au long de l’année de nombreux patients à travers différents types d’intervention de chirurgie esthétique, de chirurgie plastique, mais aussi de médecine esthétique. L’excellence comme maître-mot.

En poussant les portes de son cabinet, les patients accèdent à une expertise de pointe et un haut niveau de savoir-faire. Diplômé de l’École viscérale et digestive de Paris à travers laquelle il a pu se former auprès des maîtres de la discipline, Patrice Hilligot a, par la suite, effectué une spécialisation au sein de l’École de chirurgie esthétique et réparatrice de la capitale.

Ancien interne, chef de clinique, et assistant des hôpitaux de Paris, le professionnel de santé opère dans une clinique privée de Paris, et à l’hôpital privé de Parly 2 au Chesnay.

La technique du lambeau d’accolement pour réduire les cicatrices

Grâce à sa formation en chirurgie viscérale et à ses nombreuses années de pratique, Patrice Hilligot est parvenu à développer une méthode inédite permettant de réduire significativement l’élargissement cicatriciel secondaire lors d’une opération.

Pour y parvenir, Patrice Hilligot forme un bourrelet avec la peau en plaçant la cicatrice à son sommet. L’objectif est alors de réduire les forces qui ont tendance à élargir la cicatrice pour un meilleur rendu esthétique et une cicatrice beaucoup moins visible.

Atteindre la perfection par le travail

Entre écoute attentive et conseils avisés, le chirurgien souhaite tisser avec chaque patient une relation de confiance.

"J’opère chaque personne avec le plus grand soin, comme s’il s’agissait de l’un de mes proches. Dans ce métier où l’humain occupe une place centrale, il faut plusieurs décennies de dur labeur pour arriver à produire un résultat proche de la perfection. La chirurgie est un travail de longue haleine qui ne s’améliore qu’à force de répéter les gestes. La confiance en soi acquise au fil du temps est un élément fondamental dans ce travail d’orfèvre", conclut Patrice Hilligot.

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