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Kia Sportage Hybride Rechargeable à l'épreuve de la route

5e génération du Kia Sportage

5e génération du Kia Sportage - Kia

Certaines voitures marquent leur époque et s’imposent comme des références. C’est le cas du Kia Sportage qui poursuit sa désormais longue carrière couronnée de succès avec une 5e génération. Nous avons pris le volant de ce SUV dans sa version hybride rechargeable pour en découvrir tous les secrets.

Un design revu, plus sportif, plus dynamique

Le Kia Sportage que nous découvrons aujourd’hui pour un long périple sur les routes de France, a largement passé l’âge de raison. Déjà 28 ans que ce SUV est l’une des vedettes du catalogue Kia avec plus de 6 millions de véhicules écoulés à travers le monde. Et en cette année 2022, c’est donc à l’intérieur de la 5e génération du Sportage que nous allons prendre place. Commençons donc par un petit tour d’horizon de ce nouveau design. Ce qui frappe au premier plan, c’est la nouvelle calandre haute et large. Avec son maillage en nid d’abeilles qui court sur toute la largeur, elle donne au Kia Sportage une allure athlétique qui en impose. Une dynamique renforcée par les très originaux feux de jour à LED. En forme de boomerang, ils sont tournés vers le centre et entourent les projecteurs Full LED matriciels. Enfin, une légère bande carrosserie marque la séparation avec le capot pour créer ce design signature des modèles Kia appelé « Tiger Nose » (nez de tigre). Dès le premier contact, le constat est posé, le Kia Sportage est là pour jouer dans la cour des grands. Sur les côtés, le dessin de la carrosserie reprend les codes modernes du moment, à savoir une belle hauteur de caisse avec une ligne chromée qui remonte jusqu’au bouclier arrière. Des lignes tendues, dynamiques, soulignées par une légère nervure. Originalité du design, la ligne de ceinture chromée dessine un franc décroché au niveau de la custode arrière, avant de continuer sa course. À l’arrière du Sportage, on garde ce sentiment de dynamique et de sportivité avec le becquet de toit mais aussi d’élégance avec ces feux qui se rejoignent pour ne former qu’une ligne.

Multimédia, connectivité et écran tactile

Pour se glisser à l’intérieur, la clé dans la poche, il suffit de s’approcher du Kia Sportage et d’appuyer sur le bouton de la poignée extérieure pour qu’il se déverrouille. L’ambiance est empreinte de chic et de sobriété, la couleur noire d’ensemble étant relevée de surpiqûres blanches sur les sièges et un peu partout, d’inserts finition chrome satiné. Devant le conducteur, un volant à méplat réglable gainé de cuir, et sur le tableau de bord, une grande dalle incurvée qui intègre deux écrans de 12,3 pouces chacun. Une petite pression sur le bouton start et la Kia s’éveille… en silence. Le modèle de notre essai est la version hybride rechargeable. C’est naturellement la motorisation électrique qui prend la main. Les écrans s’illuminent avec, au centre du tableau de bord, une dalle tactile qui permet d’accéder à tout le système multimédia ainsi qu’aux réglages du Sportage. Derrière le volant, deux compteurs apparaissent sur le second écran. Incontournable aujourd’hui, reste à connecter notre smartphone à la voiture. C’est fait en quelques manipulations. Sur la console centrale, en plus des profonds espaces de rangements et des deux porte-gobelets, un socle de recharge par induction accueille l’appareil avec une prise USB en prime. Prises de connexion que l’on retrouve au dos des sièges avant pour le bénéfice des passagers arrière.

En sécurité sur la route

Une petite impulsion sur un bouton près du plafonnier et le store au plafond s’efface pour découvrir un immense toit ouvrant panoramique qui court sur toute la longueur du Kia Sportage. Un équipement de série dans cette finition GT-line Premium haut de gamme. Le soleil envahi l’habitacle, c’est parti pour un périple en direction du Jura entre autoroutes, nationales et routes de montagne. La sortie de Paris se fait en mode électrique. Sur cette version hybride rechargeable, le moteur électrique soutenu par une batterie Lithium-Ion, affiche une puissance de 91 ch et une autonomie de 78 kilomètres. Plus qu’il n’en faut pour se glisser dans la circulation comme sur un tapis volant. En douceur et en silence. Pratique, astucieux et rassurant, l’enclenchement du clignotant met en route les caméras cachées dans les rétroviseurs. L’image s’affiche dans les compteurs situés derrière le volant montrant tout ce qui peut se trouver dans les angles morts. Image dans le compteur de gauche, si vous tournez à gauche et image à droite, si vous tournez à droite. Et pour assurer une sécurité totale, une alerte se déclenche si un risque de collision avec un véhicule venant de l’arrière est détecté. Un système de sécurité actif également quand il s’agit d’effectuer un créneau. Arrivé sur les voies rapides, le système hybride gère l’équilibre entre motorisation thermique et électrique pour optimiser la consommation. Le moteur 1.6 T-GDi de 180 ch permet de tenir un bon rythme, avec le « coup de pied aux fesses » bien venu du moteur électrique quand il s’agit de dépasser. Régulateur de vitesse adaptatif, dispositif de freinage d’urgence DriveWise Plus, assistance active à la conduite maintenant vitesse, distance et position au centre de la voie, pour ne citer que les principales, le Kia Sportage regorge de fonctionnalités et d’assistances. À l’abord des grandes courbes du Morvan sur l’autoroute A6, avec le régulateur de vitesse enclenché, l’auto ralentit toute seule avant de reprendre sa vitesse de croisière une fois les virages passés. Couplé au système de guidage, le régulateur de vitesse est capable d’anticiper les zones à risque. Bluffant.

Une consommation maîtrisée

À l’abord des routes de la montagne jurassienne, après quasiment 400 kilomètres d’autoroutes et de nationales, la batterie du moteur électrique est à son minimum. Grâce aux multiples occasions de recharge (freinage, descente, décélération…), elle conserve toujours la quantité d’énergie nécessaire soit pour un bref coup de boost mais surtout pour les manœuvres. Jusqu’à 20 kilomètres/heure, c’est l’électrique qui est privilégié.

En montagne bien entendu, les consommations sont plus importantes, mais grâce à la gestion du mode hybride, le Kia Sportage reste dans des proportions très impressionnantes. Au bout de cet aller-retour d’un peu plus de 1 000 kilomètres, avec une recharge complète de la batterie en milieu de trajet, la consommation moyenne est restée sous les 5 litres/100 kilomètres. Mais si on isole la partie agglomération avec une recharge régulière de la batterie, la consommation moyenne passe largement sous les 2 litres/100 kilomètres. Belle performance que les prix à la pompe nous fait apprécier à sa juste valeur. Outre cette version hybride rechargeable, le Kia Sportage est proposé avec de multiples motorisations, essence ou diesel et hybride. De retour à Paris, restait une fonctionnalité à tester, l’assistance au stationnement à distance. Dans ce parking étroit, soit on gare la voiture mais on y reste, soit on utilise ce système qui, par l’intermédiaire de la clé, permet de commander le Sportage depuis l’extérieur. Amusant mais surtout bien pratique.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec Kia. La rédaction de BFMTV n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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