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Politique

Une nourrice déférée pour administration de Lexomil

Une assistante maternelle de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) soupçonnée d'avoir donné un anxiolytique à un nourrisson a été mise en examen dimanche pour des faits "d"administration de substance nuisible", après 48 heures de garde à vue. /Photo d'arch

Une assistante maternelle de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) soupçonnée d'avoir donné un anxiolytique à un nourrisson a été mise en examen dimanche pour des faits "d"administration de substance nuisible", après 48 heures de garde à vue. /Photo d'arch - -

MARSEILLE (Reuters) - Une assistante maternelle de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) soupçonnée d'avoir administré un anxiolytique à un...

MARSEILLE (Reuters) - Une assistante maternelle de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) soupçonnée d'avoir administré un anxiolytique à un nourrisson devait être déférée dimanche devant le parquet d'Aix-en-Provence après 48 heures de garde à vue, a-t-on appris de source judiciaire.

La justice la soupçonne d'avoir administré du Lexomil à un enfant de six mois dont elle avait la garde pour qu'il reste tranquille.

Hospitalisé dans un état grave à l'hôpital de la Timone de Marseille, le nourrisson a subi notamment un lavage d'estomac. Son état de santé n'inspire plus d'inquiétude.

Jean-François Rosnoblet, édité par Yann Le Guernigou